Mikaelson's Hope

Chapitre 11 : Nouvelles surprenantes.

La roue tourne toujours...

Après avoir quitté le loft de Marcel, mon père voulait faire plus ample connaissance avec moi. Il avait donc décidé de m'emmener dans le restaurant le plus connu de la ville. Le "Western bar".
Il n'était pas tellement remplit en ce moment. Quelques groupes d'amis discutaient autour d'un verre sur une table de 5 personnes. Une fille blonde, était au bar et venait de servir un whisky à une femme d'un certain âge. Quand elle nous vit rentrer, la barman lâcha son verre qu'elle était en train de nettoyer. Il se cassait sur le sol.

-Klaus, dit-elle, comme si elle avait vu un ange.

Mon père s'avança, sourire aux lèvres vers elle. Moi je pris place sur une table près de la fenêtre pour observer la scène. La blonde prit papa dans ses bras...et l'embrassa...What ????
Je fronçai les sourcils en regardant cette scène. Papa, main dans la main avec...sa petite amie, marcha vers moi et vient s'asseoir à ma table.

-Hope, voici Caroline ma petite amie, Caroline voici Hope, ma fille.

Elle me sourit de toutes ses dents. Ses yeux pétillaient.

-Je suis tellement heureuse de te rencontrer ! Ton père m'a tellement parlé de toi ! Elle tourna sa tête vers Klaus. 12 ans que j'attends ton retour...je n'avais plus d'espoir. J'ai prié chaque jour pour ton retour.

Je n'écoutais plus leur conversation. J'étais perdu dans mes pensées. J'étais toujours convaincu que ma mère était en couple avec...papa. Donc, si je déduis bien, mes parents sont séparés...Et c'est cette blondasse à la voix très aiguë qui la remplace. Je n'aime pas cette fille.

-Tu es tellement courageuse d'avoir affronté Marcel ! S'exclama Caroline en touchant ma main. Tu ressembles bien à ton père pour ça ! Elle me sourit une nouvelle fois. Merci de l'avoir sauvé !

-Ouais, en fait j'ai sauvé papa plus pour ma famille que pour toi mais bon...

Elle perdit immédiatement son sourire. Mes yeux étaient littéralement en train de la fusiller. Je vis que mon père fronçai les sourcils. J'aimerai bien passer mon après midi avec lui pour le connaître davantage, malheureusement cette fille gâche tout.

-Caroline, dis-je avec un sourire hypocrite, tu peux nous laisser s'il te plaît, j'aimerai parler à mon père, histoire de rattraper le temps perdu. Donc...faudrait que tu partes en fait.

Elle semblait surprise de mes propos. Elle se redressa sur sa chaise en me lançant un léger sourire. Elle regarda ensuite Klaus.

-On se voit ce soir. Sa voix était presque un murmure. Elle reparti travailler.

Papa embrassa sa main et je levai les yeux au ciel. Il se retourna vers moi, sourcils levés.

-C'était quoi ça ? Tu as été presque impolie avec elle.

Je regardai ma main et je jouais avec une bague rouge que ma mère m'avait donné à mes cinq ans. Elle m'avait raconté que cette bague, fut autrefois fabriquée par elle et papa.

-Écoute, ça a été dur pour moi ces derniers jours, et la, alors que tout allait pour le mieux, je découvre que toi et maman êtes séparés. Desolé mais j'ai du mal à encaisser toutes ces nouvelles d'un coup.