The Poisoned Opportunity.♥

Desirs Charnels.

HELLO !!!

AVANT TOUT, VEUILLEZ AGRÉER MES PLUS SINCÈRES ET PROFONDES EXCUSES POUR CE RETARD DE.. QUELQUES MOIS..? 😆

Mais pas de panique !!La voici enfin la suite !! Explications à la fin.

Bonne lecture mes amours :)

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Nous sommes maintenant à 2 minutes de la bibliothèque, et pas un chat ne bronche dans la citadine coupée cabriolet reluisant de milles feux de l'interieur, comme de l'exterieur. Je peux maintenant apperçevoir le paneau indiquant la localisation géographique de la bibliothèque. Il vint à ma rencontre pour m'escorter de la voiture, restant un parfait gentleman, d'un air impassible, à qui il ne manquerait juste la parole. Il me rendit mon hochement de tete en guise de "salut", puis je partis, l'air déterminée. C'est pitoyable; même lui l'a remarqué et il se met donc à glousser puis se racle la gorge en entrant dans sa voiture, si je puis dire.
J'entre et me présente à la secrétaire, qui me conduit sans plus attendre jusqu'à Edwige, tout bonnement plongée dans Harry Potter, de J.K Rowling.

-Helay !!!!!

-Salut, Ed !!

Nous nous fîmes une accolade en guise de salutation; Edwige est la meilleure amie de maman.
Je la suit pour qu'elle me montre en quoi consiste mon job: cela ne me derangera aucunement puisque j'adore etre au contact de la magie de ces ouvrages aussi nombreux et fabuleux soient-ils.

-Viens, tu vas me ranger toutes ces piles de livres, le directeur de la bibliothèque viendra t'aider dans une vingtaine de minutes, et vous pourrez faire connaissance, il est jeune ! Et très séduisant.. dit-elle avec sarcasme.

Je ne pense pas que Christian apprécierait, mais bon. Il n'a aucun droit sur moi, merde !

-C'est partit, je me mets au boulot !

-Si tu as un quelconque soucis, n'hesite pas, adresse toi à moi ou au directeur dès qu'il arrive, tu pourras t'en remettre à lui.

-Pas de soucis! Merci.

En tant que litteraire moi-même, les vingts premieres minutes, je n'eus aucuns soucis, c'est après, que sa c'est corcé, concernant les côtes.
Mais les minutes suivantes allaient tout compromettre.

-Bonjour Mr le directeur ! Elle est la-bas, en train de ranger.

Une voix m'interpella, mais je n'y preta pas plus attention.
Un homme se plaça à ma gauche, sans doute le directeur, et rangea à mes côtés, sans dire un mot. Cette odeur me dit quelque chose. Cette silouhette également..
Je tourna la tete et tomba sur Christian.
Je ne sais pas comment reagir, puisqu'à l'interieur, c'est sur le point d'exploser.
Je fis tomber les 3 bouquins que j'avais en main. Mais bon sang, forcément, qu'elle conne !!!
Y-a-t-il quelque chose dont il n'a pas la possession dans cette ville ??

Je ramassa ma pile de livre, me dirigeant vers une autre étagère, suivit de quelques regards, dont le sient.

Edwige me rejoignit avec "discretion", du moins, c'est ce qu'elle pensait; puis me dit:

-Alors, il n'est pas craquant ?!

-bof.. il a l'air autoritaire comme boss..

-Pas du tout ! C'est à l'apparence. Car si sa reste entre nous, lorsque j'ai entretenu une relation avec lui, c'était Mortel !!

ATTENDS. IL VA M'ENTENDRE. AVEC EDWIGE. ONT-ILS FAIT QUELQUE CHOSE ? SONT ILS TOUJOURS ATTIRÉS L'UN ENVERS L'AUTRE ?? Je le découvrirais bien assez tôt.

-Je suis desolé, j'avais complètement zaper que j'avais une visite médical, BYE !! Je partis en pressant le pas.

-Ou vas-t-elle ??

-Visite medical. Sa sent la famille qui s'agrandit !

Christian lui jeta un regard si noir qu'elle se fit rabaisser à son petit poste de documentaliste, puis il courru à ma rencontre.
Même les murs en ont tremblés.

-Hey ! Cria-t-il, énervé.

Je me tourna pour lui faire face, et me retourna à nouveau pour suivre la trajectoire: retourner à mon hotel, qui est forcément, à 5 minutes du sien.
Il se mit à courrir les 75-100 mètres qu'il restait entre nous, puis me prit le bras:

-Ne sors plus jamais seule, dans la nuit !!

Je fus tellement omnubilé par Edwige, christian et tout ces livres que j'en ai perdu le fil du temps,je n'ai meme pas pris ma pause dejeuner.
La lune avait donc montré le bout de son nez, laissant place aux ivrognes jonchants les bars tous bondés de pochtrons. Mais je m'en fiche. Je suis tellement enervée que si l'un d'entre eux tentait de m'approcher, je l'aurait envoyer la tete premiere dans le parc-choc à minimum 15000 dollars, et encore.

-Mais c'est quoi ton putain de probleme ?!

-Premièrement, depuis quand aimes-tu ou te fais tu des cougards ?! Deuxièmement, j'ai gagné.

-Mais enfin, de quoi tu parles ?!

-EDWIIGEEEE !!!!!!

-Tu sais, si nous pouvions effacer nos erreurs, celle-ci y comprise, je le ferais instantanément.

-Efface moi également alors, puisque tu ne me dis pas tout.

-Ecoute moi bien, Helay Petigrow Gordon Steal. Plutôt mourir demain, que vivre un siècle sans t'avoir connu.

C'est mignon, il cite du Jhon Smith.
Il est doué. Putain. Vraiment doué cet enfoiré.

-Et tu sors tes violons comme sa à toutes tes conquettes qui veulent partir, et auxquelles tu empeche d'entreprendre leurs intentions ??

-Ce ne sont pas des violons, et il y en a eu très peu.

-De quoi ? Des conquettes ou des violons ? dis-je pour rire.

Il ria. Puis soupira.

-Viens.. rentrons pour mieux en discuter et tu pourras me poser toutes les questions qui te taraudes.

-Hmm... à contre coeur, je le suis.

-Au fait.

-Oui ?

-Je te l'avais dit, de ne pas jouer avec moi..

-Pourquoi ??

-J'ai gagné.

-Aha, certes, mais ne vous appretez pas à gagner le reste. Vous avez gagner une bataille, mais pas la guerre !

-C'est ce qu'on va voir..

Et nous voila repartit pour le donjon des milles et unes sentences.

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VOILAAAA !!!!!! LA DERNIERE PHRASE EN DIT PAS MAL SUR LE RESTE DE L'HISTOIRE, ET SUR LE PROCHAIN CHAPITRE !

MES ABSENCES REPETÉS ONT ÉTÉS DÛ À MON INNACTIVITÉE SUR WATTPAD CES DERNIERS TEMPS, MAIS ME REVOILAAA !!!

VOUS AVEZ AIMEZ ?? ;)