Lumière contre Ténèbres : Le Choix

Chapitre 44

Bonjour bonjour ! Ça va ? Prêt a reprendre les cours ou a les continué ? Si vous restez encore en vacance profitez en ! J'éspère que je ne vous ais pas trop fait attendre, wattpad beuguais et bug encore...
Mais on est que mardi donc tout va bien !

-Quel est le plan ? Demandais-je en me levant difficilement.

-Les battre !

-Ce n'est pas un plan ! Assure Yepa.

-C'est un bon début non ? Demande ensuite Nashoba qui ne devait sûrement pas s'intéresser à cela.

-Mieux vaut les battre que d'être battue. Annonçais-je convaincu par cette véritée.

Et puis Nashoba à raison ; le plus important c'est de les vaincre, quoi qu'il arrive.

-Aller les rassembler. Moi, je vais chercher Micko. Ordonne la mère des garçons.

Trop de gens commande dans cette meute. Manquerais plus que Chenoa commande, elle aussi.

-On va se séparer. On les fait se rejoindre sur la place.

-D'accord.

Je me lève et m'apprête à les suivre. Mes jambes ne sont pas encore au courant que le monde ne tangue plus. Que tout est stable. Je m'affaisse, mais un bras me retient. Puis m'aide à me rasseoir sur le lit.

-Je vais m'occuper d'elle. Annonce la femme que je ne connais pas. Allez-vous préparer.

-Je vais bien. Il faut juste que je grignote un petit truc. Je vous rejoindrais après. Dis-je avec un petit sourire.

Puis les garçons partent, sans rien ajouter, préparer la guerre à venir.

-Je vais vous cherchez quelques choses à manger et à boire. En attendant reposez-vous encore. Ils auront besoin de vous. Me conseille la femme.

Lorsque la porte est complètement fermer, je me lève. Je n'ai pas envie de rester assise, même si je le devais. J'avais besoin de bouger, de marcher. De trouver une solution pour ne pas mourir. Pour que personne de cette meute ne trépasse.

Ils n'ont pas de plan. Je vais leur en trouver un. J'aurais dû parler plus souvent à Bialot sur les guerres et les tactiques. Trop tard... Si seulement je savais quelques choses qui puissent les aider ! Je ne vais pas foncer tête baisser et les tuer. Même si ça me ravit au plus haut point.

La porte s'ouvrit laissant entrer l'infirmière qui porte un plateau.

-Ils ont rassemblé la meute. Ceux qui peuvent se battre ne vont pas tarder à partir. M'explique-t-elle en posant le plateau.

-Très bien. Merci. Dis-je en attrapant un cas croûte que je mange en quelque bouchée.

Je bois trois petites gorgées d'eau. Ça va beaucoup mieux. Le sol est complètement stable.

Je me dépêche de sortir de cette maison et de retrouver Nashoba et Amarock. Il me suffit de suivre le brouhaha qui me mène vers le centre du village souterrain.

-Calmez-vous ! Un peu de silence ! Crie, quelqu'un parmi la foule. Le volume sonore baisse radicalement alors que quelqu'un surplombait la foule.

Amarock. Même de là où je me trouve, je le distingue. Il est accompagné de sa sœur et de son bras droit.

-Micko restera ici avec une vingtaine d'entre vous au cas où ! Vous protégerez ceux et celles qui ne peuvent pas combattre. Ordonne Amarock d'une voix ferme.

-Quant aux autres, préparer vous le plus rapidement possible ! Continue Nashoba.

-Qui reste ici ? Demanda une voix.

-Micko est en ce moment même en train de choisir. Il ne devrait pas tarder à l'annoncer.

Cinq minutes plus tard, quelqu'un monta sur l'estrade. Micko est accompagné de Yepa.

-Voici la liste. Ceux qui entendent leurs noms, aller devant l'église. Ordonna Amarock après que son grand-père ne lui a donné la feuille. Alors nous avons : Amaya, Charles, Asch, .... Il continue d'en citer puis s'arrête quelques secondes au dix neuvième nom avant de continuer. Comme s'il avait dû relire plusieurs fois les noms écrits. Nous avons aussi... Ma sœur et Chavaquiah. Finit-il par dire.

J'ai du mal entendre. C'est impossible ! M'offusquais-je intérieurement. Je ne peux pas rester ici. Je suis leur atout. Je suis la seule à pouvoir les battre. Je dois aller le leur dire. Le leur rappeler. Je suis complètement déboussolée. Pourquoi me laisser ici ? Ça n'est d'aucune logique. Encore que Chenoa reste, je comprends, elle vient à peine de se réveiller d'un coma.

Mais bon, je la vois bien en colère elle aussi. Je ne pense pas qu'elle soit très contente de rester ici. De ce que j'ai rapidement pu voir de son caractère, il n'est pas très loin de moi. On est loin d'être opposé. Je ne voudrais pas être à sa place. Rester ici sur ordre de sa famille doit être assez frustrant pour elle.
Mais à deux, on arrivera à y aller. On partira au combat et on les battra.