chapitre 13

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Je tremblais et commença à rire nerveusement. Ma meilleure amie viens de me dire qu'elle m'abandonnait . Elle n'en avait pas le droit, elle ne sait pas quelle erreur elle faisait , elle ne sait pas ce que je subis chaque jour, elle ne sait rien justement, elle ne m'étais d'aucune utilité pour une meilleure amie, elle m'avait déjà remplacé de toute manière, mieux valait l'oublier. Mais je ne pouvais pas me résigner aussi facilement et mes larmes coulèrent , des larmes de colère, frustration, tristesse . Mon père va mourir , ma mère m'oubliera pour son homme, et ma meilleure amie ne veut plus de moi . Je n'ai plus rien à part l'école et une horde de vampire sadique, C'est-à- cause d'eux ! Je m'énervais sur tout ce que je trouvais sur mon chemin . Puis je trouva cette bague et dans mon élan de colère, la fit voltiger à l'autre bout de la pièce mais m'empressa de la retrouver . Cette bague avait cette chose spécial en elle , oui , elle savait me réconforter. C'était une bague touareg autrement dit une bague à secret. Je l'ouvris et découvris ce même mot à chaque fois que j'ouvre ma bague , "je t'aime ". À chaque fois c'est une bouffer d'émotion, tristesse, joie , amour . Pourquoi  un simple message de personne inconnu me faisait tout ça ? Aucune idée. Je me mis a effleuré des doigt ce message.
Moi : si tu m'aimes, ou es-tu ?
Je rangeais ce mot en vitesse de peur de le mouiller avec ma nouvelle série de larmes. J'enfilais ma bague dans un fil de couture pour l'instant. Je descendis chercher Kou pour des explications mais il était en pleine discussion avec ses frères. C'était un de ses moments que j'aurais aimé avoir si j'avais eu une grande famille. Azusa me remarqua et me fit un signe de la main . Son bras était mal bander et on pouvait voir ses mutilations , pourquoi aimer avoir mal ? Je m'avançais pour parler à Kou .
Moi(chuchote) : Kou, il faudrait se parler (il me regarde) je te donnerai ce que tu veux .
Kou (tout haut) : Mitsuki ! Ça s'appelle de la corruption ! Si tu veux me parler de quelque chose , il faudrait en parler à tout le monde.
Je soupirais.
Moi : ok si c'est comme ça . J'ai besoin d'un téléphone, juste pour une seule personne ou d'un timbre ou je me débrouillerais toute seule .
Ruki : c'est non !
Moi : pourquoi ?!
Ruki : tu ne pourrais trouver un téléphone qu'en ville , la ville c'est dangereux.
Moi : mon père va mourir , s'il-te-plaît.
Ruki : non
Moi :alors toi vas-y ! Au moins m'acheter un timbre et une enveloppe, je te donnerai l'argent et si tu veux(je déglutis) je pourrais te donner de mon sang .
Il referma son livre et me regarda de travers.
Ruki : tu te vends comme un vulgaire animale, tu ne mérites rien du tout et de toute façon tu n'as personne à contacter vu que tu n'as personne ,arrête de t'attacher à ce qui n'est plus .
Moi : mon père n'est pas mort !
Yuma : il va crever .
Je leur jetais un regard rageur .
Moi : c'est fou ça ! Des monstres comme vous n'ont jamais eu de parents ? Des ami(e)s qui comptent pour vous ? A priori non !
Ils baissèrent tous la tête.
Azusa : Ruki en a eu lui .
Ruki frappa sur la table pour faire signe à Azusa de se taire .
J'allais continuer ma bataille mais...
Ruki : toi ! Tu arrêtes ça immédiatement.
Moi : mais
Yuma  : arrête !
Je courus dans ma chambre et m'étala sur mon lit . Je dois partir. Kou rentra avec douceur dans ma chambre.
Kou : ça va ?
Moi(sarcastique):maintenant ça demande de mes nouvelles ?
Kou : Ne sois pas dur avec Ruki .
Moi : parce qu'il a le droit de l'être avec moi ?
Kou : tu ne sais pas ce qu'il a vécu.
Moi : il ne sait pas ce que je vis , un enfer ! Vous êtes là pour le soutenir moi personne.
Kou : tu ne sais pas ce qu'on a vécu.
Moi : effectivement et je pense que je vais partir.
Il sembla réfléchir un moment puis il me dit .
Kou : sans problème , pourquoi pas !
Je le regardai étonné. Il était passé de gars mystérieux au passé lourd au gars complètement insouciant .
Kou : je vais en parler au autre . Comme ça tout le monde est satisfait !
Je le regardai sceptique. Il était descendu et remonter.
Kou : j'en ai parlé a tout le monde sauf à Ruki. Quand il ne te sentira plus , on lui expliquera , tu peux partir maintenant.
Je me dirigea vers la porte , toujours en regardant derrière moi .
Moi : il pourrais y avoir des vampires dans la ville .
Kou : ne t'inquiète pas. Reste dans la ville, nul part d'autres.
Je lui hocha la tête et alla selon où il m'avait indiqué en ville. Je m'étais mis en idée de prendre le premier bus pour m'en aller loin d'ici mais il n'était pas bête . Cette ville n'en était pas complètement une, en fait ce n'est même pas une ville , c'est une cité commercial . Elle n'était ouverte qu'à une certaine heure . Il m'avait bien eu ! La poste était fermé et je ne trouvais même pas de poste de police. Il n'y avait même pas de cabinet téléphonique, on avait tous des portables maintenant ! Le seul truc ouvert était un distributeur. Je m'acheta une cannette et des chips et m'appuya sur un mur . C'est dans ses moments là qu'on se dit que sa vie est vraiment minable mais bon on fait avec . Puis la pluie tomba et aucune de ses foutues boutique n'avais des sorte de véranda . Je renversa ma cannette en courant. Je ne sais comment j'étais entrain de courir dans les hautes herbes et rentra dans une grotte. J'étais trempé mais bon ce n'était pas très grave. Je regardai la pluie lorsque que quelques choses se colla à moi .

Diabolik lovers II : un sang démoniaqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant