Chapitre 29: Décision

3.4K 282 54
                                    















J'aurai pu continuer à parler, j'en avais envie. Mais mes lèvres convoitisait de plus en plus celles de Nelly. Ma bouche désirait ardemment, la siennes. Je voulais plus, plus que de chaste baiser, plus que de pures caresses, plus que ce qui c'était passé dans cette calèche. J'en voulais beaucoup, beaucoup, beaucoup plus que ce que pouvait m'offrir Nelly a cet instant.

Laissant mes envies, je relève le buste, je ne pouvais pas aller plus loin, c'était bien trop rapide.Ne décernant aucun sentiment sur son visage, je m'inquiète. A ce moment là, étais je vraiment  trop entreprenant envers elle? Je me relève, et l'aide ensuite à ce redresser. La tête baissée, la jeune femme tripote, de façon confuse son jupon, je souris trouvant son attitude assez, charmante et plaisante.

- Je n'allais rien faire de plus, je rassure, me rappelant de la situation d'il y a quelques minutes.

- Je sais, chuchote t-elle, sans me regarder.

- En es tu sûr ?  Je demande, un sourire moqueur, et une assurance retrouvée.

Elle ne dit rien, j'affiche un rictus.

- Tiens tu as confiance en moi maintenant, c'est nouveau, Dis je mimant une expression faussement attendrit.


- Vous me mettez, extrêmement mal à l'aise... Marmonne, l'enfant totalement gêné.


Cet amusement.

Je ne laisse plus aucun autres mots de ma bouche, et la regarde longuement de façon, à ce qu'elle la tête.

Deux ou trois minutes plutard, la détentrice de mon cœur, redresse enfin son buste, et m'accorde le plaisir de voir son beau visage. Heureux, d'une façon rapide et bref je pose mes lèvres sur son front, puis quitte la chambre.

Je déambule solitaire dans cet immense manoir, les pensées embrumé, entre colère et joie, deux sentiments contradictoires. J'aurais vraiment aimé, qu'elle me dise que mes sentiments étaient partagés, même si je sais qu'ils sont réciproques, l'entendre de sa bouche c'est toujours mieux.













PDV: Nelly :







À présent seule, dans cette grande pièces je perd pied. Je regrettais, je regrette de n'avoir pu lui dire ce que je pensais ressentir. Je regrettais de ne pas lui avoir dis, que je hais ça, que je hais cette sensation, ce sentiment, ce bonheur, ce frisson, cette chaleur, qui m'envahit quand il est la. Je hais le fais, d'aimer ces cheveux, ses yeux, son nez, sa bouche, son sourire, tout être. Il a dit qu'il m'offrait tous? Je veux tous. Mais ai je seulement le droit? Je pourrai juste me lever , ouvrir cette porte, lui courir après et comme lire laisser libre cours, à ce que je crois être de l'amour. Mais ce n'est pas aussi simple, rien n'est aussi facile dans la vie. Si le simple fait de s'aimer suffisait, la vie serait plus agréable.

Toc toc

Je me lève rapidement pour me diriger vers la porte. Peut être était ce Monsieur Edward.

Ouvrant, avec une légère déception je  découvre une Josepha, souriante.

Suis je bête, si c'était Monsieur  Edward, il n'aurait jamais ô grand jamais toquer avant d'entrée. Dans ses appartements en plus.



- Nous allons souper, m'informe t-elle toujours aussi souriante.



- Oh, je n'avais vu l'heure, je te prie de m'excuser.


- Ne t'excuse pas pour cela, voyons. Allons y, on nous attend.






Je suis, d'un pas lent et lourd, mon amie que je semble s'impatienter, puiseque celle-ci me réprimande à plusieurs  reprise. Une fois arrivé, dans cette salle, ou nous passons tous nos souper en compagnie des maîtres de ces lieux, nous nous  inclinons en signe d'excuse envers notre retard, avant de prendre place, sur nos sièges respectifs.
Je ne quitte pas des yeux mon assiette assez bien garnis, de peur de croiser le regard d'Edward Strancy, ou encore celui de son horrible cousin. Me rappellant du regard meurtrier, que celui-ci m'avait accordé le jour de mon arrivé, je me met à rire discrètement.

Le père Strancy, comme à son habitude engage de simple discussion avec chaque personnes présentes à table. Noirs comme Blancs, Esclaves comme Maîtres, Enfants comme Adultes, Femmes comme hommes. Les questions et les réponses fusent jusqu'a ce Edward prend la parole, discutant avec son paternel. Automatique je le regarde, et je ne m'en détache pas. Je sais qu'il sait que je l'observe, puiseque l'enfant Strancy laisse échapper un lécher sourire au coins. A ce moment je me promet d'etre plus ouverte, plus entreprenante avec lui, puiseque c'est ainsi, puisqu'il dit m'aimer, puiseque je pense ressentir ce qu'on appelle de l'amour, je veux essayer, même si ça n'aboutira probablement à rien de bon, pour l'un comme l'autre. Une fois leur conversation terminée, je remarque assez rapidement les yeux bellâtre du Strancy son posés sur moi. Je souris. Je veux qu'il sache qu'il est important  à mes yeux.
































DarlingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant