Till you put me down ||HS

[chapitre 1]

« Peut être que j'ai perdu la raison qui sait ? T'étais là sous la pluie, énervée comme jamais et dieu sait comment tu es magnifique quand tu t'énerves, tes vêtements étaient mouillés, et tes cheveux bruns te collaient contre la peau. Tu as levé les yeux sur moi et j'ai cru, j'ai cru que mon coeur avait cessé de battre. C'est fou ce que tu peux me faire ressentir comme sensations, j'ai l'impression de ne plus être moi même à tes cotés, c'était comme si tu étais mon coeur mais sans être dans cette cage thoracique, non tu es à l'extérieur et tu me fais vivre, tu me nourris d'oxygène quand tes lèvres se posent sur les miennes, tu me fais des mini-crises cardiaque quand tu me touches, tu ... c'est indescriptible. C'est tellement nouveau pour moi si tu savais de ressentir tout ça, de vivre au dépend d'une autre, jamais, ô grand jamais j'aurais pensé t'être dépendant. Et ... et tu m'as appris ce que c'est d'aimer une personne même si tu n'avais pas beaucoup d'expérience, j'pense que c'est ça, ton inexpérience qui a tout fait dans cette relation. Sans oublier tes manies qui me surprennent de jour en jour mais au final je les adore, oui j'aime quand tu triches au Monopoly, ou quand tu te douches avec mon savon, quand tu passes au rayon enfant juste pour voir les enfants s'émerveiller face aux jouets, quand tu touches ta boucle d'oreille pour montrer ta nervosité, quand tu rougis lorsqu'on te dit une compliment, quand tu m'appelles tard le soir parce que tu as peur de l'orage, j'aime ta façon de rire, j'aime tout en toi enfaite. Avant je ne comprenais pas ce que c'était d'aimer une personne jusqu'à crever pour elle. Et puis tu es arrivée, tu t'es installée tranquillement dans mes pensées, dans mon coeur. T'as planté tes racines dans cet organe que je pensais pétrifié. Un premier baiser, des premières caresses, une première fois, tout ça je ne l'oublierai jamais, merci, merci du fond du coeur car sans toi, je ne serais rien. Je t'aime, plus que tout au monde »« Peut être que j'ai perdu la raison qui sait ? T'étais là sous la pluie, énervée comme jamais et dieu sait comment tu es magnifique quand tu t'énerves, tes vêtements étaient mouillés, et tes cheveux bruns te collaient contre la peau. Tu as levé les yeux sur moi et j'ai cru, j'ai cru que mon coeur avait cessé de battre. C'est fou ce que tu peux me faire ressentir comme sensations, j'ai l'impression de ne plus être moi même à tes cotés, c'était comme si tu étais mon coeur mais sans être dans cette cage thoracique, non tu es à l'extérieur et tu me fais vivre, tu me nourris d'oxygène quand tes lèvres se posent sur les miennes, tu me fais des mini-crises cardiaque quand tu me touches, tu ... c'est indescriptible. C'est tellement nouveau pour moi si tu savais de ressentir tout ça, de vivre au dépend d'une autre, jamais, ô grand jamais j'aurais pensé t'être dépendant. Et ... et tu m'as appris ce que c'est d'aimer une personne même si tu n'avais pas beaucoup d'expérience, j'pense que c'est ça, ton inexpérience qui a tout fait dans cette relation. Sans oublier tes manies qui me surprennent de jour en jour mais au final je les adore, oui j'aime quand tu triches au Monopoly, ou quand tu te douches avec mon savon, quand tu passes au rayon enfant juste pour voir les enfants s'émerveiller face aux jouets, quand tu touches ta boucle d'oreille pour montrer ta nervosité, quand tu rougis lorsqu'on te dit une compliment, quand tu m'appelles tard le soir parce que tu as peur de l'orage, j'aime ta façon de rire, j'aime tout en toi enfaite. Avant je ne comprenais pas ce que c'était d'aimer une personne jusqu'à crever pour elle. Et puis tu es arrivée, tu t'es installée tranquillement dans mes pensées, dans mon coeur. T'as planté tes racines dans cet organe que je pensais pétrifié. Un premier baiser, des premières caresses, une première fois, tout ça je ne l'oublierai jamais, merci, merci du fond du coeur car sans toi, je ne serais rien. Je t'aime, plus que tout au monde »