19.

7.5K 503 150
                                    

Vous savez, la vie, c'est nul. Je ne veux plus vivre. Je ne suis pas mort, ni non plus réellement vivant. Parce que être vivant, signifirais ressentir autre chose que la douleur, mais heureusement si l'on veux, c'est mon cas : la seule chose que je ressens c'est de la douleur et la peur. Cette douleur fait parti de moi, de mon coté vivant et de celui mort. Ces derniers temps, mon corps, c'était ce qui me rendait le plus vivant. Si ce n'avait été de cette enveloppe charnelle qui fait que je suis là présentement, je ne serais plus de ce monde, puisque rien ne me donne envie de me battre, ni de simplement de me lever le matin. Et ce corps, pour me prouver qu'il existe, je dois le couper à chaque soir. S'en ai une libération. Je ne me fais pas du mal, pour certains c'est ce que c'est. Parce que bien sur, se couper signifi bien sur souffrir. Mais la simple douleur que je peux ressentir dans mes avant-bras, le simple pincement que me procure cette coupure, et le picotement que je ressens lorsque je l'a désinfecte, c'est ce qui me procure le plus grand bien. Parce que je veux mourire, je n'veux plus vivre.

La vie, elle est injuste et dégoutante. Elle à toujours repousser ce qui pouvait être bien pour moi, et approcher les mauvais choses. Sauf pour ma lame, la vie est venue la posée gentiment dans la paume de ma main tremblante, quand j'était au fond.

Pas que je sois remonter, je crois même m'être enfoncer encore plus pronfond. Mais maintenant, c'est moi qui creuse. C'est moi qui décide d'en finir, c'est moi qui n'veux plus vivre. Même si certaines personnes le désirais, que je meurs, c'est moi qui crée se chemin étroit qui mènent vers la mort.

Les étoiles. Les étoiles, une chose que j,ai tellement regardées. Le ciel parsemé d'étoiles. La lune est la chose qui a le plus refltées dans mes yeux reluisant pendant les longue nuit où j'ai passer à l'observer. C'est la chose que j'aime le plus regardé, parce que je n'ai pas l'impresion qu'elle me demande quelque chose, sauf de les rejoindre. Rejoindre les étoiles signifirait de mourir, et je suis prêt. Je veux les rejoindre, ces étoiles, celle qui ne pleure jamais, celles qui n'ont jamais peur, qui ne ressente que la joix et la bonne humeur, qui n'ont même pas connaisance de la douleur.

Plus belle est la vie, plus douloureuse est la mort.

Alors la mienne ne devrait pas être douleureuse, puisque la vie n'a jamais été belle. Ce ne serais pas un encouragement non ? De me dire que personne ne remarquera, et que la mort ne seras pas douloureuse. Belle ? La vie ? Elle ne l'as jamais été, sauf ce bref moment, ce bref momen ou il a posé ces lèvres sur les miennes. Seul ce moment où, je crois bien ressentir quelque chose d'autre que de la douleur. La vie n'a jamais été belle ou gentille, elle n'a jamais cessée de m'arracher tout ce que j'ai.

La vie c'est comme un long émission misérable et douloureux, avec quelques poses publicitaires de bonheur. Pour certains, c'est le contraire, une belle vie avec quelqu malheur. Mais moi, s'en ai pathétique.

Je mets décadence, ne sachant quel autre film mettre.

C'est le silence complet. Le seule bruit qui résonne, ce sont les cris des victimes de se film si sanglant. Pour certain, il fait peur. Je me souviens, Armin avait pratiquement pleurer dans mes bras. Pourtant, ce film représente la douleur, comme si elle était un jeux. Ça montre bien la cupidité des humains, montre à quel points ils seraient près à tout faire pour leur misérable vie. Dans ce film, c'est un jeux. Tu es punis pour tes mauvaises actions, tu dois jouer. Les jeux, eux par contre ne sont pas toujours amusant, pas comme la vie que tu as pu vivre jusque là, donc joue.

Levi doit me prendre pour un sale psychopathe qui adore entendre les bruits de souffrance des gens, les os se briser et le sang giclé. C'est peut-être pour ça qu'il ne parle pas. Aucun de nos deux visages ne laissent paraître une émotions. Enfin, le miens si, je suis inconfortable avec cette ridicule situation. Moi, Eren Jeager, jeune qui convoite la mort depuis bien longtemps, accompagnée de Levi Ackerman, personne qui m'a non-seulement sauvé, mais de plus, m'a embrassé il y a.... 2 mois -les semaines où il m'a raccompagné chez moi, je ne les ais pas compté-, en train d'écouté Décadence. C'est étrange.

-T'veux quelque chose à boire l'mioche ? Me dit-il, dérangeant le cris des victimes affolées.

J'n'ai pas soif. Pas soif d'eau, ni de vivre. J'ai soif de toi, Levi.

-N-non, bafouais-je en concentrant mon regard sur la télé pour ne pas le matter.

-Tch, j'reviens.

Puis, il s'en va je ne sais où. Voilà, c'est le moment de t'en aller Eren, fuit comme tu l'as toujours fait. Pourquoi je n'bouge pas ? On dirait que tout mon corps m'encourage à rester ici, au chaud, mais tout mon esprts me dis de fuir. C'est contradictoire et con.

Je réussis tant bien que mal à me lever, espérant que Levi n'arrive pas à ce moment. Désolé Levi, mais je t'évite ma préscience. C'est mieux comme ça, parce que en fait tu voulais probalement me foutre dehors, histoire de continuer ta blague. Je sais que t'aurais fait ça. Alors je t'évites de te salir les mains, toi qui a l'air d'un maniaque.
Je m'en vais vers l'entrer, quand j'entends la voix qui hante mes pensées. C'est fou à quel point c'est lui, et juste lui. Personne d'autre n'a jamais été aussi présent dans ma tête que le jeune homme au cheveux de jais.

-Tu t'enfuis encore ?

Oui. Je m'enfuis encore. Encore une fois, je fuis. Tu devrais y être habitué, non ? En fait, je fais ce travail pour toi, parce que d'une manière ou d'une autre, ce serais toi qui ce s'aurais enfuis, enfuis de moi, parce que tu aurais eu peur. Et je te comprends, j'ai tellement peur présentement, peur de moi, et peur de te faire du mal. Dis-toi que je me suis bien trop attacher, parce que de là à avoir peur de faire du mal à quelqu'un, c'est une énorme preuve d'attention. Je ne veux faire souffrir personne d'autre que moi. Je suis près à tout absorber les démons qui nous entoure, si ce n'est que pour te savoir en vie. Et tout cas, ça c'est trop. Je m'autorise à trop. C'est mauvais, très mauvais.

Pourquoi, pourquoi je m'attahce autant à toi ? C'est peut-être à cause de tes yeux gris-bleu, de tes cheveux de jais, de ton odeur si envoutante, de ton comportement si froid... De tout ça en même temps ? J'en saus rien, mais tu es la seule et unique personne à faire ça. Pourquoi tu m'a ''sauvé" ce soir là ? La vie, non, nos vie auraient été bien mieux. Je serais mort, et toi heureux. C'est une belle fin, non ?

Pour moi, il n'y a rien de plus romantique ou même envoutant. C'est ça que je désire, c'est ce qui m'aurais le plus conveu, alors pourqoi t'en as fait qu'as ta tête et que t'as tout détruit ? T'a percer les putains de murs où j'étais, pourquoi ? T'avais pas à faire ça, maintenant, je suis là, avec toi.

-Pourquoi ? Articulais-je avec difficulté.

Ma gorge est sèche, j'ai l'impression de m'étouffer. Je m'étouffe avec mes démons.

-Pourquoi tu fais ça ? Tu l'sais bien que ça t'mènes à rien ! Tu l'sais bien que j'vaux rien ! TU crois que je me suis pas rendu compte que tout ça, c'était juste une blague ! Eh bien non, tu vois, même moi je la ris ! Hahahahahha.... Si tu savais à quel point je ris !
Ma voix tremble, pourquoi est-ce que y'a que lui qui réussit à me donner une envie immense de pleurer ?

-Alors dis-moi, sil-te-plait, dis moi pourquoi t'as fait tout ça. Tu l'sais autant que moi que ça nous mènes nul part. Tu sais que si j'aurais sauter à s'moment là, tu serais heureux. Je l'serais aussi, et rien de tout ça ne s'aurait produis. On aurais été heureux, séparé, à la place que je te fuis toujous. Mais dans l'fond, c'est juste que je fuis à ta place, parce que tu l'aurais bien fait un jours ou l'autre. Alors, oui, je fuis encore Levi.

Puis, je pars sous la pluie battante

Save me ⚣ → EreriOù les histoires vivent. Découvrez maintenant