CHAPITRE 30 : SALLE ORDURE !

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Point de vue de Lauren.

Cela fais trois jours que ma merveilleuse petite amie a retrouver notre fils. Je peux vous dire que je ne le lâche plus d'une semelle, Camz n'arrête pas de me répéter qu'il faut que je le laisse un peu respirer après se qu'il viens de vivre mais c'est au dessus de mes forces de ne plus regarder ou il es toutes les secondes... normale nan ?

En plus de cela, mes émotions se font de plus en plus insistante, le bébé me rend nerveuse, fatiguée, parfois méchante dans mes paroles.. Et encore quelques chose qui s'ajoute à mes saute d'humeur, je sens que Camila me cache quelque chose..  Je ne sais quoi, je n'arrive pas a lui en faire dire un mot mais je continue encore et encore a la fliquer jusqua se quel crache le morceaux, quitte a mettre une distance entre elle et moi.  Ce que je fais déjà et que mademoiselle n'aime pas.

Camila : Mon cœur ? m'appelle-t-elle de l'autre bout du salon de l'hôtel alors que je dessine avec Sulli. Chérie ?... je l'ignore. Bon Lauren !

moi : Ouais ? lui répondis-je enfin, sans la regarder pour l'énerver encore plus.

Camila : Tu me casse les couilles à être distance comme sa ! Me fis-t-elle savoir.

moi : Ton vocabulaire devant le petit putain ! lui dis-je énerver en me levant de la chaise.

Camila : TU PEUX PARLER GRANDE CONNE ! elle se lève a son tour du canapé et l'on se regarde.

moi : Vas-y viens me le redire en face pour voir si tu as les couilles ! lui fais-je savoir en m'avançant d'un pas énerver a elle.

Camila : Grande conne ! me répète-t-elle droit dans les yeux se qui me fis rire nerveusement.

                 Je l'attrape par le col de son pull et la plaque contre le mur, elle n'a pas peur de moi parce qu'elle sais pertinemment que je ne lui ferais pas de mal. Je colle mon corps contre le siens et la regarde encore dans les yeux, ses yeux qui je tombe un peu plus amoureuse chaque jours.

moi : Tu va morfler toi se soir ! lui dis-je calmement. C'est elle maintenant qui rigole nerveusement.

Camila : Au moins y'aura quelque chose pas comme ses derniers jours ! me fais elle savoir en rigolant cette fois ci pour me taquiner.

moi : Ta gueule ! lui dis-je avant de me jeter sur ses lèvres. Elle sourit de satisfaction contre mes lèvres me faisant aussi sourire. Mon dieux que je l'aime cette fille.

                         j'enroule sa taille de mes bras et la serre un peu plus contre moi, j'aime sentir qu'elle es aussi proche de moi, sa me fais tellement de bien. J'arrête le baiser pour ensuite mettre ma tête dans son cou pour ainsi lui laisser une violente marque violette sur celui-ci. Je me détache d'elle afin d'aller faire prendre un bain à sulli. En repartant je peut sentir son regard insistant sur mon postérieur, je la connais par cœur alors je fais bien exprès de rouler du cul bien comme il faut. Je veux prendre sulli dans les bras et en me baissant pour le prendre j'aggrave un peu plus les choses en le mettant bien en avant. Je l'entend arriver de derrière moi et me laisse pas prendre sulli qu'elle le pris elle même et lui dit..

Camila : Mon grand, tu peux allez jouer sagement dans ta chambre s'il te plait mon amour de ma vie. lui dis-t' elle alors qu'il s'exécute en courant vers celle-ci.

       Il es trop mignon a courir en boxer, un vrai petit homme.

Quand elle vue qu'il était partie, elle me pris par la main et m'emmena dans la chambre. Elle me poussa alors violement sur le ventre, heureusement que le matelas est mou parce que sinon j'aurais probablement eu mal... Sans me demander mon accord mais de toute façon, comme elle vus que je ne ripostais pas, elle m'enleva mon jeans et mon boxer en même temps. Elle pris le gode et le méta en deux seconde chrono, elle se mis au dessus de moi et rentra en moi directement, elle fis des vas et viens et je remua sous elle se qui la fis comprendre que sa me faisait du bien, Camila aimant sentir mon corps contre le siens pendant l'acte, comme a son habitude, elle se colla a moi sans arrêter ses mouvements de bassin en moi. Plus le temps passer plus elle allais de plus en plus vite et de plus en plus loin en moi, je commençais a sentir un légère douleur dans mon ventre et cette douleur s'intensifier de plus en plus, gâchant mon plaisir en souffrance, je voulais que Camz arrête.

Moi : Bébé arrête sa me fais mal, t'y va trop fort.. a mes paroles elle se stoppa directement et me regarda d'un air désolée.

Camila : excuse moi mon cœur je voulais pas.

moi : Hé c'est pas grave chérie, t'en fais pas je t'aime.

Camila : tu viens avec moi a la douche bébé ? me demanda-t-elle espérant que je lui dise oui.

moi : Non petit cœur, je vais allez m'occuper de Sullivan, il faut vraiment que je le prépare si l'on veut sortir cette après-midi.

elle était déçu mais partie tout de même a la douche. Quant à moi, je me levis avec difficulté, mademoiselle Cabello n'a pas fais semblant... Je me leva quand même et fis le lit, ainsi que ranger les quelque vêtements par terre. Mais quand... quand je vue quelque chose sortir d'une des poches de jeans a Camila, je fus curieuse et pris se qui s'y trouver, une carte d'identité.... Pas n'importe laquel, je tomba de très très haut quand je réalisa a qui appartenais cette fameuse identité, identité que je connais parfaitement bien, même trop bien à mon gout... 

    Etant en furie je rentra dans la salle de bain et je fis peur a Camila, elle ouvra la douche et la referma aussi vite quand elle vue se que je tenais dans mes mains.

Moi : C'est quoi sa ? 

Camila : Euh..... Sulli t'appelle nan.... 

Moi : Nan, CABELLO C'EST QUOI CA ? TU AS INTÉRÊT DE ME DIRE LA VERITER. 

camila : c'est...euh...la carte d'identité qui es tomber de la poche du kidnappeur de Sullivan. 

moi : OK, je monte au poste de police ! 

Camila : Non bébé attend moi ! 

moi : toi Ferme ta gueule ! 

Je sais que je vais regretter ses paroles a l'égard de ma copine mais je suis tellement énerver qu'elle m'est rien dit, je lui en veut tellement... Je sais qu'elle se doute de qui il es et qu'elle a voulu me protéger mais c'est pas comme sa qu'elle la fais parce que justement je sais qu'il ne va pas s'arrêter la, je sais qu'il va la tuer si il la voit donc je ne veux plus qu'elle sorte jusqu'à se qu'il soit en taule se connard ! 

Je pris mon manteau après avoir été faire un bisous a mon fils et lui avoir dit qu'il fallais qu'il sois sage avec sa mère, je partie, pris le premier taxi et me rendis au poste directement après, je sécha mes larmes avant de rentrer dans le commissariat. 

le commissaire : Que puis-je faire pour vous ? me demande-t-il en relevant la tête de son ordinateur.

Moi : Je viens porter plainte contre mon père, Mike Jauregui. 

Forbiden love ( Camren )  { EN PAUSE  }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant