Darling

Chapitre 31: Aimons nous seulement

- Comment pourrais je l'expliquer... Ce n'est pas une chose aussi simple... Je t'aime. Je t'aime parceque je t'aime. Rien ne prouve que Je sais ce que c'est l'amour, mais je le sais. C'est difficile à expliquer si c'est ce que tu veux savoir. Depuis combien de temps je t'aime? Je ne le sais pas. Mais je suis sur d'une chose, ça fait longtemps. Longtemps que tu tourmente mon esprit et mon coeur. Qui sait, c'était probablement cette nuit là. Le premier jour que nous nous sommes rencontré.

- ...

- Tu ne dis rien?? Je demandais, ne la voyant pas réagir.

- Vous aviez déjà aimé d'autres femmes avant moi,après tout vous avez bien 33 ans. Murmurait la jeune femme, effaçant le silence qu'elle avait imposé.

 Tu n'est assurément pas mon premier amour. Je confirmais, scrutant sa réaction.

C'est idiot mais j'aurai apprécier y déceler une certaine jalousie.

- Combien de fois avez vous réellement aimé? M'interrogeais Nelly sans me lâcher du regard.

- le mot aimé est bien vaste.

- J'ai eue de nombreuses conquêtes d'une nuit ou de quelques jours. Des femmes de petites vertus pour la plupart. Mais je n'ai réellement aimé que deux femmes en tout pour tout dans ma vie.

- Beckie etait mon premier amour. J'avais 15 ans, elle 17. C'était la fille d'un des clients de mon père. Elle etait frivole, extravertie, en j'en passe. J'en suis vite follement tombé amoureux. Racontais je, faisant un bon dans mes souvenirs.

- Et la suite ? Demandait l'enfant.

- Tu veux peut être que je te dise, que c'était une partenaire sexuelle orpère? L'a questionnais je de façon taquine, le sourire au coin.

- Je vois que votre sens de l'humour, Monsieur ne c'est point amélioré. Déclare la jeune fille, devenu susceptible.

- Je distingue une certaine irritation, Mademoiselle serai t-elle en colère ? Continuait je, toujours sur la même lancée.

- Neni!! Affirmait- elle la tête tourner vers le hublot de la calèche.

Je me lève, faisant attention à ne pas pas tomber puiseque notre moyen de transport est en mouvement. Puis prend place près d'elle avant de poser ma tête sur ses cuisses et de plier mes jambes sur le reste de place possible sur le banc de la calèche.

- Vous ressembler à un enfant, prélasser ainsi.

- J'aime être la. Expliquais je tout en souriant.

- Qui est la deuxième femme ? Reprend t-elle.

- Tu change bien rapidement de sujets ma chère.

- Je ne change rien. C'est la discussion qui avait dérivé  sur autre chose.

- C'est toi. Déclarait je.

- Puiseque je viens de vous dire que ce n'est pas moi

J'affiche une fois de plus un sourire.

- C'est toi. Cet être qui a fait battre mon coeur pour une deuxième. Annonçais je.

- Cela aurait pu être presque poétique si je n'etais pas deuxième,  Dit elle en riant jaune.