The Sweety Boy [RÉÉCRITURE]

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Info : J'ai mis un nom au personnage mais vous pouvez simplement mettre votre prénom si vous le souhaitez !

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Je m'appelle Kyong, j'ai 18 ans. Ma mère est coréenne et mon père, français et je vis en France, enfin plus maintenant car je déménage en Corée...

Cette petite maison va me manquer, j'ai vécu mon enfance ici mais maintenant je dois partir de mes propres ailes. C'est un peu bizarre de dire ça comme ça...

Moi : Tu vas me manquer maman !

Mes larmes menacèrent de tomber. Je lui secouai ma main pour lui dire mes adieux. Ses bons plats vont me manquer... Elle prenait toujours soin de moi mais maintenant qui va le faire à sa place ? Mes larmes coulèrent finalement sur mon visage.

Wonwoo : Ne t'inquiète pas je suis là maintenant !

Won woo était mon cousin qui vivait à Séoul. J'allais habiter avec lui car il avait une énorme villa et que je n'avais pas vraiment les moyens de vivre seule.

-Bon voyage !

Dit l'hôtesse après me rendre mon passeport.

Ça y est, je suis arrivée à l'aéroport international d'Incheon.

Wonwoo : Vite le taxi nous attend, dit-il en prenant mon poignet.

J'entre dans la voiture noire qui était garée devant l'aéroport. Je mis mes écouteurs et ma ceinture. Je m'endormis pendant tous le trajet.

?? : Kyong ! Réveilles toi Kyong !

Moi : Mmm... ?

Wonwoo : Allez, viens, on est arrivés !

Je me lève, avec toutes les douleurs que j'ai à cause de ma sieste puis écarquilla les yeux quand je vis la villa de Wonwoo.... Je ne l'imaginais pas si grande...

Moi : C...c'est ta maison ?

Wonwoo : Oui, bien sûr...

Moi : Elle est énorme !

Wonwoo : On vit à plusieurs dedans.

Moi : Ah, ça se comprend... vous êtes combien ?

Wonwoo : 13 en tout.

Moi : Omo ! Vous êtes 13 ?!

Wonwoo : Oui, tous des garçons !

Moi : G..Garçons ?

Mes jambes commencèrent a trembler. Vivre avec 13 garçons sous un même toit ce n'était pas vraiment mon truc... Il ne m'avait même pas prévenu ?! Je pensais qu'on allait être que tous les deux, en mode, vie normale, en dormant pendant toute la journée, et en attendant que nos poubelles entassés mesurent l'Himalaya !