* Chapitre 3 *

123 11 5
                                    

-Quand quelques instant plus tard je me sens soulevée, porté par une personne, qui ? Je n'ai même pas la force d'ouvrir les yeux pour savoir de qui il s'agit tellement que j'ai froid, triste et morte de fatigue. Puis plus rien.-

Je me réveille avec le jour en pleine figure, comment me mettre de mauvaise humeur dès le matin. Puis mon mal de crâne me fait rappeler toute la soirée d'hier et je me rends compte que je suis dans un lit que je ne connais absolument pas, je commence à paniqué. Je me lève de ce lit et je ne reconnais pas non plus chez qui je suis, je ne reconnais rien, pas le salon ni la cuisine, je suis toute seule. Il n'y a personne et je n'ai plus de batterie. Je décide de me poser sur le canapé de cette maison qui m'est inconnu et j'attends. Puis la porte d'entrée s'ouvre et j'aperçois un gars arrivé avec des croissants à la main.

Moi : Tu es qui, pourquoi je suis là ?

Lui : Elle va commencer à se calmer la petite, je suis gentille, je me lève pour aller chercher des croissants et c'est comme ça que l'on me dit merci ?

Moi : Les croissants ? Tu crois que ça me préoccupe ? je viens de dormir chez un inconnu, j'ai plus de batterie, je suis perdue et je ne peux même pas appeler mes potes. Donc, t'es croissant, tu es bien mignon, mais ça me passe aux dessus tu voies.

Lui : Oui t'a raison, j'aurais dû te laisser dans le froid et le noir, un pervers serait passé par là, tu aurais beaucoup moins rigolé. Alors, tu commences à te calmer, j'étaie à la soirée à Jordan hier et je

t'es vue allonger à déprimer, je n'allais pas te laisser mourir de froid.

Moi : T'es un pote de Jordan ? Passe ton téléphone ! Il faut que je l'appelle, il va me tuer putain.

Lui : Panique pas il va venir, je lui es envoyé un message pour lui dire que je t'ai trouvé et que tu as dormi chez moi.

Moi : Merci, bon en attendant qu'il arrive donne les croissants, on ne va pas les regarder.

Lui : Tient mademoiselle veut des croissants maintenant, elle se sent plus rassurer ?

Moi : Ta bouche, j'ai juste faim, allez donne.

Lui : Grosse dalleuse. Moi c'est Romain pote à Jordan.

Moi : Hanna.

Romain : ouais je sais.

Ils s'assoient avec moi sur le canapé et mangèrent nos croissants. J'ai hâte que Jordan vienne me chercher, j'ai vraiment été méchante avec eux hier mais en même temps, ils veulent tous me protéger. D'ailleurs, je ne lui ai même pas répondue à Zac, tant pis je pense qu'il peut largement attendre après ce qu'il m'a fait.

-15h00-

Je suis toujours chez Romain, il ne faut pas être pressé avec Jordan, la preuve qu'il veut vraiment me voir, ça fait plaisir. Après 3 heures à l'attendre, on voit un fou entré dans la maison, Jordan sa tête, on dirait qu'il ,n'a pas dormi depuis des jours.

Jordan : Hanna Walts, vient, je t'emmène chez moi et pas la peine de répondre.

Quand il prononce mon nom de famille ce n'est jamais bon, je n'aime pas quand il fait ça. Je ne réponds rien et il ne faut même pas que j'essaye. Je dis au revoir à Romain, lui dit merci et monte dans la voiture de Jordan à l'attendre, il se fait toujours attendre celui-là. Le trajet était interminable, aucun de nous deux ne parlait alors fallait bien briser ce froid glacial.

Moi : Je suis désolée Jordan pour hier soir.

Jordan : Désolé ? Tu n'as pas à t'excuser. On est arrivé, on va se poser, il faut que l'on parle.

Il faut que l'on parle, il joue à quoi, je sais que je n'aurai jamais dû faire ça hier soir mais il a l'air vraiment tendue, je m'attends au pire. On rentre chez lui, il ces prit un appartement pour qu'il soit plus tranquille. On va dans la cuisine, il me donne un pull à lui pour me réchauffer me prépare un bon chocolat chaud et il commence à parler.Je ne m'attendais pas à ça.


Un été d'un amour interditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant