Et si...L'action ce déroulait au moyen âge
Je venais d'arriver en ville, et à la premier minute, mes yeux ont divagué sur le visage juvénile d'une jeune personne, qui avait tout l'air de ne pas vouloir ce faire remarquer sous sa capuche et sa cape bleue nuit. Je m'approcha d'elle et avant même que je ne pu dire quelque chose, elle se retourna et mis son poignard sous ma gorge. Ne me touchez pas ! Sa voix tremblait même si la principale concernée essayait tant bien que mal de paraître assuré. Dans ce cas précis mademoiselle c'est vous qui avez commencez. Et je pris doucement la lame entre mes doigts avant qu'elle finisse par inadvertance dans mon coup. Elle recula d'un pas, étant à une distance inappropriée de mon visage ce qui commençait à attirer des regards indiscret vers nous et donc vers elle. Où peut allez une aussi jeune dame seule dans la nuit et qui plus est avec une dague à sa ceinture. Demandais-je en replaçant le petit couteau à sa place effleurant la taille de la jeune fille. Là où ça ne vous concerne pas. dit-elle sèchement avant de commencer à partir.
Je lui emboîta le pas, persuadé qu'à un moment elle aurait besoin de moi. Plus les minutes passait plus la distance entre l'encapuchonnée bleu et moi se réduisait, si bien qu'au bout d'une vingtaines de minutes nous marchions coude contre coude sans pour autant décrocher un mot.
Très vite on arriva au pied d'un haut bâtiment de pierre et la jeune fille sortit de son sac un grappin dont je n'avais pu soupçonner l'existence sous cette cape. Elle le lança une fois, mais il retomba lourdement manquant de peu de la blesser, avant qu'elle ne retente je lui pris des mains et l'accrocha entre les barreaux du balcon qui semblait donner sur une fenêtre ouverte. Elle me sourit pour la première fois, et alors que sa capuche montra à la lumière de la lune ses cheveux auburn, elle attacha sa robe de façon à pouvoir escalader le mur, et commença son ascension sans attendre vers cet endroit dont je ne connaissais rien. Alors les questions me prient en otage et je décida de repartir ne voulant pas être complice d'un vol. Mais avant d'être trop loin j'entendit une voix d'en haut me proposant de monter, ma curiosité fut piquée à vif et en quelques secondes j'étais adossé au balcon pour reprendre mon souffle. Elle remonta le grappin et le rangea de nouveau dans sa sacoche et tout en détachant sa robe où l'on pouvait voir ses chevilles et en attachant ses cheveux grossièrement elle rentra à l'intérieur et à la lueur d'une bougie me montra sous mes yeux ébahie une immense bibliothèque insoupçonné de l'extérieur.
Elle me laissa bouche bée et commença à sélectionner deux, trois livres sur des sujets différents tels que les civilisations passées, l'astronomie et le théâtre. Assise à une table je la rejoignit aillant pris un livre sur le maniement des lames. J'ignore encore combien de temps nous sommes rester là à lire livres sur livres, échangeant des informations, des rires et des découvertes insensé.
Lorsque nous avons regardés pour la première fois par la fenêtre nous furent pris de cour, le jour se levait et le soleil serait là d'ici une petite heure. Elle rangea les livres précipitamment à leur place et m'entraîna à montrer un petit escalier en colimaçon qui nous fit arriver sur le toit. De là elle jaugea la distance entre le haut de la tour et la prochaine maison et tout en prenant son élan toucha une dernière la tour de son pied et en un fragment secondes fut de l'autre côté de la rue, sur un autre toit. Elle m'invita d'un regard à en faire de même et une fois à ses côtés, elle rit de cette chose impensable que nous venions de faire, comme si cette nuit nous avez fait pousser des ailes nous ouvrant le champs des possibles dans cette société où tout nous est dicté . Au bout de quelques minutes, après avoir contemplé la vu qui s'offrait à nous, elle descendit aussi délicatement qu'un chat dans la ruelle s'appuyant sur le bois dépassant des maisons tarabiscotés comme des marches. Je la rejoignis tout aussi vite mais beaucoup moins silencieusement et nous reprirent la route dans le silence.
Le soleil se levait et l'odeur du pain se propageait autour de nous mais les yeux mi-clos de ma jeune amie me convint à la raccompagner jusqu'à chez elle avant de parcourir les étalages du marché qui poussait petit à petit. Elle s'arrêta devant une porte jaune soleil, hésita à toquer et finalement se retourna vers moi et murmura : merci, à Dieu. Ses mots ont raisonnés pendant longtemps dans ma tête avant de réalisé qu'elle avait disparu sous mes yeux et avait commencé à escalader la façade pour se retrouver devant une fenêtre ouverte où elle disparu derrière.
Pauline la Mandoline :)
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Et si...
Short StoryEt si... Et si un seul détail pouvait changer les choses ? Et si vous décidiez de rajouter un énième livre à votre bibliothèque ? Et si finalement ça vous plaisez bien ? Tout peu changer avec un "Et si...". #43 dans la catégorie /nouvelles/ 18-04-1...