Bad ? Et alors !

Chapitre 3

Les rayons du soleil vienne chatouiller mon menton, et j' ouvre les yeux très lentement.J' ai un mal de crane a peine supportable et je suis déboussolé en regardant autour de moi. Ah oui c' est vraie je suis en enfer: chez mon père.En tournant la tête je vois une boite d' aspirine et une bouteille d' eau. Je m' empresse d' en avaler deux sans prendre le temps de boire.Qui a bien pue les apporter? Et pourquoi les souvenirs de la veille sont aussi floue? Je me souviens du début de soirée de la tâche de vin, d' avoir parlé a Evan et très vaguement avoir vomit sinon le reste c' est un énorme trou noir.Je retire le plaide de mes jambes, j' ai encore ma robe, en me levant j' ai le vertige et il me faut bien une minute pour faire ne serait-se qu' un pas.Je fouille dans ma valise pour y trouver un jogging noir et un tee-shirt mauve. Je m' attache les cheveux en queue de cheval très haute, et ouvre ma porte en pinçant les arrête de mon nez.Je descend les escaliers très doucement, j' ai un énorme bleue a la cheville et je ne sais même pas comment c' est arrivé.Aucune trace de mon père,d' Emmy, des deux petits ou encore d' Evan. J ' entre dans la cuisine pour me servir un thé et a ma grande surprise je ne suis pas si seule que ça.Kriss s' active derrière les fourneaux.

-Bonjour Alison, bien dormi ? me lance t-elle en confectionnant des petite boule de pâte a gâteau qui me semble être des cookies.

Je mens, en disant que j' ai dormit comme un bébé pour me pas éveiller ses soupçons. Comme si j' allais lui dit: Ecoute Kriss je ne me souvient absolument de rien je crois que j' ai bue ou un truc dans le genre. Elle me met un plat de donuts aux chocolats sous le nez, je crois que je vais vomir. Mais je ne veut pas la vexer alors je décline poliment sa proposition. Je crois que si j' avale quoi que se sois je vais rendre le peut de choses que j' ai dans le ventre. 

-Tu veut boire quelque chose me demande t-elle avec avec un sourire éclatant.

-Je veut bien un thé s' il te plait, ou est mon père?

En ouvrant un placard pour en sortir une petite boite a thé rose bonbon elle m' explique qu' il est partit tôt car il avait une réunion très importante aux bureaux.J' entend la porte d' entrer claquer: Emmy est pendue au bras de Evan qui me regarde, il a l' air complètement normale mais je ne peut pas en dire autant pour ma demi-sœur: du mascara et du liner coule sur ses joues, son talon est cassé et elle a l' air plus que défoncé.Je regarde Kriss qui devient rouge de colère.

-Emmy! hurle t-elle pendant que je sursaute de l' entendre aussi hors d' elle. Mais dans quelle état t' es tu mis encore?

-Oh maman c 'est bon j' ai juste un peu bu et je suis pas morte j' avais quelqu' un pour veiller sur moi. 

Elle regarde Evan et essaye de l' embrasser passionnément du moins le peut qu' elle y arrive. Il a l' air dégoûté et la repousse gentiment et au moment ou ses yeux vert émeraude croissent les miens je tourne la tête mais c' est trop tard il m' a vue. Ils tournent tous les deux les talons et remonte a l' étage.Et un souvenirs me revient: moi dans les escaliers avec Evan qui me porte mais le reste est un trou noir.Kriss pose ses avant bras sur le plan de travail et je crois pendant quelque court instant apercevoir une larme qu' elle essuie du revers de la manche de son tablier bleu ciel.

-Je ne sais plus quoi faire avec elle...

La curiosité l' emporte et je lui demande pourquoi elle ne l' empêche pas de sortir.

-Tu sait Alison, quelques années avant que je rencontre ton père j' ai eu de gros problème financier avec Robert le père d' Emmy, on pouvaient a peine se nourrirent on habitaient dans un appartement abandonné et je n' est jamais rien pue lui offrir de toute son enfance.

 Elle me regarde, ses yeux son rouge, et son maquillage parfait a coulé alors je m' approche un peu plus d' elle et elle me saute littéralement dans les bras, j' ai vraiment mal au coeur pour elle. Je ne l' imagine pas Kriss gentille petite ménagère dans une situation aussi précaire.Quelque minute plus tard elle se dégage comme si de rien n' était et repart derrière les fourneaux.