CHAPITRE 44 | "désolée"

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ANTOINE GRIEZMANN08 JUILLET 2015MADRID, ESPAGNE

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ANTOINE GRIEZMANN
08 JUILLET 2015
MADRID, ESPAGNE











Je me sépare d'Erika après l'avoir embrassé pendant un long moment.







C'est la première fois qu'on me fait une aussi belle déclaration. Moi aussi Antoine je t'aime, plus que ma propre vie. Je lui souris de toutes mes dents, on ne dit rien pendant quelques secondes. Pour te rassurer, je me suis brossé les dents et pour l'instant, j'ai plus envie de vomir.


Je ris et l'embrasse à nouveau. Son dos se retrouve contre la tête de lit, j'approfondis le baiser, puis je fais en sorte qu'Erika s'allonge pour pouvoir me mettre au-dessus d'elle. Je l'embrasse encore, en faisant glisser mes mains le long de son frêle corps. Elle frissonne, j'adore comme elle réagit à mes touchers. J'embrasse son cou, sa clavicule pendant qu'elle laisse sa tête sur le côté pour apprécier le moment, puis je m'arrête et me redresse pour passer mon sweat par-dessus mes épaules. Je le mets par terre avant de retourner au cou de ma copine. Ma tête arrive au niveau de son ventre, je soulève le bas de son t-shirt fluide et embrasse son abdomen, puis j'enlève son t-shirt, et mes baisers remontent à la naissance de sa poitrine. Ses mains sont derrière ma nuque et elle soupire doucement. Dans mes gestes, j'essaie de faire passer le plus possible tout l'amour que j'ai pour elle.

Son soutien-gorge se retrouve par terre lui aussi puis je commence à embrasser sa poitrine doucement, elle se tortille déjà sous moi. Je retourne à ses lèvres et je l'embrasse doucement avant de plonger mon regard dans le sien.






Je t'aime putain.






Je l'embrasse à nouveau, puis je descends dans son cou que j'embrasse aussi.

*



Très vite, tous nos vêtements se retrouvent par terre. Je suis toujours au-dessus d'elle, nos doigts sont entrelacés, je pose mes lèvres sur les siennes avant d'entrer doucement en elle, elle soupire contre mes lèvres et ma bouche s'entrouvre légèrement.




______





ANTOINE GRIEZMANN
10 JUILLET 2015
MADRID, ESPAGNE
12 : 47.





Je suis à l'entraînement, nous sommes au milieu de la séance et nous travaillons individuellement sur des petits exercices de précision avec le ballon. C'est assez simple pour moi.







Il fait vraiment très chaud aujourd'hui, plus de trente degrés, c'est donc assez compliqué de devoir courir partout avec cette température mais bon, on a l'habitude à Madrid. Le soleil me tape fort sur la tête et je suis complètement en nage.






essential // a.griezmann [terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant