Une rencontre hors du commun

chapitre 17

PDVThéodora

J'aieu la peur de ma vie, c'est comme si pendant 5 minutes j'avaisdécroché du monde, et que je ne savais pas ce que je faisais.Lorsque cette personne est rentré dans la pièce je n'arrivais pas àdécrocher mon regard du visage de Thomas. Lui avait brutalementregardé la porte, il avait les joues légèrement rouge, ce qui me fissourire. Cependant je le perdis immédiatement lorsque moi aussi monvisage ce posas sur la personne qui ce tenait dans l'embrasure dela porte.

PDVThomas

Je détaillais lapersonne qui se tenait là devant nous. Au début j'étais gêné quecette personne nous ai interrompus, puis c'est devenu de la colèrejusqu'à ce que çà devienne de la rage contre cette personne. Je nesais pas pourquoi mais elle ne me disait vraiment rien. Et lorsque jeposas mon regard sur Théodora je remarqua qu'elle était toute tenduet qu'il n'y avait aucune joie sur son visage.

« Je peut savoir à quoi vous jouait tous les deux ? » lanças l'homme de la porte.

Je vis Théodora selevais, s'approcher tous doucement de lui. Je m'étais égalementrelevé, prêt à intervenir au cas où. Je ne savais pas dans quelleeaux sombre je naviguais. Samuel n'était pas là, et je ne sais pasqui est ce mec. Çà boue dans ma tête actuellement, MERDE, jeserrais le poings.

« SPLACH ! »

Je relevas mon regard sureux, elle venais de lui foutre une claque, la je pige vraiment plusrien. Et c'est à ce moment que Samuel décide de se joindre à nous.Super, merci Sam tu arrives au bon moment. Noté l'ironie. Mais cequi m'inquiéta c'est que je vis son visage ce décomposer lorsqu'ilvis la personne qui se tenait devant Théodora.

« Dégage d'ici ! dit simplement Théodora.

Pourquoi je t'ai pas manqué ? Lui répondit-il avec un sourire en coin.

Peter, dégage, mais tous de suite ! » Ajouta Samuel

Attendez PAUSE.Peter ???? le fameux PETER.

PDVThéodora.

Je le regardais, je nedétachais pas mon regard de ces yeux, « ces fameux yeux ».Peter, ce mot raisonnait encore et encore dans ma tête. J'avais lespoings serrés, je sentais que en moi je bouillais, si il n'avaistenu qu'a moi je l'aurais claqué encore et encore jusqu'à ce qu'ilressente toutes les douleurs qu'il avait put m'affliger. Ilsoutenait mon regard, il avait le culot de soutenir mon regard.

« D'accord mais je repasserais. Ce fus un plaisir de te revoir Rora. Et toi aussi Samuel.

Ne m'appelle pas comme çà. Le menaçais-je

Comme tu veux »

Sur ceux il sorti de lachambre. Je ferma les yeux, inspira, compta jusqu'à 10 et expira. Jerouvris mes yeux. Et je me suis mise à hurler. J'attrapa mescheveux, me courba en avant et je me suis mise à pleurer et hurleren même temps. Je ne voulais pas que Thomas ou Sam me vois comme çàmais je ne tenais plus. Trop d'images, de souvenirs et de sensationsremontaient en moi. J'étais comme un volcan qui implosait, je nepouvais plus contenir mes émotions. C'est comme si on me brûlaisavec un tisonnier brûlant. Je n'arrivais plus rien à contenir,c'était un supplice.