Comme Léthargique

14. Comme une larmes

Aujourd'hui je vais voir mon père avec Hélène.
Je crois que c'est à 11:00.
J'avais peur, ça me stressais.
Je ne savais pas pourquoi il voulais me voir.
Après mettre réveiller vers dix heure, je me suis dépêcher de m'habiller, me laver et puis on parti.
En arrivant, on me plaça seule, dans une pièce avec deux chaises et une table.
Quelques minutes plus tard, des policier firent entrer mon père.
Un policier ferma la porte et se plaça contre celle-ci.
Mon père commença:

- Je suis désoler de t'avoir fait venir ici alors qu'il avais cours, mais se que je vais te dire est très important et il ne faudra en parler à personne. Même pas Hélène.

- Promis ! Mais tu m'inquiète.

- Écoute bien se que je vais te dire, on a pas beaucoup de temps.

J'aquieça.

- Dans notre ancienne maison. Celle que tu as quitter pour vivre chez Dan, se trouve 10 000€ en liquide dans un sac.
Le sac est dans cacher derrière un carreau de la salle de bain. J'avais cacher ses économie pour quand je sortirais de prison. Mais malheureusement je ne sortirais jamais

- Comment ça ? Tu n'avais pris que 20ans.

- Le procès c'est terminer la semaine dernière. Puisque Mme Dinbrod est morte. Je suis passer à perpétuité et je refuse de passer le reste de ma vie ici.
Alors ...

Il s'arrêta un instant. Je pensa à Mme Dinbord, ça devait être la mere de Enzo. Mon père reprit la mort dans l'âme.

- alors je vais me suicider, mais..

- Je te l'interdit! Les larmes montaient, mon père voulais mourir
Et puis au faite, pourquoi tu t'en es pris à cette femme ?

- Chut, chut ! Dit il. Je sais que c'est compliquer à entendre mais sa vaut mieux pour nous deux. Tu aura de quoi vivre et moi je serais mieux après ça.
Mais n'en parle pas. Ils m'en empêcheront. Et tout simplement car elle ma prise entrain voler. J'ai pas eu le choix !

Les larmes coulaient sur mon visage. Je ne comprenais pas. Je ne voulais pas comprendre enfaite.

- Je t'aime Manaë tu sais ! Tu es ma fille et tu es aussi la femme de ma vie.

- Je... Je t'aime aussi papa.

Le policier est entrer et il à emmener mon père.
C'était la dernière fois que je le voyais.
J'étais bouleverser. C'était mon père. Mon père veut se suicider. Je n'avais jamais entendu quelque chose d'aussi horrible.
Je m'en foutais de l'argent qu'il me laissais. Je m'en foutais de tout. Moi je voulais mon père.
Avec Hélène on reparti à la maison d'accueil. Je pleurait toujours, j'avais l'impression que mon monde s'écroulait, et je ne pouvais en parler à personne.

Quand on est rentrer, je suis aller dans ma chambre et j'ai continuer de pleurer. Et puis je me suis endormi.
Quand je me suis réveiller il était 15h.
J'ai pris mes écouteurs et puis j'ai mis la musique a fond pas le genre de musique pour se divertir. Le genre de musique pour oublier pour pouvoir hurler en chantant.

Je suis partis vers mon ancienne maison. Il fallait quand même que je prenne l'argent. Je pleurais. Je pleurais encore, je pleurais toujours.
Je suis arriver devants la maison, elle n'était toujours pas vendu. Alors j'ai casser un carreau et j'ai ouvert la porte.
Je suis aller dans la salle de bain et j'ai essayer de bouger les carreaux. Au bout du cinquième essaie, j'avais trouver le carreau. Il y avait une sac a l'intérieur.  Je l'ai ouvert et l'argent était là.
Je l'ai pris et puis je suis sorti.
Quand je suis arriver dans ma chambre, j'ai mis l'argent dans ma valise et je me suis assise sur mon lit.
J'ai penser à mon père qui allait partir, comme une larme il s'effacerait, j'ai penser à ma mère et à Enzo aussi. Tout était foutu. Je n'avais rien pour me raccroché à la vie