Chapitre 11

88 14 0
                                    


Lors du petit déjeuner Kris me fit des pancakes enfin...il essaya.

La recette était plutôt simple et je lui avais demandé de me laisser faire mais il avait insisté en disant qu'il voulait me faire plaisir.

- Tu es sûre que...tu ...

- Non, je peux me débrouiller tout seul, je suis grand.

- Très grand dis-je en le regardant de la tête au pied.

- Très drôle ! Bon... assieds-toi et admire ! Dit-il en me faisant un clin d'œil.

Je rougis puis je m'assis.

Après un quart d'heure, Kris réussi enfin à préparer la pâte si on pouvait appeler ça une pâte. J'aimais bien le regarder, il était tellement beau quand il était concentré.

Mais j'avais peur de la suite, la cuisson...

- Euh... Je peux continuer...si

- Non c'est bon

- mais...

Il me regarda puis il me souriait.

Bon d'accord dis-je en rougissant.

Son sourire...je pouvais rien lui refuser à lui et il le savait bien.

Il commença à étaler la pâte.

- Ma mère est la meilleur pour faire des pancakes, elle m'en faisait tous les matins...

- Ta mère...

- Mmh... ça te dirais d'aller au parc d'attraction ?

- Au...au parc d'attraction ? On ne peut pas aller autre part ?

Je détestais les parcs d'attraction, j'avais failli mourir là bas à cause de mes camarades de classe qui on voulu me pousser du train qui avançait sur les rails en hauteur et puis ils m'ont laissé tout seul à la maison hanté et plein d'autre chose encore.

Je savais que Kris serait avec moi mais... ça ne me rassurais pas.

- Si tu veux.

- Cette odeur... ça brûle !

- Que...QUOI ! MERDE MERDE !

Kris retourna le pancakes et il était hyper brûler mais je ne pouvais pas m'empêcher de rire de cette situation.

- Je dirais qu'il est bon pour la poubelle sourie-je

- hahaha ! Très drôle c'est de ta faute ! Dit-il en boudant

- Ma faute ? Dis-je en souriant

 - Ouais

- C'est moi qui m'y colle comme ça au moins, ils ne seront pas brûlé.

- Vas y

J'étais concentré sur ma tâche, cela ma pris trente minute pour les cuire, Kris n'avait pas parlé depuis tout à l'heure, je me retournais et le regardais, je commençais à rougir.

Ce regard...qu'il l'avait à cette instant, je ne le connaissais pas, un regard intense que je trouvais magnifique.

Il commença à s'approcher et puis...Il me prit dans ses bras.

Je tremblais beaucoup et mon cœur... J'avais l'impression qu'il allait exploser.

- Qu'est-ce...

- S'il te plaît... ne bouge pas

Je tenais soudainement son t-shirt...

Je caressais son dos avec tendresse, j'entendais son cœur battre, il battait plus vite que le miens.

Je ne n'étais pas le seul alors.

- Quand je te vois, j'ai toujours envie de te prendre dans mes bras, c'est bizarre...

ça recommençait...Ma fièvre... elle était encore revenu et puis je ressentais une drôle de sensation, elle était à la fois douce et oppressante.

- Lâche-moi s'il...te plaît

- Non, je suis bien comme ça

- Je crois que... Je suis encore malade.

Kris me lâcha puis il me regarda

- On dirait pas... tu ne ferais pas exprès pour que je m'éloigne de toi ?

- No...non j'ai encore de la fièvre

- Vraiment ? Dit-il en souriant

Arrête de...de sourire...

Enfin tu rougis dit-il en posant ses deux mains sur mes joues.

- Qu'est ce que tu fais ?

Il veux vraiment que je meurs comment, on peut être si beau en souriant.

- Tu as de la chance que j'arrive à me contrôler.

- Te contrôler ?

Tellement innocent dit-il en me tirant les joues.

- Je...Je peux aller au WC ?

- Bien sûr

(Pov Kris)

Je crois que je l'avais traumatisé le pauvre, j'étais allé trop vite, je pense.

Mais il était tellement adorable, il ressemblait un petit bébé qu'on avait envie de cajoler.

De tout te façon, il s'habituera.

Je me demande si il était vraiment au WC, il s'était peut être caché.

(Pov Xiumin)

Je m'étais enfermé dans la chambre, il fallait que je me calme... J'avais pas envie de voir son visage, je risquais de m'évanouir... pourquoi il me faisait ça ?

Il fallait que j'appelle ma mère, elle m'aidera peut être.

- XIUMIN ?

Non il est là...

- Je ne suis pas là !

- Très drôle, tu joue à cache-cache ou quoi ?

Il croyait vraiment que je jouais... si il le savait...


Pourquoi moi?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant