Déjà vu [Creepypasta OC]

Dernier Jour - "Affrontation"

Et voilà.

C'est la fin.

Encore une fois.

Malgré tout nos efforts, nous avons échoué.

Le premier groupe fut éliminer plus vite que la lumière.
Le deuxième y passa aussi rapidement.
Les espoirs reposaient sur nous cinq.

Nous avons combattue avec toute la force que nous avions.
Nous avons tenu jusqu'à n'avoir plus de souffle.
Mais nous tombions une à une, chacun notre tours.

Me laissant seule face à mon pire cauchemar.

J'utilisai toute la force que j'avais pour l'arrêter. C'était tellement long et pénible. Déjà que je ne suis pas très belle sous ma forme démoniaque, combattre pendant presque une heure inutilement était très pénible.

Tellement long que même certain membre de la première équipe aidait les autres à se relever et à les mettre en sécurité.

Quand ils arrivèrent à nous, ils ont dut faire un saut en voyant ma tête horrible... Je n'ai pas pu y faire attention, j'étais déjà un peu occupé.
En même temps, qui ne ferait pas le saut si il verrait pour la première ma mâchoire surdimensionner avec ses dents pointues et gigantesques et ses mains aussi surdimensionner et aussi pointues qu'une lame tranchante. Sans oublier mes yeux devenu complètement noir gardant l'iris rouge.

Je suis horrible au naturelle. Mais je suis forte.
Mais pas assez pour venir à bout de Zalgo facilement.

Il ne fallait qu'un mini moment de distraction pour que cela me mène à ma perte. Et ce moment...

Je l'ai eu.

C'était quand Masky est arrivé.
Je n'ai pas pu m'empêcher de le regarder et constater ses blessures.
Je n'ai pas pu m'empêcher de m'inquiéter pour lui.

Mais avant même que je retourne mon regard vers Zalgo, tout était finit.

Ma dernière vision avant qu'il prenne le contrôle fut le visage de Masky se détériorer en voyant la scène.

Et après ce qui devait arriver arriva.

Slender mort.

Tout le monde en panique après la disparition de Zalgo.

Izumi qui me trainait vers l'endroit de mon départ comme à chaque fois.

J'aurais aimé parler à Masky avant que je partes.
Mais je présume que c'est le prix à payer pour ce nouvelle échec...

Je suis désolée chers lecteurs, mais je dois vous quittez.

J'aurais aimé continuer à vous écrire mais il n'y a pas de suite pour moi.

Je vous souhaite d'avoir une belle vie dans le futur.

Votre écrivaine,

-Lavander Rosenbach

12 août, dernier jour du cycle.