ma meilleure amie

chapitre 1: la transformation

note de l'auteur: Bonjour à tous !

Voici une nouvelle fic !

Je sais ! J'en ai d'autre en cours et qui auraient bien besoin d'être uploadé mais j'ai eu cette idée et je n'ai pas résisté à taper le premier chapitre donc... Bon, peut être que l'histoire semble banale ou a t elle été déjà prise auparavant ? Sûrement me direz vous mais j'en ai pas lu encore des comme ça alors voilà mon histoire rien que pour vous bande de veinards !

Disclamer : Tous ceci appartient à vous savez qui (non pas à Voldemort ! JKR bien évidemment !) et l'histoire a Jennyalissime.

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Il était tard. Près de deux heures du matin. Sévérus adossé a son fauteuil en cuir noir venait de terminer la correction des copies de ses « chers » élèves.

-Bande de crétins boutonneux, jura t il avant de boire une première gorgée de Firewhisky.

Mais elle ne fut pas la seule. Il vida son verre une minute après.

-Et ce mal de crâne qui n'en finit plus ! marmonna t il, sa tête entre ses mains.

Il savait qu'il ne devait pas mais ce fut plus fort que lui. Il reprit un verre d'alcool. Cette fois ci, il l'avala d'une traite. Dix minutes passèrent.

Il empoigna la bouteille et la balança contre le mur.

-Un litre ! Winny ! Mais ou est ce foutu elfe ! Winny !

-Vous m'avez appelé Monsieur ?

-Oui Winny! cria t il, furibond.

-Mais monsieur, moi c'est Wingy, couina t il.

Il émit un grognement en s'extirpant difficilement de son fauteuil puis balbutia :

-Mouais, peu importe ! Je voudrai... une... autre bou...bouteille de Firewhisky ! ordonna t il en titubant, complètement saoul.

-Non Monsieur ! Vous avez une fois de plus assez bu pour ce soir, piailla l'elfe.

-Wingy et Winny, fit il en pointant son index sur le double hallucinatoire. Allez vous faire voir tous les deux !

L'elfe disparut aussitôt alors que le maître des potions se dirigeait tant bien que mal vers l'endroit où il concocte ses préparations. Il s'installa devant son chaudron et commença à mélanger divers ingrédients.

-Alors il faut mettre... Euh deux ailes de chauve souris... Non trois ! Oui c'est ça. Après il faut...

Il parcourut rapidement des yeux les divers flacons et bocaux de son armoire personnelle.

-Ploum ploum ! Ca sera à toi au bout de trois...Un...Deux...Trois !

Voilà qu'il faisait de l'humour à présent.

Il prit finalement du sang de dragon qui mit fin a sa potion. Il mélangea minutieusement le remède et en versa dans une fiole.

-Bye bye petit mal de tête !

Il but d'un coup le contenu.

Il ne ressentit aucun effet les premières secondes. Seule sa migraine malmenait son cerveau a coup de marteau.

Puis, la pièce tourna de plus en plus vite et une insupportable douleur transperça son torse ce qui le fit vaciller. Cela stoppa.

-Mais que m'arrive t il bon sang?

Il agrippa violemment, un à un, les composants utilisés pour sa mixture, afin de vérifier s'il ne s'était pas trompé, bien que ceci relevait de l'impossible.

Tous lui semblaient corrects lorsqu'il saisit la touche finale.

Il crut que sa vue venait de se brouiller mais non il voyait bien ! Ce n'était pas du sang de dragon mais du pus.

-MERDE MERDE MERDE !Comment j'ai fait pour me gourer à ce point !

Il tituba une fois de plus et s'étala sur sa chaise. La douleur reprit soudainement. Il avait l'impression que ses os s'extrayaient de sa chair. Elle stoppa net. Son réflexe fut de plaquer ses mains sur son torse mais ce qu'il palpa ne fut point ses pectoraux. Deux boules venaient de se former. Il tata sous tous les angles. Non il ne rêvait pas ! Deux seins s'étaient dressés sur sa poitrine.

Il hurla !

Mais son cri ne fut guère un cri masculin.

-Putain ! Je crie comme une fille !

Mais il n'y avait pas que cela. Sa voix n'était plus la même. Elle, grave et viril, n'était plus. A la place, un son aigu était sorti de sa bouche.

Il se hâta d'aller se poster devant un miroir. Ce n'était plus lui qui se reflétait mais une jeune fille d'à peu près 17 ans. Il avait rapetissé. Son mètre 85 était devenu un mètre 65 tout au plus. Sa musculature correspondait plus à la carrure d'une adolescente qu'a un trentenaire. Il n'y avait ni pomme d'Adam, ni barbe naissante. Seuls ces cheveux d'un noir de jais tout comme la couleur de ses yeux demeuraient. Sa cape nageait sur son frêle corps.

Il perdit connaissance.