Chapitre 8: A jamais et pour toujours...

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Ce matin mon réveil sonne. Nous sommes vendredi. Je me prépare et vais au lycée. Je met de la musique dans mes écouteurs à fond.

Devant le lycée tout le monde est attrouper dans la coure vers les places de parkings. Je LE vois enfin. Il est entouré de plein de filles. Je me mordille les lèvres. Saleté de tic nerveux! Il me vois enfin et baisse ses lunettes. Je m'arrête de les mordes. Je me retourne choquées. Il m'a vu. Je vais en cours comme d'habitude. J'entends un "Oh!" de la foule. Alors je e retourne. Il les laisse et s'approche de moi. Je me retourne replace bien ma capuche et me met à marcher. Je vais enfin au gymnase. Une fois la bas je prend un ballon, je cours, je marque. Une fois que j'en ai marre, je range le ballon puis met de la musique. Je ne sort pas les tapis. Je fait le poirier, je fait des pompes, je me remet à courir puis continue. Je m'arrête un moment regarde l'heure et me rend compte que cela vas sonner d'ici dix minutes. Je reprend mon sac. Fouille et ne trouve pas mon journal intime. Je me met à paniquer. Soudains mes sens se mettent en alerte. Je me retourne puis je LE vois.

-Steven, dis-je sur la défensive.

-Katrine, dit-il enjoué.

Ça ne lui ressemble pas. Il est devenus un autre homme.

-Que veux-tu? Déglutis-je.

-Te rendre ceci, me dit-il en me tendant mon journal.

Je viens vers lui et l'attrape. Il ne le lâche pas. Mais en échange tu dois me donner un baiser. Confuse je le regarde et fais mine de réfléchir. Je m'avance vers lui fais mine que je vais le faire sur la bouche mais une fois qu'il ferme les yeux. Je lui arrache mon journal avant de lui en faire un sur la joue.

-Donnant, donnant, dis-je.

Il me regarda un sourire narquois aux lèvres.

-Tu te rappel de moi au moins? demandais-je.

-Bien sur que oui! S'exclame-t-il. Tu t'appelle Katrine Adamsky, tu est franco-américaine et des origine polonaise, toute ta famille est morte et tu avais un petit du nom de Luc.

-Ah! Super t'as lu mon journal intime, dis-je d'une voix sèche. On s'est parler que très peu quand tu étais humma... aveugle. Enfin bref. Je vais te laisser. Repose toi bien de ton intervention. Je suppose que le numéro de ce matin tu l'as fait à toute les filles que tu as croisé.

-On peut dire ça, répondis Steven. Je cherche ma Cendrillon et ses superbes lèvres. Avant mon intervention elle était là et on s'est embrassé...

-Super, marmonnais-je, au moins tu sais que quelqu'un t'aimais quand tu étais aveugle.

-Je ne sais pas pourquoi je t'ai dit cela, s'exclame-t-il.

-On me confis souvent des truc, répondis-je, je dois surement avoir la tête de quelqu'un en qui on peut avoir confiance. Au revoir.

Je part et cours pour arriver en math. Je m'installe au fond de la classe il reste encore cinq minutes. Quand le cours commence enfin je suis soulagée de pouvoir suivre le cours sans lui...

Soudain trente minutes plus tard, on toque à la porte.

-Veuillez m'excuser pour ce retard. Je ne trouvais pas la classe de math. Dit un élève que je redoutais.

Je met mon cartable sur la chaise à coté de moi. Il reste une place à coter de la (excusez mon langage
d'avance) PUTE de la classe! Il faillais que ça sorte!  Quand il s'assit à coter de la pute, je le vus essayer de faire le tours qu'il m'as fait ce matin. Tout les cellules de mon corps criais: "Meurtre! Meurtre! Meurtre! Meurtre!". En fin de compte je me leva brusquement et pris mon cartable. Je pris comme prétexte: Rendez-vous avec l'aire frais pour le bien de tous! Avant de partir, je murmura:

-Je t'aimais aveugle, mais ce qu'il y a de pire qu'être aveugle physiquement. C'est d'être aveugle par amour et je l'ai trop été. Tu n'es pas le rayon de soleil que j'attends. Pourtant je l'ai crus.

A jamais et pour toujours.

L'amour peut rendre aveugle tout comme redonner la vueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant