Qu'arrive-t-il lorsqu'un soi-disant punk et une gentille fille s'affrontent ? Cela retourne ton monde dans tous les sens. Ce n'est pourtant pas ce à quoi ça ressemble, mais personne ne comprend ou se préoccupe d'essayer de comprendre. La route n'est...
Pour me faire pardonner de l'attente. Bonne lecture!!
P.D.V de Maura
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Lorsque je m'éloigne de Niall et (T/N), ça me frappe.
Pourquoi n'ai-je rien fais pour arranger cette situation ?
(T/N) est la fille plus mignonne que j'ai jamais rencontré. Elle compte tellement pour Niall. N'importe qui peut le voir. La façon dont il la regarde c'est trop mignon. C'est plus que mignon. Il a tellement d'amour pour elle, c'est incroyable. Je n'ai jamais vu mon bébé aussi content.
Je suis tellement reconnaissante qu'elle soit resté à ses côtés,même pendant les temps dures. Les seuls qui ont fait la même chose sont les autres garçons, mais c'est différent. Il y a eu tellement d'opportunités pour elle de tout lâcher et partir, mais elle ne l'a pas fait, et je l'aime pour ça.
Je suis presque dans la chambre. J'essaye de trouver ce que je vais leur dire. Je n'ai pas envie de commencer une dispute, mais je dois leur passer à travers. Ils ont besoin de réaliser leurs fautes.
J'entre dans la chambre pour voir les deux parents de (T/N). Sa mère tiens la main de son père. Elle est en pleure, contente de le voir en vie. C'est le silence total, seul le bruit des faibles reniflements comble la salle. Ce serait le moment parfait seulement si (T/N) était là.
Je toc à la porte, capturant leur attention. Je leur envoie un sourire et marche vers le lit d'hôpital.
« Bonjour. Je suis Docteur Maura Horan. » Je leur lance à tous les deux un sourire.
« Bonjour. » La mère de (T/N) dit.
« Il y a quelque chose d'étrangement familier chez vous. »Son père dit en me regardant. Je ne vais pas leur dire exactement qui je suis. Je veux voir s'ils diront quelque chose sur Niall ou (T/N).
« Hé bien, j'ai été ici pendant tout la durée de votre séjour à l'hôpital. »
Il hoche la tête. « Peut-être que c'est cela. Merci pour tout ce que vous avez fait. »
« Bien sûr. »
« Pouvez-vous nous faire une faveur cependant ? » Sa mère me demande.
« Bien sûr. Qu'est ce que c'est ? »
« Pouvez-vous faire en sorte que notre fille ne nous dérange pas ? On est pas en bons termes. » Elle n'a pas honte de me demander ça. Son ton porte une quantité phénoménale d'animosité.
« S'il vous plaît. Faites en sorte que son punk de petit copain ne vienne pas ici non plus. » Son père demande.
« Apparemment il travail ici maintenant. Je ne lui fais pas confiance. Il drogue probablement ses patients. » Elle laisse sortir un petit hennissement.
« Ah ouais ? Je n'avais pas réalisé que mon fils droguait les patients. Ça doit être pourquoi autant de personne l'aiment, hein ? »
Leurs yeux s'agrandissent. Ils se regardent puis me regardent.
« On est désolés. On ne le pensait pas. » Sa mère dit rapidement.
« Vous êtes désolés ? Pourquoi êtes vous désolés tout à coup ? » Ils restent silencieux. Je secoue ma tête et continue. « Vous ne devriez pas vous excuser auprès de moi.Je pense que mon fils et (T/N) méritent des excuses. » Je commence à examiner les conditions de son père. « Derrière les tatouages et l'extérieur intimidant, il a un côté doux et sensible. Il fait ressortir ça le mieux avec votre fille. C'est une fille très mignonne. La plus mignonne que j'ai rencontré en fait.Elle est très intelligente et une bonne fille. Vous l'avez bien élevé, mais vous avez décidé de la jeter sur le côté à cause d'une situation mal interprétée. Vous lui manqué vraiment. Elle veut juste que vous la l'acceptiez de nouveau, mais vous ne voulez pas.Essayez juste de voir cette situation de son point de vue. Elle a eu un moment difficile, mais elle n'a pas laissé ça la changer. Elle reste la bonne personne qu'elle est. » J'arrête mon examen.« Votre condition s'arrange doucement. Vous reviendrez à vous-même dans peu de temps. » Ils restent silencieux lorsque je traverse la salle et vais vers la sortie. « Si vous décidez de la voir, dites-le moi. Je vous donnerai mon adresse. » Je dis avant de sortir, les laissant penser à leurs faits.
Parfois les adultes sont juste de grands enfants, des pestes.
