Pouvoir indomptable

Chapitre VI

PDV Aurore

Tout était blanc, puis d'un coup noir. Mes paupières se levèrent à une vitesse tellement lente que je ne compris pas. J'étais allongé sur un lit de.. bois ? Je me leva mais une migraine et un vertige me prit en me laissant échapper un cri de douleur et me résigna à me rallonger. J'examina la pièce, des grilles faisaient la porte de cette pièce, une armoire noire était juste à coter de moi, une autre porte un peu plus claire que l'armoire était à l'autre bout de la pièce une salle de bain en déduis-je.
Je ne comprend pas pourquoi je suis ici, pourquoi on ma enfermait. Je fus sortis de mes pensés par des pas qui se rapprochait. J'étais incapable de bouger, une silhouette se fit voir à travers les barreaux. On ne distinguait n'y visage, n'y vêtement seul l'odeur me venait, de café.

Face à moi ce trouver un garçon à peine plus âgé que moi dans la vingtaine, il avait la peau cramé, des cheveux blonds à la limite d'une couleur pour femme et des yeux vert transperçant. Il portait un simple tee-shirt rouge qui lui collait le corps, qui longeait ses muscles avec un pantalon noir. Je ne comprenais pas, dans son regard je voyais que lui aussi détailler tous mes traits mais je me redis quand celui-ci afficha un sourire avec de nombreux sous-entendu.

« - Alors ma belle on s'est perdu ? Me demanda-t-il

- Où suis-je ?

- Voyons, on ne répond à une question par une autre, me dit-il d'un ton autoritaire. »

Il venait de me donner un ordre et sous son ton j'avais baisser la tête, une vague de colère me submergea, un mal de crâne s'en suivie en me laissant de justesse retenir un cri de douleur.

« - Bon je n'ai pas toute la journée, qui es-tu ?

- Je suis ... »

" - Ments.

- Dalia ! m'exclame-je

- Ments c'est le mieux pour toi.

- Pourquoi ?

- Tu ne sais pas qui il est, protège toi de tes ennemis. "

Je releva mon regard et fixa le garçon face à moi, il n'avait rien de méchant si ce n'est que sa carrure pouvait m'impressionner mais mon instinct me dicter d'écouter Dalia.

« - Je suis une louve solitaire, je m'appelle Aurore Kins et vous qui êtes-vous ?

- Je m'appelle Carl Lourne, je suis le béta de l'Alpha de ce territoire Ryan Lachowki.

- Et qu'elle est ce territoire ? Demandais-je. »

Il me regarda surpris de me voir lui poser cette question. Il est vraie que je ne connaissais pas tous les territoires par cœur, je connaissais ce qui bordait le mien mais les autres j'en avais que faire.

« - Aïdika, dit-il tout sourire, fière. »

Ce fut une claque monumentale que je pris intérieurement, je ne connaissais pas les territoires mais celui ci m'avait marquer de son nom, j'étais à des milliers de kilomètres de chez moi, comment j'avais pu faire autant de kilomètre, comment j'allais bien, comment j'avais pu franchir autant de territoire sans me faire découvrir.

« - Tu m'as l'air inoffensive, mon Alpha voudrait te rencontrer. »

Suite à cette phrase, il m'attrapa le bras et me tira hors de ma "cellule" ou plutôt chambre devrais-je dire. L'endroit était gigantesque, les couloirs ne se finissaient jamais nous avions passer je ne sais combien de porte toute différente certaines des noms y étaient inscrit, d'autre seul la couleur m'intriguait. Après quelques minutes de marche, son emprise sur mon bras me semblait bien trop forte alors je décida de lui retirer et il du croire que je voulais lui échapper et s'empara de ma gorge.

« - Ma jolie, si tu penses que tu peux t'enfuir tu rêves, me lança-t-il.

- À ta place j'enlèverai rapidement ta main de ma gorge.

- Ici t'es sur mon territoire, alors tiens toi à carreaux je pourrais te tuer d'une griffe, me dit-il d'un ton autoritaire.

- Dégage ta main sale cabot. »

Une rage me pris, je dégagea sa main de ma gorge. Et avança dans le couloir face à lui, plus j'avançais moins je savais où je devais m'arrêter. Une seule idée me trotter l'esprit, manger. Je ne sais pas combien de temps j'avais dormi mais mon ventre n'était pas content. Un sifflement c'était fait retentir dans le couloir, ce qui me dit arrêter et me retourner. Carl m'indiquait un escalier et passa devant moi, on le descendu et on arriva dans une grande pièce que je jugea comme le salon, une immense cheminé était face à nous et autour d'elle des canapés, une bibliothèque avec une centaine de libre voir plus y était.

Je m'approcha du feu et mon corps réagis à la seconde qui suis à la chaleur. Depuis petite, été comme hiver la cheminé de chez moi brûlé j'avais besoin que cette chaleur me frôle la peau. Sous cette douceur je ferma les yeux et plaça mes mains face au feu. Des bruits de pas se fit entendre mais je ne réagis pas ne voulant pas arrêter cette douceur sur mes mains.

« - Je vois que nous avons affaire à une frileuse. »

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Bonjour à tous/toutes.

Je m'excuse déjà du retard pour mes chapitres mais malheureusement mon ordi aillant lâcher il y déjà très longtemps je n'ai pas réécrit mes chapitres et ayant le bac de français à la fin de l'année je passe mon temps à réviser.

Je voudrais aussi vous remerciez pour les 1k de vue, c'est un très jolie cadeaux que vous m'avez offert mais n'oubliez pas de me faire part de vos critiques, ou de ce que vous en pensez.

Je vous fait pleins de bisous, je vous souhaite une joyeux Pâques aussi 💋

Laura