Pdv Raphaël :
Comment il peut la faire souffrir ? Il est son ami. Je déteste la voir pleurer. J’aimerais tellement la reprendre dans mes bras et l’embrasser. Lui faire oublier ce qui s’est passé. Mais c’est impossible. Je dois attendre qu’elle me choisisse. Alors elle sera ma femme. Enfin si elle me choisit. Je suis terrifié par le fait qu’elle préfère Bialot. Par le fait qu’elle préfère être en bas et dans les bras de Bialot. A chaque fois que je les voies ensemble ; j’ai envie de détruire Bialot. Je sais que c’est interdit mais c’est plus fort que moi. Mon sang ne fait qu’un tour quand je sais qu’elle n’est pas en haut. Quand elle passe toute ses journées avec lui. Et que moi je l’a voies que de temps en temps.
Cette histoire d’âme sœur m’inquiète. Ce n’est pas Bialot, c’est sûr. Enfin je crois… Il y a que nous dans la maison, et ce n’est pas moi. Ça ne peut être que lui. Mais si ça l’était, il ne réagirait pas comme ça.
«Venga a mi socorro, le suplico, glorioso Prícipe. Santo Raphaël, el mejor médico de las almas y del cuerpo. Ô usted que se curo los ojos de Tobie ; dé à mi madre la curacíon y hecha desaparecertouts la tinieblas por sus celestes suplicas. » (Venez à mon secours, je vous en supplie, glorieux Prince, saint Raphaël, le meilleur médecin des âmes et des corps. Ô vous qui avez guéri les yeux de Tobie, donnez à ma mère la guérison et faite disparaître tous les ténèbres par vos célestes supplications). Cette prière m’éloigne de mes penser me faisant revenir à la réalité. Je ne peux pas toujours être avec Chavaquiah. Je dois aller sauver cette femme.
-Je dois partir en Espagne. Je reviens dès que possible pour examiner votre fille.
-Très bien. Me répond sa mère.
Pdv Chavaquiah :
Je cours encore et encore laissant mon instinct me dire quel chemin je dois emprunter. J’ai couru si vite que je suis déjà à la fin des bois. Je ralentis la cadence et opte au final pour la marche.
Je reconnais ces lieux. Je sais que je suis déjà venue ici. Et pourtant même si cette fontaine m’es connu je ne me rappelle pas l’avoir un jour vu. Je vais m’assoir sur un banc en face de cette fontaine. Pourquoi est-ce que mon instinct ma conduit jusqu’ici ? Je regarde cette fontaine plus précisément. Elle est au centre d’un bassin mais il est complètement vide. L’herbe est encore courte mais elle n’a pas dû être tondue récemment. Il n’y a pas de fleur sur de la terre fraichement retourner. Je me demande à quoi elle ressemble en été, avec de belle fleur et le bruit de l’eau qui coule s’en s’arrêter. C’est comme si j’entendais réellement l’eau.
Puis une impression de remonter le temps me saisis. Curieuse comme je suis, je rouvre mes yeux. Je suis toujours devant la fontaine et toujours sur le même banc mais de l’eau à remplacer le vide. Des fleurs, fané certes mais des fleurs tout de même, sont encore planté dans la terre. Je me tourne sans l’avoir voulu et vois deux garçons.
Celui de gauche a la beauté d’un ange, cheveux brun et en bataille, de magnifique yeux vers. Il me fait vraiment penser à un ange. En tout cas il en a la beauté. A l’inverse, l’autre garçon me fait plus penser au démon sûrement dû à sa grande similitude avec Bialot.
Pourquoi est-ce que je suis avec deux inconnus ? Deux inconnus mais que je connais. Ou connaissait. Je dois mettre un nom sur ces deux visages. Je dois trouver qui ils sont.
_____________________
Alors pour la traduction j’ai dû utiliser Pons parce que je ne parle pas espagnole et je trouvais que la prière en espagnole c’était mieux qu'en français mais pour ceux qui sont dans mon cas, il y a la traduction.
Voilà pour ce chapitre. J'espère qu'il vous a plus et que vous serez prêt pour le prochain chapitre qui viendra la semaine prochaine. N'oubliez pas de me dire ce que vous pensez de l'histoire et si vous avez une idée de la suite dite le moi en commentaire!
VOUS LISEZ
Lumière contre Ténèbres : Le Choix
FantasyTome 1 Chacun doit se battre pour ne pas sombrer du mauvais côté. Mais pour moi il n'y a pas de mauvais côté. Je peux laisser mon cœur dérivé dans l'océan de noirceur puis ensuite le purger et voler parmi les cieux. Mais plus pour longtemps. J'aurai...