Je sors de table et remonte dans ma chambre. J'ai plusieurs messages de Nat.
De pédophile sexy:
Non sérieusement ma belle faut vraiment que je te dise quelque chose c'est sérieux.De pédophile sexy:
T'es la bébé ?De pédophile sexy:
Attend moi j'arrive.A peine eu je fini de lire le message que quelqu'un toque a ma fenêtre, je sursaute violemment et sursaute à nouveau en le voyant assis, un sourire au lèvre, sur une branche du cerisier qui pousse devant ma chambre. Et une branche passe juste sous ma fenêtre comme par hasard... je m'en servais des fois pour fuguer et partir voir mon voisin quand j'étais petite.
J'ai toujours ressentis un petit quelque chose de spécial pour cet homme doux et compréhensif, je n'ai jamais été amoureuse de lui, non, je le considére un peux comme mon grand frère ou mon oncle, un membre de ma famille quoi.
J 'entend Nat m'appeler :"Tu m'ouvre bientôt ou ?"
Je rigole
"Ça te fera du bien d'attendre un peu dehors"
Il fait mine de s'offusquer, je rigole et me dirige vers ma fenêtre pour lui ouvrir quand ma mère m'appelle.
Je cris rapidement que j'arrive bientôt et je lui ouvre en lui faisant signe de ne pas faire de bruit et descend voir ce que ma mère veux me dire.Une fois en bas je surprend ma mère en grande conversation avec mon voisin, ils sourient aimablement mais je sens que de la part de mon voisin ce n'est qu'une histoire de politesse, les sourires qu'il me fait quand nous sommes seuls chez lui et qu'il me raconte des histoire fantastique et bien plus chaleureux et sincère.
A chaque fois je rentrer chez moi avec le sourire et des étoiles dans les yeux, la tête emplie de ces histoire merveilleuses et remplie de mystère.
Cet homme de trente ans environ, assez grand avec des yeux bleu glacier et des cheveux noir corbeau, cette petite ride quand il me fait son petit sourire en coin, ses récits, tout chez lui me fascine.
C'est plus fort que moi, et a chaque fois qu'il commence a me raconter une histoire, c'est tellement détaillé, ça anime quelque chose en lui, je ne sais pas mais c'est tellement vivant, comme si ça c'était passer pour de vrai. C'est plus fort que moi, ça me fascine totalement un peu comme si jetais hypnotiser par ses magnifique yeux.Perdue dans mes pensées je me rend compte que je le dévisage depuis quelques minutes déjà, il a cesser de parler avec ma mere et a present il me regarde avec un sourire clairement amusé. Je rougis et baisse la tête, gênée de l'avoir dévisagé de cette façon et l'entendis rire doucement.
-Je suis navrée.
-Ne t'inquiète pas ce n'est rien. Mais puis-je savoir a quoi tu penser ? Ça avait l'air très intéressant.
Je lève la tête brièvement et voit qu'il sourit toujours, ses yeux pétillent de manière hypnotique et je me rend compte que je suis a nouveau en train de le dévisager. Zut mais qu'est ce qui m'arrive aujourd'hui a la fin !?
-Oh c'est trois fois rien ne vous en faite pas.
-Combien de fois devrais je te demander de me tutoyer dulceata ?
Cette fois je lui rend son sourire, toute mon enfance il n'a eu de cesse de me répéter de le tutoyer mais je n'ai jamais réussi. Sûrement car je le trouve trop intimidant. Il a quelque chose qui inspire le respect dans son regard, une espèce de sagesse ancienne, comme si il avait vécu bien plus longtemps que ce qu'il semblerais.
-Tout va bien ? Tu me paraît bizarre aujourd'hui.
Je rougis a nouveau.
Mais qu'est ce qui m'arrive bon sang, je ne suis pas comme ça d'habitude !
-Oui oui ne vous... t'en fait pas. Ce n'est rien.
Je lui sourit pour essayer de faire passer mon mensonge mais je vois bien a son regard qu'il sait très bien que j'ai mentis et ca me met très mal à l'aise.
Je prend plusieurs respiration profonde en espérant que ça ira mieux.
-Tu n'est pas venu me voir cette semaine donc je suis venu prendre des nouvelles.
Comment il a su que... comment il fait pour répondre à mes questions avant même que je les pose ?
Il avait toujours eu ce don agaçant de deviner ce que je pensais. J'imagine que si on es pas habitué c'est pénible mais j'ai baigner la dedant depuis que je suis petite et ça me parait presque normal. J'imagine cependant qu'on ne s'y habitue jamais vraiment, cependant j'ai appris a apprécier cette espèce de connexion.