La secrétaire me fit entrer dans le bureau de mon beau-père. J'étais attendu. Il était devant sa baie vitrée, debout. Lorsque la secrétaire m'annonça. Il ne daigna même pas ce retourner. Il tourna légèrement son visage dans ma direction avant de reprendre sa position initiale. Je pouvais voir son reflet dans la vitre, il affichait un sourire hypocrite. Il était faux, son visage entier reflétait sa malhonnêteté. Il me dégoûte.-Assieds-toi mon garçon.
- Nous ne sommes pas assez proche pour que vous puissiez m'appeler de cette façon, cette formule familière était réserver à mes proches, abstenez-vous de l'utiliser, répondis-je froidement à l'homme en face de moi qui n'était autre que mon beau-père.
- Tu n'as pas être aussi méfiant à mon égard ni aussi cruel. Ne t'ai-je pas toujours bien traité ? Ai-je une seul fois fais preuve de méchanceté envers toi ?dit-il sur un faussement outragé.
- J'étais un enfant certes mais je n'était pas aveugle, pendant que vous tentiez de m'acheter avec des cadeaux et autres pour me détourné de ma mère, je la voyais pleuré et en grandissant j'ai parfaitement compris la situation alors ne me vanté pas les mérites de vos actions sournoise et traître.
- C'est vraiment regrettable, j'aurais voulu que nous puissions nous entendre au lieu de faire ce bras de fer permanent. Mais puisqu'il en est ainsi passons. Et voyons plutôt le motif de ta présence ici. Je pense que tu le sais déjà, n'est ce pas ?
- Allez droit au but. Il est inutile de tourner autour du pot avec moi. Je ne m'étonne plus de vos perfidies.
-Grand- Dieu !! Mark !! Quel cruauté, je suis vraiment triste de voir à quel point tu es devenu froid, s'écria-t-il .Mais puisque tu le souhaite dans ce cas. Je t'ai fais venir ici car ton manager m'a téléphone. J'ai été déçu d'apprendre que tu avais empêcher le bon fonctionnement du groupe. En plus d'être froid avec moi tu perturbe l'avancement d'un groupe que j'ai créé et tu brutalise le manager que j'ai placé auprès de vous pour votre carrière et votre bien à tous, donc à toi aussi Mark. Tu perturbe l'entrainement, tu frappe ton manager, tu oblige quelqu'un à venir te chercher, et en plus il y a une histoire de filles ou je ne sais trop quoi. Je dois avouer que ce n'est rien de très glorieux.
-Je vous en prie, cesser de jouer les hommes exemplaire. Vous ne pouvez abuser aucun de nous deux . Je sais parfaitement que vous l'avez placé la pour mieux me surveiller. Si vos mensonges trompe les autres cela ne fonctionne pas avec moi.
Il y eu un moment de silence. J'étais debout devant lui. Mon regard encré dans le sien, il souriait. Si j'avais pu je l'aurais frapper. Il détourna finalement son visage et ce dirigeants vers la bibliothèque, il sorti d'un tiroir une boîte en bois de rose. Il revint à son bureau et s'assit en posant la boîte devant lui. Il en sortis plusieurs papier et des clés.
- Tu as assez jouer les chanteurs. Tu vas quitter le groupe et tu vas partir en Amérique. Tu vas aller dans mon entreprise. Tu te formeras avec le PDG actuel qui feras de toi son second. Lorsque tu auras fini ton apprentissage tu reviendras en Corée et je te laisserais géré une partie de mes affaires pendant trois mois. Si ton apprentissage aux États-Unis ce révèle fructueux, alors je te céderais ma place à la tête de mes entreprises. Dans le cas contraire ou tu aurais décidé de me tenir tête et de ne pas suivre mes instructions je te laisse là bas jusqu'à ce que tu te plis et crois moi si je te coupe les vivres ce ne seras pas une partie de plaisir.
-Vos menaces ne m'effraies pas et je ne vous est pas attendu pour savoir me débrouiller tout seul. Je sais parfaitement pourquoi vous faites tout ça. Et croyez moi le jour ou je pourrais enfin vous foutre en tol je ne manquerais pas une seule occasion de vous faire souffrir et de vous humilier. Pour le moment je m'incline mais cela ne dureras qu'un temps.
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Le Sang Sur La Neige
حركة (أكشن)Elle était si pâle...Je caressais ses cheveux et ses joues... En peu de temps son visage fut recouvert d'une fine couche de givre qui accentua son teint cadavérique. Le sol enneigé rougis par son sang semblait crier vengeance. Mes larmes tombaie...