Il était une fois, parce que c'est comme ça que commence tout les contes, un brave homme qui vivait dans un pays très lointain. Il était marié à la femme la plus merveilleuse du monde et écoulait des jours heureux avec leur unique fille. La jeune femme enseignait à son enfant la plus tendre des gentillesse, la plus douce des loyauté. Mais, hélas, leur bonheur ne pouvais durer éternellement. La femme tomba très gravement malade. Tel un oiseau frappé de plein fouet par la foudre, la jeune femme fini par s'éteindre, un triste soir pluvieux et orageux. Elle eu le temps d'ordonner à son mari et a sa fille de chacun lui promettre quelque chose. Ainsi, l'homme promit de faire tout son possible pour faire de chacun des jours passant un souvenir heureux pour leur enfant, et l'enfant quant à elle promit de toujours être bonne, qu'importe les passés des personnes, et de toujours accorder le pardon.
Suite à la mort de la femme, le désespoir gagnât le coeur de la famille en deuil. Petit à petit, le père et la fille se reconstruisirent, ensemble. La joie reviens peu à peu dans la maison, et l'homme restait positif : Il avait une belle et une ravissante fille et il lui donnait tout ce qu'il pouvait.
Alors pour lui faire plaisir car elle se sentait bien seule, il épousa une veuve qui avait deux filles. Ainsi avec une nouvelle maman et deux sœurs sa fille aurait tout pour être heureuse. Pas vrai ?
Mais hélas, le brave homme mourut peu après. Tout changea pour la fillette. Sa belle-mère n'aimait que ses deux filles, Anastasia et Javotte, égoïstes, laides et méchantes, mais elle avait la politesse de le cacher devant son nouveau mari et sa nouvelle belle-fille, le temps que le mariage se conclut.
La belle-mère la chargea des plus viles occupations de la maison : c'était elle qui nettoyait la vaisselle et les montées, qui frottait la chambre de madame, et celles de mesdemoiselles ses filles ; elle couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, des tableaux des peintres les plus en vogue et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête.Ces deux filles étaient de l'humeur de leur mère, et elles lui ressemblaient en toutes choses. Elles profitaient des tâches ingrates que leur belle-sœur devait exécuter pour s'amuser à la ridiculiser encore plus. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait se plaindre au près de qui que ce soit, de peur de la correction que la marâtre serait capable de lui infliger. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle s'allait mettre au coin de la cheminée et s'asseoir dans les cendres, ce qui faisait qu'on l'appelait communément dans le logis Cucendron.
La cadette, qui n'était pas autant malhonnête que son aînée, l'appelait Cendrillon; cependant Cendrillon, avec ses méchants habits couvert de cendres, restait bien cent fois plus belle que ses sœurs deux sœurs, même si ces deux dernière était vêtues, poudrées et pomponnées magnifiquement.
La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait se plaindre au près de qui que ce soit, de peur de la correction que la marâtre serait capable de lui infliger. Lorsqu'elle avait fait son ouvrage, elle allait se mettre au coin de la cheminée et s'asseoir dans les cendres, n'ayant rien d'autre a faire dans cette prison qui fut autre fois sa propre maison.
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Si Cendrillon avait ramassé sa chaussure #AltEnding #JustWriteIt #Wattpad10
General FictionL'histoire de Cendrillon ? Tout le monde la connait. Mais que ce serait il passé si Cendrillon avait ramassé sa chère chaussure de verre ? ⇝ Histoire écrite dans le cadre du défi d'écriture de WattPad : JustWritelt ⇜ ☾ C'est ma première participati...