Partie | 26 |

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Salam Aleykoum
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Moi : Alors ? Qu'est ce que tu penses de Moha ?

Il hausse des épaules avant de récupérer la petite valise que j'avais mis tout en haut de mon armoire.

Farès : Il est...fidèle. Donc ça va il ne t'approchera pas.

Je souffle d'exaspération et m'assois sur mon lit avant de croiser mes bras.

Moi : Tu te fous de moi ?

Farès : Je rigole. T'as besoin que de ça ?

Moi : Oui.

Il dépose la petite valise à mes côtés et retourne dans ma salle de bains pour se laver le visage. Quand il revient vers moi je prends l'initiative de frictionner sa serviette contre sa tête ce qui lui tire un petit rictus.

Farès : J'aime bien quand tu prends soin de moi.

Je relâche sa serviette et il rigole.

Imbécile.

Moi : Bon et sinon Moha ?

Farès : Il est posé comme mec. J'aime ça, même si ses goûts niveau foot sont à revoir.

Moi : Excuse nous l'expert.

J'ouvre la valise et Farès lui se laisse tomber sur mon lit avant de jouer avec une boucle de mes cheveux.

Farès : Tu taffes demain ?

Moi : Oui, toi ?

Farès : Jour de repos.

Moi : T'as prévu quelque chose ?

Il réfléchit un instant avant de s'allonger.

Farès : Tout dépendra de Kaïla, qu'on sorte ou pas. Je m'en fou.

Je le dévisage un instant avant de tilter en le voyant fermer les yeux.

Moi : Tu dors ici ?

Farès : Ça te dérange ?

Cette seule question suffit à me donner un coup de chaud et comme une conne je déglutis avant de me racler la gorge.

Moi : Non...non non pas du tout.

Je tente du mieux que je peux de m'occuper l'esprit et m'assois en tailleur au pied du lit avant de prendre mon ordinateur pour avancer sur quelques documents.

Seulement, plus j'avance et plus je me rends compte que me concentrer s'avère plus compliqué que prévu avec Farès à mes côtés.

J'ai toujours du mal avec notre proximité, oui et alors ?

Moi : Farès ?

Il relève la tête de son téléphone et me dévisage avant de froncer des sourcils en voyant mon petit sourire en coin.

Farès : Qu'est ce que tu prépares ?

Moi : Tu fais des efforts en ce moment ! T'es plus un sauvage.

Il pouffe de rire avant de reposer sa tête contre l'oreiller.

Farès : J'ai déjà une réputation de briseur de verre, waaah, j'suis heureux d'apprendre que j'ai aussi la réputation d'un homme des cavernes sauvages.

Moi : Oh mon dieu ! C'est pas ce que t'es ?!

Il lève son majeur et je rigole avant de déposer mon ordinateur à mes côtés pour me lever.
Je m'allonge ensuite sur lui et croise mes bras contre son torse tout en posant mon menton dessus.

Anissa - Mariage forcé [ TOME 1 ] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant