Harry se dépèche à rentrer à l'intérieur et à se rhabiller. N'ayant pas fini mon joint, je reste dehors jusqu'à ce qu'il vienne me rejoindre, déjà tout habillé. Il n'est que torse nu.
-Donnes moi mon chandail, si tu veux pas que je te l'enlève par moi-même ! Lance-til.
-Essaie toujours.
Harry bondit sur moi, me faisant presque sursauter. Il place ses bras autour de moi, m'empêchant de bouger. Il prend ensuite le bas de mon chandail, du bout des doigts et commence à le lever. Je le laisse continuer, malgré que je sois presque complètement nu, sur mon balcon, s'il garde ses bras autour des miens, il ne pourra pas retirer les manches du chandail, il devra déserrer ses liens et laisser mes bras libres. C'est innévitable. Quand il le remarque, il arrête et se colle encore plus contre moi, profitant de sa position de supériorité et sachant que je déteste ça. Il place son menton contre mon épaule et soupire. Il n'a pas replacé le bas de mon chandail. Il doit essayer de partir une autre guerre. Attendre de voir quand est-ce que je vais être tanner d'être nu et que lui puisse gagner, à son tour. Mais les règles sont injustes : c'est seulement moi qui peut flancher.
Du bout de mon joint, je brûle le bras de Harry, qui me relâche immédiatement.
-Tu joues dur ! Lâche-t-il en s'approchant de moi une seconde fois. J'aurais vraiment besoin d'mon chandail ..
Je jette mon joint et rentre. Sans me gêner, j'enlève son chandail et met ma robe de chambre sur mes épaules, tout en la laissant ouverte. Je passe en même temps à la salle de lavage, pour récupérer le jean à Zayn et le remettre à Harry. Vient le moment des aurevoirs et adieux.
-On va s'revoir, hen ? Demande-t-il, dans le cadre de ma porte.
-Je n'ai pas encore eu la meilleure baise de ma vie, j'te rappel, répliquais-je, mystérieusement.
Je n'aurais pas pu trouver meilleure phrase. Je suis fière de moi. Je ferme la porte sur Harry, satisfaite. Il part en taxi et je vais vite me recoucher en laissant le set de photoshoot monté.
Je me fais réveiller moins de trente minutes plus tard pas ma sonnerie de cellulaire. Je ne prend même pas la peine de regarder qui c'est et laisse sonner. Mon cellulaire recommence quelques secondes plus tard. Je grogne de fatigue, me retourne et le prend : c'est mon patron. Je décroche à contre-coeur.
-Hm ?
-Chin ! Debout, y a One Direction vont partir pour l'aéroport dans quelques minutes ! Vas-y et envois moi les clichés dès que tu les as !
-Et si j'y vais pas ?
-T'es pas payé !
-C'est bon ..
-Parfais ! Je les veux d'ici deux heures !
Désespéré à l'idée de les revoir aussi rapidement, je ne me dépèche pas dutout à y aller. Si je les ratte, je pourrai dire que je n'ai pas eu le temps de m'y rendre.
Mon appareil photo étant à cours de batteries, je l'échange avec une autre, qui est chargé et rempli mon habituel petit ziploc de pot pour le mettre dans mon sac à appareil photo. Le taxi arrive au moment où je suis fin prête et m'ammène à l'aéroport, pendant que j'espère sincèrement les avoir ratté. Je soupire lorsque je vois la foule de jeunes filles devant l'entré. Je me faufile entre elles et entre dans l'aéroport. Je prend position contre le mur, près de la toilette des hommes et d'un arbre enpoté, prépare mon appareil et attend.
Ils arrivent 5 minutes plus tard, un par un, à environ une minute d'intervalle, entourés par des tas de gardes. Ceux-ci font leur possible pour retenir les fans. Je monte au bord du pot de l'arbre, pour prendre de la hauteur, et m'adosse au mur pour me retenir. Je prend quelques clichés de Liam et Ed, qui passent en même temps, suivi de Harry, qui m'apperçois, me souris et m'envoit la main.