L'été qui m'a changé

Désolé!

Je post une deuxième fois ce chapitre parce qu'il y a eu un petit problème technique. Donc, voilà:

Premièrement, le média n'a pas rapport 😂Désolé du retard! Je n'avais pas l'inspi et le temps pour écrire ce chapitre en fin de semaine. D'ailleurs, j'aurai de moins en moins de temps pour posté parce que c'est bientôt les exams finaux alors je dois étudier. Donc ne vous inquiéter pas si je ne post pas régulièrement, je n'ai pas abandonné l'histoire! Bref, voter et commenter!

-Dès qu'il a su, il est venu, dit Nina. Bon, je vais y aller moi.

Elle se leva et partit en me disant qu'elle revienderais demain. Quand la porte se referma, je posa ma tête sur mon oreiller et regarda Julien. Il semblait si paisible que ça semblait irréel! Il remua un peu et ouvrit doucement ses yeux. Nos regards se croisèrent et il me fit un sourire triste.

-Salut, dit-il.

-Salut. Bien dormi? dis-je.

-On va dire ça comme ça, ouais, dit-il en souriant. Écoute Camille, je... Je suis désolé pour tout. Si j'avais su je...

-Ça va, dis-je. De toute façon, on ne peut pas revenir en arrière. Ce qui est fait est fait... souriais-je tristement.

-Au moins, il est encore en prison pour un bout, dit-il. Je suis vraiment désolé Camille...

-C'est pas grave, ce n'est pas de ta faute si ton père est un connard.

Il rit et se rapprocha de moi. Il passa une main dans mes cheveux.

-Tu m'as manqué, Camille.

-Moi aussi.

Il me prit la main et la pressa lentement avant de déposer un petit baiser dessus. Il se pencha vers moi et m'embrassa. Le goût sucré de ses lèvres m'avaient manqué. Désormais, je savais que plus jamais je n'allais le laisser partir. Je mis fin à notre baiser mais garda nos fronts collés, de manière à ce qu'on puisse se regarder dans les yeux.

-Ne t'en vas plus Julien, je t'en prie.

-Non, plus jamais.

-Promets-le moi, dis-je.

-Je te le promets Camille. Je ne partirais jamais. Du moins, jamais sans toi.

Je souris et on s'embrassa.

***Ellipse***

Ça faisait trois jours que j'étais sortie de l'hôpital. J'avais des béquilles, que je devais garder pendant encore deux semaines, alors j'allais commencé l'année avec des béquilles. Car l'école commencait dans une semaine. Juste une semaine! Depuis que j'étais sortie, je suis allée voir Vasco à tous les jours. Il semble en pleine forme, mais il doit encore rester un peu chez le vétérinaire. Il peut encore faire des promenades, mais pas de concours. Présentement, je suis dans le manège et je regarde Nina donner un de ses cours. Je ne peux pas vraiment l'aider, à cause de mes béquilles, alors j'essaie de me rendre le plus utile possible en préparant le souper, ou en donnant la moulée. Julien viens me voir régulièrement, mais il ne dort plus chez Nina, car il doit placer son appartement pour l'école. Je ne lui ai pas reparlé de ma décision de venir avec lui. Je ne sais même plus si je veux continuer l'école, alors... Nina fit descendre son élève du cheval et elles rentrèrent. Je les suivis et rentra dans la maison. Je prépara le souper et appela ma grand-mère. On mangea en silence, jusqu'à ce qu'elle commence à parler.

-Camille, est-ce que tu voudrais m'aider à donner mes cours? dit-elle.

-Quoi? dis-je. Bien sûr Nina! Je commence quand? dis-je enjouée.

-Je vais commencer par te montrer, et tu pourras commencer avec moi la session d'automne si tu veux. Les cours se donnent la fin de semaine, alors ça ne nuira pas à ton école.

-Génial! On peut commencer demain?

-Oui, pas de problème. Bon, je vais y aller, dit-elle.

J'étais tellement heureuse! Ces cours que j'allais donner allaient pouvoir d'une manière remercier Nina, mais aussi je vais pouvoir être meilleure et ça va me rafraichir la mémoire. Je vais pouvoir bougé un petit peu, enfin! Je mis la vaisselle dans le lave-vaisselle et me mis en pyjama. Je mis un film, mais à peine il fut commencer que quelqu'un cogna à la porte. J'alla répondre.

-Salut! dit Julien.

Il me sourit et je me sentis fondre. Ses cheveux étaient en bataille et ses yeux me regardaient intensément.

-Ça va? dit-il.

-Ouais, je... J'allais mettre un film, tu veux venir?

Il entra et me donna un bec sur le front.On se dirigea vers le divan et je mis mes béquilles par terre pendant que Julien partait le film. On se blottit l'un contre l'autre et je rigola dans ma tête en pensant qu'on avait vraiment l'air d'un vieux couple marié. Julien me flattait les cheveux et je ferma les yeux. Je finis par m'endormir dans les bras de celui que j'aime. Et celui qui ne partirais pas.