Chapitre 36 : Départ

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Je frottais le linge, dans l'eau de la rivière. Nous etions en debut de matinée, et j'étais à la rivière, accompagné de mon Edward qui c'était adossé à un arbre pour continuer ses écrits. Moi je lavais, le peu de linge qu'on m'avait ordonné de rendre propre. Cette tâche n'était pas vraiment contraignante , et être la dehors en pleine nature me rendait heureuse. La rivière n'était pas très loins, à pied du manoir Strancy. Et l'eau y était claire et belle, elle reflétait la couleur du ciel.

- Tu veux que je viennes T'aider, Nelly? Demandais, le premier né des Strancy.

Je me retournais et constatais, qu'il était toujours adossé, a son arbre ses écrits littéraires à la main. Je souriais, avant de retourner à ma besogne.

- Pourquoi, ne reponds tu pas? !!! S'exclamait-il, avec une voix étrangement enjoué.

Me retournant une énième fois, je lui adressais un rictus.

- Vous ?

- Oui, moi ?

- Vous, ne savez rien faire de vos dix doigts. Affirmais je, tout en me moquant.

- Tu ne te plains pas, de mes doigts, quand ils sont l'intérieur de toi.

Un rire suivie cette phrase, qui ce voulait moqueuse. Je le voyais déjà rire de moi.

Retirant le dernier drap de l'eau, et le plaçant dans la bassine de linge propre, je me levais me dirigeant la charge au bras, vers le Strancy.

- Il n'est point question de cela, monsieur! Ripostais je, la tête fière.

Je me sentais m'enfoncer dans mes propros, au fur et à mesure. Et cela semblait, l'amuser. Il souriait, je faisais de même. Il se levait et avançait également vers moi, jusqu'à ce que nous soyons assez proche, pour que notre champ de vision ne ce limite qu'à nos yeux.

- Tu as dis que je ne savais rien faire de mes dix doigts, ça voix ce faisait lente et suave, et puis je viens de te faire comprendre le contraire. N'est ce pas ma mie ?

- Oui mais, il n'était pas question de plaisir, de sexualité, ni d'érotisme. Je ne met pas en question, votre aptitude au lit, mais votre capacité à faire certaines choses. Expliquais je, l'assurance retrouver.

Les blancs, non plutôt les nobles. Ils ne connaissent pas le travail. Du moins pas les travaux acharner. Être né avec, un rang élevé dans la société, ne nécessite pas de savoir être bon en travaux manuels. Mis à part la chasse, fourniquer, donner des ordres, et assurer la richesse de leur famille, la noblesse masculine ne sait pas faire grand chose. Pareille pour les femmes, Seul l'hypocrisie les animent.

- Tu affirme donc, que je suis incapable de faire certaines choses, probablement parceque je suis blanc et noble ! En déduisait mon blondinet, en plaçant son bras autour de ma taille.

- Je dis juste qu'il y a certaine choses, que votre rang, a omis de vous apprendre. Affirmais je, chuchotant à quelques centimètres de sa bouche.

- Tu seras surprise, de voir que je sais faire plus de choses, que tu ne le crois. Informait, le bel homme un sourire narquois, affiché sur la face.

À l'entente de ces mots, je m'étais souvenue de ce que m'avait dit l'une des servantes, lors de mon arrivée chez les Strancy.

- Monsieur Edward aime s'aventurer dans les grandes plaine des fôret, il reviendra demain pour son anniversaire.

DarlingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant