Chapitre 2 :

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*PDV Hope Whale*

Nous en venions donc au fait qu'avec Isaac, on s'était acheté un appart à Central City, et aujourd'hui, c'était le départ.

Je descendis mes valises dans le salon et préparai du café à mettre dans une bouteille isotherme pour le voyage. Je ne connaissais pas exactement la durée du voyage mais cela allait nous prendre une bonne partie de la journée si ce n'était plus. J'étais perdue dans mes pensées à vérifier que tout était ok quand j'entendis quelqu'un taper à la porte. Je me dirigeai vers celle-ci et trouvai Isaac sur le pas de la porte devant la voiture qui allait nous servir pour aller à l'aéroport.

Une fois mes bagages mis à bord, nous commencions enfin notre voyage qui nous emmènera à Central City où je pourrais trouver des réponses sur la vibration de mes mains, et par la même occasion, trouver une explication aux transformations d'Isaac.

*Ellipse du voyage*

Enfin, nous étions enfin arrivé à Central City. C'était exactement comme dans mes souvenirs et ça me fit plaisir d'être de retour. Je regardai Isaac qui avait l'air extenué et lui fis mon plus beau sourire avant de le serrer fort dans mes bras.

- Je ne sais pas toi mais j'ai comme le sentiment qu'en quittant la ville, j'avais perdu une partie de moi. Et le fait d'être de retour me permet enfin de la retrouver alors que je n'ai pas la moindre idée de quoi il s'agit. Expliquais-je à Isaac en admirant de nouveau cette ville magnifique.

- Ça me fait la même chose. M'avoua-t-il. J'ai l'impression de combler un vide en moi. C'est peut-être dû au fait que nous avons été touché par l'accélérateur de particules. Ça nous aurait liés à la ville en quelle que sorte.

- Aucune idée, mais une chose est sûre, je suis fatiguée et j'ai hâte de rentrer à l'appart qu'on a acheté alors ne trainons pas.

- Tu auras intérêt de m'aider à tout ranger une fois arrivé car je te préviens, Je ne rangerais pas tout.

- Ne t'inquiète pas je t'aiderais. Le rassurais-je avant de l'embrasser.

Une fois arrivé à l'appart, les affaires les plus importantes furent vites rangées et ceci fait, nous nous écroulions de fatigue sur le lit.

*Le lendemain*

Ce matin, dès que je m'étais levée, je m'étais sentie toute drôle. Isaac était partit chercher du travail tandis que moi je devais finir de ranger l'appart car il restait encore deux ou trois truc à peaufiner. Sauf qu'une fois levée, j'eu comme l'impression que tout allait au ralentit, à moins que mon horloge murale ait un très gros problème de vitesse. J'avais déjà les mains qui vibraient et maintenant tout allait au ralentit. J'avais vraiment un problème, il fallait rapidement que je trouve des réponses avant de faire une crise d'angoisse. Alors, bien décidée, je me levai et je dû y aller un peu trop rapidement car j'arrivais à l'autre bout de la pièce en un temps chrono.

- Wow. M'exclamais-je.

Essayant de me remettre de cet évènement, je me dirigeai cette fois ci vers la cuisine. Quelle fut ma surprise quand je l'eu atteint en moins de trois secondes. Je n'en revenais pas. Je m'étais déplacée à la vitesse de la lumière. C'était incroyable. Ne réfléchissant pas plus, j'attrapais ma veste et m'en allais courir le plus vite possible. Néanmoins je pris soin de mettre une grosse paire de lunettes afin qu'on ne me reconnaisse pas. Je courus tellement vite que je faillis me prendre un banc, enfin, c'est ce que je croyais. Car en réalité, je ne l'avais pas évité, mais traversé. Fascinée, je courus comme ça pendant encore quelque minutes qui me permirent de parcourir toute la ville. Je pouvais dorénavant barrer "visiter la ville" de ma checklist, car même si je l'avais déjà visité, le refaire ne faisait pas de mal.

Commençant à être fatigué, je fis une pose dans une ruelle car je n'en pouvais plus. Courir vite ne changeait en rien l'effort à fournir visiblement. Cependant, je crus pendant un cours instant que j'allais me prendre une poubelle tellement j'eu du mal à m'arrêter. Il fallait reconnaitre que démarrer était bien plus simple que s'arrêter.

- Qui es-tu ? Me fit sursauter une voix étrangement déformée provenant de derrière moi.

Je me retournai directement et vis un homme entièrement habillé de cuir rouge avec un éclaire sur le torse ressemblant à Flash, le fameux héro de Central City. Je n'eux pas le temps de douter sur son identité qu'il se présenta :

- Je m'appelle Flash, je ne te veux aucun mal. Mais il faut que tu me donnes ton identité.

Et à ce moment-là, la seule chose qui me vint à l'esprit fut de dire :

- Je m'appelle Flashback.


Flashback, a new legend Où les histoires vivent. Découvrez maintenant