Chapitre 1: Cher journal.

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Hey! Chère journal... Moi? C'est Katrine Kasia Adamsky. Kasia? Juste mon deuxième prénom. J'ai 17 ans, je suis franco-américaine et d'origine polonaise. Je vis aux États-Unis plus précisément en Pennsylvanie à Altoona. Je viens récemment de perdre les deux derniers membres de ma famille. Mon frère de 6ans Adam et ma grande sœur de 19 ans Victoria. Voici ce qu'il s'est passer: Mon frère atteint d'un cancer n'allais pas bien. Ma sœur nous a embarquer dans la voiture. Il faisait nuit noir. On a eu un accident de voiture, une biche a surgie de nul part. Ma sœur a donc tourner le volant mais la voiture a plongée dans l'eau. Je suis la seule survivante. Ce jour là je n'ai pas pleurer. J'aurais pus me noyer dans le lac et m'éteindre  mais ce n'est pas arriver. Quelqu'un a plonger dans l'eau et m'a sauvée. Je ne sais pas qui est ce mystérieux inconnu, il a appeler les ambulances et leurs a demander de ne pas dévoiler son identité. Quand je me suis réveiller un garçon était dans ma chambre. Chamboulée, je lui ai demander qui il était et si il était mon mystérieux sauveur. Ce qu'il m'a répondu? C'est je cite "non, mais quand je t'ai vus, j'ai sentis que je pouvais t'apporter quelque chose de positif à ta vie!" Je n'ai fait que le regarder. Puis au bout d'un moment j'ai commencer à hurler comme une hystérique en demandant perdue "où sont ma sœur et mon frère?". Les médecins ont accourus m'ont annoncer la mauvaise nouvelle je n'ai pas pleurer, j'ai juste cesser de crier. Je les ais tous regarder et je me suis pincer le bras. Voyant que je ne me réveillais pas je les ais tous regardés et ai demandé à sortir de l'hôpital. Ils m'ont regardés choqué, le garçon dont je ne savait pas le nom m'a souris derrière la fenêtre. Il est entré et m'a chuchoté " si tu veux que je te sorte de cet hôpital sans qu'ils te posent de questions... Accorde moi un rendez vous...". Je l'ai regardée abasourdie. J'ai vite réfléchis et je lui ai murmurer un "je te l'accorde si il n'y a aucun piège"... J'ai appris plus tard qu'il s'appelait Luc. Après?

-J'ai réussis à obtenir l'accord de l'État pour rester autonome.

-J'ai épongée ma dette de l'hôpital grâce aux économies du testament de mes parents et ma défunte sœur.

-Je sort avec Luc.

On pourrait croire que ma vie est parfaite maintenant, notez l'ironie, mais malheureusement ce n'est pas tout. Avec Luc on s'éloigne chaque jours un peut plus. Et mon cœur se brise donc lui aussi un peut plus... chaque secondes.

Voici ma vie.

L'amour peut rendre aveugle tout comme redonner la vueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant