Recueil de One Shot One Piece

Liberté

Mots: 3583
Thèmes: Injustice, emprisonnement, solitude, régime totalitaire, combat, guerre, libération
Inspiré de: Hunger Games

...

Injuste. C'est le mot. Tout ça pour s'amuser, pour retrouver un peu de joie. Ils ont lancé un chouchou. Ils ont voulu connaître la joie à nouveau.. Mais jamais ils n'aurais dû faire ça. Ils savent que nous n'avons pas le droit de faire autre chose que d'écouter les propos raciste ,antisémite et tout ce qui s'en découle!...

Nous sommes ici pour apprendre & adhérer leur point de vue, leur partis politique si stricte, même si nous souhaitons la mort plutôt que continuer d'écouter leurs bourrages de crâne, dans ce collège. Autrefois parfaitement normal, devenus une prison au sens littéral. Aucun rire, aucun sourire, aucune moquerie, aucune taquinerie, aucune joie n'est présente dans ce lieu, qui autrefois laissais revoir notre famille le soir venu. Ma famille ...Je ne l'ai pas vu depuis 7 mois ,4 semaines et 2 jours. L'attente est longue. Et je ne veux pas savoir ce qui m'attend en dehors de ce bâtiment qui nous a arraché notre vie.

Ce matin encore ,j'ai entendu le sifflement d'un obus, si familier maintenant. Des gens criaient tendis qu'on entendait leurs os se rétracter par la brûlure. Je ne sais pas depuis quand c'est possible, mais je l'ai bien entendus ce bruit.

La fille qui a lancé le chouchou s'est fait emmener en dehors de notre salle de bourrage de crâne, pour aller de l'autre côté du couloir. On sait tous ce qui nous attend si on nous emmène là-bas. On n'en reviens jamais. Par le récit de ceux qui on put s'échapper de leurs griffes avant de ce faire tuer sous nos visage blasé de la mort, on sait ce qu'il se passe.
Je suis blasé de voir ceux qui avant nous donnais le sourire mourir. Je ne suis pas sadique ,ni folle. Mais j'ai passé 7 mois ,4 semaines et 2 jours avec eux, ces anciens humains programmés pour nous "enseigner le savoir"

Première possibilité, qui ressemble un peu à Hunger Games, ce film que j'adorais regarder avant qu'on ne nous enferme. On est sélectionnée, lâché dans une arène. Les plus fort physiquement et mentalement, qui sont assez froid pour tuer des anciens amis, pour survivre et combattre à la gloire de nos tyrans, sont gardé. Les autres, ceux qui ne savent pas tenir une arme dans la main, qui n'arrive pas à garder leurs sang froid, ces mêmes personnes qui peuvent encore penser par eux même, sont tués.
« Ce sont des faibles ,ils ne pourrons jamais servir notre noble cause. Jamais ils ne nous seront utile à l'armé du grand homme qui nous dirige. Les faibles doivent mourir! »

Deuxième possibilité: ils nous emmènent à gauche de mon espace de vie, vers la porte rouge en nous traînant par nos menottes, devenus bracelet brésiliens pour nous. Sauf qu'il ne cassent jamais. On est trimbaler sur toute la distance qui sépare notre cellule de la porte rouge.
De là où je suis (c'est-à-dire de très très loin) on peut voir une salle éclairée aux lampes rouges de sous-marin, du sang au sol, qui entoure un grand siège, une perfusion et aussi deux mécanisme de part et d'autre du repose tête, soutenant une étrange machine faisant le tour d'un crâne. Jamais je n'oublierais de ma vie, si courte et dur soit-elle, les claquement des bottes de cuir noir, de nos professeurs autrefois préférer, avec qui tout le collège parlaient et discutaient de bon cœurs. Ces mêmes personnes qui emmène les nôtres à gauche.

Troisième possibilité, celle pour qui des gens font exprès ne serais-ce qu'étouffé un rire parce qu'ils veulent s'échapper à cet enfer: La mort.
Nous espérons à chaque personne qui entre dans la salle rouge de mourir. Nous ne voulons pas obéir à cet homme, qui se croit tout permit et qui entraîne massivement les jeunes du pays pour que l'on se batte pour son foutu un régime totalitaire. En tout cas, c'est ce que ça a l'air.On a bien le discours tous les matins à 8 heures pour le remercier de vouloir sauver le monde en le redressant grâce à sa politique .« Nous devons aider le peuple des humains à renaître et apprendre de ses erreurs » qu'ils disent. Tout ça grâce à la force de nos armées ; tout ceux qui meurs aujourd'hui sont remplacer par des personnes comme nous, formés pour la guerre et pour survivre à l'ennemi (celui qui ne comprend pas le régime et la solution trouver par notre «sauveur»).
Voilà ce pourquoi je suis ici, enfermé depuis 7 mois ,4 semaines et 2 jours. Ce pourquoi je ne veux pas me battre mais avoir la liberté qu'offre la mort. Nous voulons mourir pour ne pas à avoir tué nos semblables.