12.

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Levi Akerman, sur moi. La personne qui hante mes pensées depuis quelques jours se trouve présentement sur moi. C'est quoi, cette sensation qui m'habite ? C'est quoi la chaleur que n'me quitte pas ? Pourquoi est-ce j'ai l'impression de me sentir bien dans cette situation totalement innaproprié, improbable et malaisante. Mais malgré tout, je voudrais rester dans cette situation quelque peu étrange des heures et des heures encore. Levi Ackerman, sur moi.

Je suis encore par terre avec lui, sur moi, le chandail relevée. Le fait de sentir la chaleur qui traverse sa chemise et touche ma peau dénudée me fait frissonné. Sa tête est sur mon coeur et pleins de feuilles virvolent dan tous les sens, pendant qu'il peut entendre les battements inaudibles de mon coeur détruit. Parce que ce sont ses battements qui me tienne en vie. Ses cheveux d'un noir ébène sont couché sur mon torse. Pourquoi est-ce que j'ai si envie d'y passer ma main ? Je le sens. Je le sens, ce dout parfum. Par contre là, il est mélangé a l'odeur imonde de la poussiere, mais pourtant, il me rends tout de même fou.

Les feuilles sont maintenant éparpillées un peu partout dans la pièce, et la lumière vacille autant qu'avant. Lorsque je sens une mains gelée se posées sur mon bassin, là où mon chandail en relevé, mon coeur rate un bonds. Une autre mains viens prendre appui près de ma tête et je le vois se lever.

Reste. Reste étendue sur moi. Reste, je t'en supplie.

Il se relève complètement et me regarde par terre : totalement vulnérable. Je ne fais rien, je ne réagis pas, je sens encore la présence de sa mains si froide sur mon basin. Mon chandail lui en toujours relevé. Une chance que les manches elles ne le sont pas.... Il les aurai vue, et il n'aurait pas voulu rester une seconde de plus sur une personne si dégoutante que moi. Et d'ailleurs, il ne dois pas rester.

Moi ? Moi j'ai voulu qu'il reste ? Mais il m'arrive quoi là ? Je perds la tête. Je perds le contrôle. Je perds la Nord en sa présence. Mes battements de coeurs devienne lentement réguliers sans pourtant reprendre le rythme normale : il m'est impossible de me comporter ''normalement'' en sa présence. Je sens son regards imposant sur moi.

-Lève-toi bordel c'es dégueulasse par terre, dit-il avec sa délicatesse habituel.

Je le vois essuyer ses avant-bras et secouer sa chemise. Je me relève alors sans difficulté et ramasse lentement les feuilles en suppliant pour que la cloche sonne immédiatement : rester ici me fait surchauffer. Je sens mes joues se teinter de roses alors que son regard est posé sur moi. Je tire mes manches encore plus, je n'dois pas risquer qu'il voit quoi que ce sois. Déjà qu'il pense que je suis un idiot suicidaire, pas besoins de savoir en plus que j'écorche mon corps à chaque soir.

Je me penche alors pour ramasser une nouvelle fois les feuilles éparpillées un peu partout, encore une fois sans son aide. À quoi je m'attends maintenant ? Je n'ai qu'une seule envie : prendre mes jambes à mon coup et m'enfuire loins d'ici, aller la rejoindre. Mais ce serais égoïste et puéril. Et alors ? Je le suis égoïste et puéril. Mais en même temps, j'ai aussi l'envie de le prendre dans mes bras et de le supplier de ne pas partir. Comment on appelle ce sentiment ? Je ne veux pas qu'il m'approche, mais en meme temps j'aimerais tellement qu'il pose simplemen sa mains sur mon épaule. Je vais finir par craquer et exploser. Ça ne seras pas très beau à voir.

Levi ne m'aide pas plus, je sens son regard pesant sur moi.

-Tu comptes m'aider ou rester là à me regarder ? dis-je quelque peu énervé, Parce que si c'est comme ça tu ferais mieux de sortir.

Pourquoi ? Ça simple présence me rends fou, alors avoir son regards poser sur moi, c'est impossibe à supporter. J'aimerais tellement par contre qu'il ne sois pas comme les autres. J'aimerais tellement qu'il me dise qu'il va m'aider, mais a ce que j'ai bien pu voir, il est comme tout le monde : à regarder, à supporter le fait que je sois encore en vie mais que si je venais à mourir, il serait bien heureux. Alors, pourquoi ne pas m'avoir laisser sauter ? Pourquoi ne pas m'avoir laisser tomber ? J'aurais certainement été plus heureux, même si je dois avouer que heureux est un terme bien trop grand pour se coller à moi. Heureux, il y a lontemps que je l'ai été. Mais au moins, les gens qui ''m'entoure'' aurait été heureux, eux au moins.

Pourquoi il ne bouge pas ? Pourquoi il ne s'enfuit pas en courant ? Pourquoi il ne viens tout simplement pas me dire que tout va bien, qu'il ne va pas m'oublier ? Pourquoi et-ce que j'ai autant envie qu'il me prenne dans ses bras ? Et pourquoi j'ai envie qu'il s'enfuit loins de moi ?

Je l'entends bouger, parce que je suis à dos de lui. Va-s'y, va-t'en, oublis moi. De toute façon c'est que tu finiras par faire, alors ne me laisse pas le temps de m'accrocher plus que je ne l'ai déjà fait avec toi. Cours, enfuis-toi de moi, du monstre que je suis. J'aimerai m'enfuir avec toi, mais je suis coincer ici. Un monstre, c'est bien ce que je suis. Alors, cours va-t'en, je t'en supplis. Ne me laisse pas la tentation de m'accrocher plus que je le suis déjà avec toi, c'est déjà trop. C'est plus que je peux me le permettre : me rappeller des traits si fin de ton visage, me plonger dans ton regard sans fin, me rappeller quel point t'es lèvres sont fines et à quel point tes mains sont froides. C'est trop, c'est plus qe je peut me le permettre. Je ne devrais pas savoir tout cela, ni même me permettre d'y penser. Alors, je t'en supplis, va t'en.

-Tch, je vais t'aider, dit-il en se penchant pour ramasser une feuille qui trainait près de lui.

Pourquoi tu ne pars pas ? Je ressers mon emprise sur les feuilles dans mes mains, en faisant froisser quelque-unes. Pars, maintenant avant que je craque.

-Pourquoi ? dis-je calmement.

Je dois le savoir.Pourquoi il ne m'a pas laisser sauter ? Mes cheveux tombe dans mon visage et je ressens une nouvelle fois le regard perçant de levi dans mon dos.

-Pourquoi tu ne m'a pas laisser sauter, ce jours-là ?

Ma voix tremble. Je vais pleurer ? Sérieusement ? Au nombre de chose sur lesquel j'aurais pu pleurer, je vais sérieusement finir par pleurer pour une bêtise sans importance ? Je me dégoute. Je l'entends s'approcher de moi, alors je me retourne. Il est vraiment petit comparer a moi, un nain. Mes yeux reluisent, alors c'est sérieux ? Je vais pleurer pour une idiotie de ce genre ? Je ne pense pas pleurer parce que je suis triste : Mais plutôt parce que je suis en colère, parce que tout de même, sauver quelqu'un qui, comme moi, n'en a rien à faire de la vie, c'est idiot. Je le vois s'approcher dangereusement de moi, mais il ne doit pas, pars, va t'en, ne t'approche pas. Tu aurais du me laisser sauter.

Il est maintenant juste devant moi. Je sens son doux parfum, qui me fait virer fou. Il es juste devant moi, trop près. Je le vois, il se mets sur la pointe des pieds et empoigne mon sweet de sa main. À quoi joue-il ?

-Parce que je n'aurais pas pu faire ça.

Puis, il pose ses lèvres si fines sur les miennes.

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YOLO
Alors, y'a des gens qui s'attendaient au lemon.
BAH NAH Y'EN AS PAS BANDE DE PERVERSE
😏😏😏
Lydiote (Charlie, je m'auto-clash c'est grave) qui vient de terminer de corriger se chapitre se rends compte qu'il est rendue 1 h du mat' et que elle se parle toute seule.
Bref
;-;
Oh et j'ai changer la couverture, je sais pas si on vois bien mais sinah voilà la photo .u.

u

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