Le lendemain soir je suis sortis, j'étais triste.
Je voulais tout recommencer le soir où j'avais rencontrer Enzo. Je voulais le haïr autant que je l'aimais.Les étoiles brillaient. La lune éclairait la ville d'une douce lumière.
Je me suis assise au milieux de la route et contemplait le ciel. Une voiture arrivait je ne voulais pas bouger. Je me disais que de toute façon c'était la meilleure chose qui pouvait arriver .
Je voyais les phares, ils fonçaient droit sur moi. Mais d'un coup sans que je comprenne quoi que se sois quelqu'un me tira sur le trottoir et la voiture passa.
Je me retourna, prête a frapper celui qui m'avais sauvée de la mort, mais c'était Enzo. C'était lui qui m'avais tirer de là. Je ne savais pas quoi faire. Alors je me contenta de le remercier.- Tu comptais faire quoi ?
- Je sais pas j'avais pas entendu la voiture
- Arrête de mentir. Bon désoler d'être parti sans rien dire hier
- Ouais je t'en veux pas, je sais pourquoi tu es parti et si tu ne veux plus me parler je comprendraisIl ne répondit rien. Son visage était triste et ses yeux brillais sous la lumière des lampadaires.
Il me prit la main et marcha en direction de la plage.
Sur les trottoirs il y avait des toxicos, les mêmes que d'habitude seulement cette fois je les regardaient avec attention . Les seringues étalées par terre, leurs corps allongés sur le sol semblaient dormir.- Ne les regards pas comme sa! Me signala Enzo
- Pourquoi ?
- Ils n'ont pas besoins de ta pitié, ils ont choisi de faire çaJe répondis rien. On arrivait bientôt à la plage.
Je me demandais pourquoi il m'avais emmener là.
Il s'Assis sur un rocher et je pris place à coter de lui.- Tu sais, j'en es voulu au monde entier quand ma mère est tomber dans le coma. Je connaissais l'identité de l'agresseur, ton père donc. Et comme les toxs qu'on à croiser en venant j'ai décider de prendre de la came. Ça marchait au debut , ça marchait vraiment bien.
Il s'arrêta un instant. Je voyais ses lèvres trembler. Il essayait d'être stoïque
- Mais au fur et a mesure que j'en prenait, les effets se dissipait de plus en plus vite.
Et puis je t'ai rencontrer. Pendant une semaine je n'est plus toucher a la drogue jusqu'à cette soirée sur la plage. Mais je me suis rendu compte que tu était la seul drogue dont je ne pouvais pas me passer.
Alors non je ne vais pas arrêter de te parler, parce que ça me turait Manaë.Les larmes me montaient. Jamais personne ne m'avais dit quelque chose d'aussi beau. Je n'avais jamais imaginer que Enzo pouvait m'aimer. Après tout se qui c'est passer, et puis a part la nuit nous n'avions rien en commun
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Comme Léthargique
JugendliteraturElle est insociable, Il aime les gens Elle déteste parler, Il aime la conversation Elle ment inceçamment , il vie à travers la vérité Ils n'ont pas grand choses en commun mais ils aiment la nuit Ils finiront sûrement par s'apprécier Mais rien n'a...