|Partie 20: Not Peace|

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Maman: Va m'acheter les makemba (= Banane plantain) en bas la bas chez le chinois

Ouais elles diront rarement au magasin la bas la ! Direct chez le Chinois c'est pas raciste hein croyez pas c'est juste elles sont la plus part comme ça. Donc je met mes chaussures. J'étais habillée d'un simple jean et d'un débardeur noir avec mes huarache que je venais d'enfiler. Je prend le chemin qui mène vers chez le Chinois je rentre dans le magasin ptn. Je vais jamais m'en sortir.

--------------------- SUITE

Donc comme je disais je rentre dedans et je tombe nez a nez avec Amel ! Putain j'ai cru j'allais faire un arrêt cardiaque parce qu'elle m'avait fait peur. Elle était avec l'une de ses petites cousines, d'ailleurs elle demande a celle ci de l'attendre a l'extérieur. Moi je cala pas j'ai pris soin de pas les bousculer pour pas chercher les embrouilles. Je sélectionnais les banane pas trop verte maman elle aime pas. Donc du coup j'avais fini et je me redresse et Amel elle était la pointé devant moi. J'ai fais comme si je la connaissais pas mais elle force ! Elle réclame les gifles ptn faut la soigner :

Amel: Salut

Je l'ignore hein je la connais pas pq elle veut taper la discute avec moi ? Je comprend pas après la voilà qui me retient par le bras comme d'habitude. FOUUU souffle Ornela souffle c'est important.

Amel: Jte parle en faite (suivi d'un sourire)

Moi: Bref poussez vous svp

Amel: Pourquoi tu me vouvoie on se connaît très bien fait pas la meuf ! Je suis celle qui t'a volé ton gars c'est pour ça que tu rages ?

Moi: Non au contraire je l'ai quitté justement donc il fait ce qu'il veut j'en ai rien a ciré de sa vie.

Amel: Ahh je vois tu veux voir nos photos au bord de la mer ou il m'embrasse ou tu préfères que je te les envoie ?

Moi: Envoie les moi okey sur snaap j'veux pas de ton numéro dans mes contactes

Amel: Hmmm puis celle aussi ou on est couché au bord du lit (chuchotant) A moitié nu ? (Rire) Ou encore tu préfères celle ou il m'bz ? (Sourire)

Moi: Tshhhhppp eh cousine tu me fais perdre du temps j'ai compris tu t'es posée avec Aymen bh que sa dure écoute tu veux que je fasse quoi ? Que jte gifle ta gueule une seconde fois ? Mdddrrr non malheureusement pour toi tu n'auras pas se privilège aujourd'hui.

Et je l'ai bousculé pour passer aller payer mes banane et me casser d'ici. Putain comment elle force un truc de ouf ! C'est grave sa se trouve il est la que pour son cul elle le sait même pas elle veut bomber son torse ici allez ziak (casse toi) mon frère.

Je suis rentrée chez moi on a fait les bananes et tout avec du bon poisson braisé là. Il était a peine 15h, je reçois un appel de Nia. On a parlé et tout et demain c'était la rencontre des parents en faite nous ses copines on pourra pas y assister. Je l'ai rassuré du mieux que j'ai pu mais bon. Ensuite 1h, après je pars manger ils avaient déjà manger les autres. La journée est passé comme ça, le lendemain j'ai rien fais de spéciale a part aller souhaiter une bonne chance a ma gow Nia. Mais normalement tout devait bien se passer hein, elle est Sénégalaise et lui Malien , eux deux musulmans même si ils pratiquaient pas trop trop mais juste ça impossible que sa passe pas.

Bon je suis rentrée la journée est passé.
Lundi on a tous accompagné Darys prendre son TGV direction son club de foot la et ensuite nous sommes rentrées. J'ai accompagné Destiny posté des CV par la suite. Puis on est rentrée. Papa nous a annoncé qu'on allait a une fête familiale la bientôt mais on est pas obliger d'y aller bh j'irai pas grosse flemme. D'ailleurs fallait que je commande ma robe du Hlel là. Et Mardi on allait toute se retrouvait pour un bon debrief de la journée a Nia et planifié nos tenu car tout était fait, salle, invitations, nourriture et tout tout était déjà prévu. Il manque plus que nos robe Nia avait la sienne celle de la mosquée j'crois et il manquait plus qu'une en pagne pour représenter l'Afrique, nos racines, nos culture, le S💉. Donc du coup, nous fallait qu'on choisisse un modèle commun et tout et on décide de le payer nous même a nos frais quoi.

Une Z-Un Marocain: Chronique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant