2- Nuit de noce
Assise dans cette chambre, je me souciais de plus rien, j'ai juste mis le ventillo en marche pour dormir. Fatiguée par les fêtes interminables j'ai sombré tout de suite en sommeil, le lit était moelleux on chantait qu'il était riche mais je m'en fichais même avec tout ces cadeaux venant de la famille de mon père et celle de mon mari.
je dormais quand j'ai senti une présence près de moi.
-C'est moi! C'était Midou, mon mari qui venait de parler.
Ces deux mots on surgit dans mes oreilles au point de me redresser comme un automate et rabattre mon pagne cachant mon visage. J'ai à peine laisser de l'espace pour l'apercevoir afin de voir à quoi il ressemblait car je n'ai pas eu cette chance comme la plupart des personnes de voir mon mari avant noce. Il était de teint noir 1m80 assez musclé avec une très très très jolie dentition. Il n'était pas beau mais il dégageait un certain charme.
-Bineta?
Il m'appelle, je laisse le pagne sur ma tête et reste silencieuse.
-Diallo?
Il insiste en m'appelant par mon nom mais je garde mon pagne sur la tête sans répondre.
Il se met à se déshabiller cette fois je tourne la tête. C'est à cet instant que je réalise ce qui va se passer et je panique totalement. Je m'enfonce dans les draps voulant forcer mon sommeil mais impossible de fermer l'œil. Il est ressorti un peu plus tard de douche vêtu légèrement je j'observais du coin de l'œil sous mon pagne.
-Tu as prié? Me demande t'il
-Oui. Répondais-je d'une voix à peine audible.
Je lui ai menti, je ne priais presque jamais à cette époque. Il s'est mis à faire la prière quand il a fini, il a replié son tapis et c'est avancé vers notre lit. Il a voulu m'enlever le pagne mais j'ai refusé en faisant un mouvement de recule.
-Calme toi Bineta, je sais que tu ne me connais pas et aussi que tu ne t'attendais pas à ce mariage. Me rassurait t'il
-...
-Mais sache que je t'aime. Me déclarait t'il.
Ce mariage, ces mots étaient sensés me rendre heureuse mais c'était le jour le plus horrible de ma vie.
Je suis restée dans mon mutisme et il a commencé par entreprendre une discussion que je pourrais même qualifié de monologue car je l'écoutais seulement sans échanger. Il me raconta son enfance, sa vie en Centrafrique et plein d'autre chose que j'oubliais tellement que j'étais angoissée à l'idée de partager ma couche.
Pourtant il ne se démontait pas, il continuait à parler et ça eu son effet, je commençais à me détendre, il m'est même arrivée de décrocher des petits sourires sous mon pagne. Cette fois il a retiré mon pagne sans que je l'empêche, il m'a regardé et je l'ai regardé mais aucun de nous ne parvenait à soutenir le regard de l'autre. C'était la première fois qu'il me voyait vraiment, j'avais 17 ans grande de taille 1m75 , j'avais déjà un corps de femme avec des seins bien pointu, des hanches harmonieuse , un fessiers bondissant à l'époque on me donnait déjà même 20 ans.
-Tu es très belle. Me dit t'il en prenant ma main.
Je me suis assise correctement et cette fois il y avait une vrai discussion, on n'a parlé de tout et de rien comme si on se connaissait depuis belle lurette. J'ai préféré faire l'effort de parler pour reculer au plus tard ce qui allait suivre mais la fatigue à eu raison de moi, j'ai commencé à somnoler.
-Tu veux que j'éteigne la lumière? Me demande t'i il
-Non, continuons de discuter. Dis-je espérant reculer notre couché.
Mais juste après je recommence à somnoler. Je me suis mise à dormir, je ne sais pas comment mais je l'ai senti tout près de moi et j'ai sauté. La lumière était encore éteinte je me suis mise à me décaler dans le lit mais il se rapprochait à chaque fois près de moi réduisant l'espace, j'ai continué à reculer et lui avancé mais c'était une mauvaise idée parce que j'ai fini par être cogné le mur, j'étais coincée. Il c'est rapproché doucement de moi me regardant avec désire.
-On essaye? Demandait t'il en permission
J'ai commencé à pleurer, j'étais perdu et angoissée. Il m'a pris dans ses bras et m'a demandé de ne pas pleurer.
-Demain, elles vont venir me demander si je suis satisfait. Me dit t'il
C'était la coutume chez nous, on appel le mari à part le lendemain des noces pour lui demander s'il a trouvé sa femme vierge.
Je le comprenais très bien mais j'ai fais comme si je ne savait rien, je me suis détachée de lui pour me recoucher et il respecta mon silence.
Quelques minutes plus tard, il est revenu sur moi posant ses lèvres contre les miennes pour un baiser mais je ne répondais pas. Il insistait et comme je me suis sentie redevable j'ai répondu à son baiser cela a eu son effet et il a commencé à me déshabiller sans que je proteste. Il prend son élan en me baisant le cou puis mon corps allant jusqu'à suçoter mes tétons. Je ressentais des choses mon corps réagissait, il était tendre dans sa manière de faire. Il s'est placé entre mes jambes et poussé un peu voulant me pénétrer et la j'ai commencé à pleurer.
-Arrête toi, arrête toi. Hurlais-je
-Calme toi Bineta. Me demande t'il en s'arrêtant à mon entrée.
Il encore poussé très fort cette fois que je me suis mise à hurler de douleur, il c'est retiré puis levé.
Il est parti me chercher un verre d'eau, je n'avais pas soif mais je me suis abrégée. Il est revenu se coucher pour poursuivre l'acte.
-Stp Midou laisse moi je suis fatiguée, on le fera demain, ce soir je n'arriverai pas...Le suppliais-je en pleure.
Il m'a écouté et c'est retenu. J'étais soulagée mais angoissée par ma prochaine nuit que je me suis endormie.