Retour au point de vue d'Amélie.
Début de vacances, allongée dans mon lit en train de pleurer, cet été ne s'annonçaient vraiment pas bien. J'avais prédis que lors qu'Arthur apprendrais que je parlais à Noah, il le prendrais mal mais à ce point là !
Il m'a engueulé tellement fort et avait l'air tellement énervé que je ne le reconnaissais plus. Sa colère le dévisageait et me faisait peur. Je ne comprenais vraiment pas qu'il me reproche d'une telle façon une chose qui ne le concernait pas.
Je ne parlais pas. Il continuait ses reproches sans explications. Lorsque j'ouvra la bouche pour rétorquer, sa main parti lancée, elle frôla ma joue.
Il s' était arrêté juste à temps, ses yeux s' étaient écarquillés, il avait reculé. Mes yeux se sont embués. Il l'a vu et il est parti à une étonnante vitesse. Je n'avais pas bougé. Mes idées avaient mis du temps à se remettre ensembe.Noah toqua doucement à ma porte environ deux heures après. J'avais les yeux rouges et les cheveux en pagaille mais je ne pleurais plus.
-Je peux entrer ?
-Si tu penses que c'est vraiment nécessaire.
Il était entré et s' était assis avec moi sur mon lit.
-Tu as besoin d'un câlin.
Il m'avait pris dans ses bras.
-Ma Amélie, ma belle, ma princesse personne ne mérite de voir tes larmes.
-Toi tu peux tu mérite tout ce que je peux te donner.
Je m'étais remise à pleurer.
-Pourquoi pleures tu ?
-Je n'aime pas être fâché avec Arthur.
-Si c'est lui qui s' est fâché avec il n'en vaut pas la peine.
-Alors personne n'en vaut la peine.
-Même moi ?
-Sauf toi. Tu me rend heureuse.
Noah avait souris et n'avais pas répondu. Il était resté là à me tenir dans ses bras en silence. Au bout d'un certain temps, mes larmes avaient de nouveau fini de couler. Je m'étais dis que puisque Arthur ne voulait pas que je sois heureuse je le serais sans lui.
Il est temps d'être qui je veux, la petite fille effacée que j'ai toujours été va disparaître. Je vais être moi et ce sera tout. Et surtout je vais être avec qui je veux. À ce moment, j'ai embrassé Noah. C'était comme magique.
Noah était partis peu après. Je me sentais plus vivante que jamais. Mes vacances étaient devenus des plus prometteuses.
L'après-midi suivante, Noah m'avait emmené à la piscine de la ville d'à côté. On s' était amusé de fouuuu. Je n'ai quasiment pas lâcher sa main. Notre couple était vraiment officiel et ça me plaisait.
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Être ou ne pas être une fille facile
RomansaAmélie, penses-tu vraiment que tu peux changer ?