Chapitre 15

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Info: le dessin en média est Théodora en tenue d'hôpital avec son bandage. ( désolé si le dessin ne vous plait pas.)
Bonne lecture. :)

PDV Thomas
je resta planté là quelques secondes à la regarder s'éloigner pour ensuite la voir disparaître de mon champs de vision. Pourquoi m'avait-elle répondu si sèchement? Merde avais-je dépassé la ligne? Je fus tiré de mes pensées durant un cours instant par la sonnerie du téléphone de Samuel qui me fis  signe qu'il s'éloignait pour prendre l'appel. Je lui répondis par un signe positif de la tête avant de reporter mon attention sur l'endroit ou se trouvait il y a quelque instant cette mystérieuse femme.

Elle m'avait dit qu'elle avait besoin de moi! Que j'était la partie objective dans toute cette histoire alors il fallait qu'elle me laisse le devenir et pas m'exclure des que c'est trop personnel.

PDV Externe

Le jeune blond regardait le sentier vide, fronçait les sourcils, croisait les bras sur sa poitrine. Son regard était intense à une importante réflexion. Il releva quelques instants son regard vers le ciel puis le reposa sur le chemin qui menait à l'hôpital. Pris une grande inspiration et s'élança sur le chemin.

PDV Thomas

Elle allait m'entendre. Merde! Pourquoi ça m'énervais à ce point? J'étais en colère, j'était dépassé et vexé! Oui c'est çà vexé. Pourquoi me disait-elle pas qui était ce Péter alias: le con, l'égoïste, le salopard, l'enfoiré, le GROS MÉGA TROU DU CUL.

Je ruminais toutes ses pensées toutes plus haineuses les unes que les autres jusqu'à ce que j'arrive devant la chambre de Théodora. Je me stopa net devant cette dernière. Par la porte s'échapper des hurlements. Oui des hurlements pas juste des cries ou des sanglots.  NON  Théodora hurlait dans sa chambre.

J'étais égoïste! Elle souffrait énormément au point de hurler de douleur dans sa chambre et j'étais là à me vexe qu'elle ne me déballe pas sa vie. À chaque hurlement plus fort que le précédent, mon sang se glaçait. Elle me brisais le cœur. Je ne bougeais pas, j'étais pétrifié, tétanisé devant sa chambre jusqu'à ce que j'etende: "CONNARDDDDDDDDDDDDSDDD" suivi d'un énorme BOUM. Ni une ni deux, je me précipite dans la chambre et je la vie par terre, en pleure, recroquevillée sur elle même.  (Média)

Je m'avança pour me retrouver à quelques centimètres d'elle. Je m'abaissa devant elle et lui murmura:

- " Tu saute, je saute"

Elle releva la tête vers moi. Elle encra son regard envoûtant dans le mien. Ses tris gris vert perçant me transperçaient. Je lui esquissa un sourire. Je ne sais pas ce qui m'a pris de dire ça mais cela me value un sourire en retour. Je ne pris pas le temps de me poser des questions, je l'a pris dans mes bras et la réconfortait comme je pouvais c'est à dire, avec l'expérience que j'ai pus me faire avec les chagrins de ma sœur, pas grand choses.

Je la sentis se détendre, elle se blottie plus fort dans mes bras, calla sa tête dans le creux de mon cou. Je pouvais sentir son souffle qui me chatouillait le cou. Je me sentais bien, j'aimais cette proximité avec elle. Je ferma les yeux, me laissant bercer par les battements de nos deux cœurs. Jusqu'à ce qu'elle  rompe notre silence.

- " je veux partir ici!" Dit-elle d'une voix suppliante.

Une rencontre hors du communOù les histoires vivent. Découvrez maintenant