Chapitre9- rencontre

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Pdv d'Athéna:

Je me réveillais dans mon lit, et je repensais à tout ce qui s'était passé à la journée dernière. Et surtout à antoine, au mon dieu Antoine mais qu'est-ce qu'ils ont pu le faire. Je sauta du lit et vis le garçon qui m'a brusqué à la cafétéria.

- À l'aide, criai-je.

- Hé calme toi, Athéna je suis là pour t'aider...

- Nan, tu est le fou de la cafétéria , au nom de dieu!

- Athéna je suis un ami d'Antoine, et je suis désolé pour la dernière fois, j'ai fait cela pour rigoler, je n'ai rien de de dangereux.

- Tu veux que je te rappel où tu es!

- Bien sûr si tu le vois comme ça, ria-t-il, je m'appelle Lucas et quand hier soir j'ai vu qu'ils ont emmenés Antoine, et que la gardienne t'a emmené dans ta chambre, j'ai préféré venir te voir si tu n'avait rien et j'ai attendu que tu te réveille.

- Qu'est-ce qu'ils vont lui faire et qui sont-ils?

- Ce sont des gardiens mais comment dire... Ici c'est un peu comme une prison, ceux qui ont était internés en premier on des complices, dss sortes d'ami dans la clinique, si tu touches l'un d'eux, il y aura toujours des répercutions.

- Mais il n'a fait que m'aider, j'allais me faire...

Je cessa de parler un instants, juste le faites d'y pensais me donne juste l'envie de pleurer.

- Athéna, je sais, c'était les complices de Marc, j'ai deviné ce qu'il aurait pu te faire, Antoine t'a aidé il en savait les conséquences.

- Lucas-tu me dis tout ça, mais je ne peux pas te croire d'avantages, je te rappelle que tu es dans une clinique psychiatrique et je suis seule ici avec toi et...

- Tu ne dois pas avoir peur de moi, viens là on s'assoie, je te raconte tous se qu'il y a à savoir sur moi et tu me fera confiance après ok?

Je lui fis oui de la tête et m'assis près de lui.

- Mon père frappait ma mère, il était ivre morts à chaque fois et quand j'essayais d'aidé ma mère il me frappait jusqu'à se que je m'évanouisse je ne trouvé pas le courage de me levait et de lui dire nan, stop. Jn soir je suis sorti avec des ami, on avait trop bu et en rentrant chez moi je l'ai vu frappait ma mère elle pleurait et elle me fit le signe de partir mais elle nageait dans la marre de son propre sang et mon père lui riait au éclat alors je lui sauta dessus et le frappa de toute mes forces il hurlait. Hurlait et hurlait, un voisin nous avait entendu et à appelait la police, un mois plus tard mon père est partit en prison avec une cote cassé et une jambe et un bras également, ma mère ne le voulait pas mais on m'envoya ici, je raconte à tout le monde que je suis une drogué et un alcoolique qu'on ne voulait mas envoyé en désintoxication.

Je ne savais pas quoi dire il venait de se livrait à moi...

- Lucas je ne raconterais à personne ton histoire mais Antoine, il ne va rien lui arriver?

- Il l'ont emmené en cellule d'isolement, il sortira dans quelque heures, en attendant prépare toi et réjoins-moi à la cantine, vien à notre table et je te présenterai aux seules personnes potables de cette clinique, dit-il en me faisant un clin d'oeil et en sortant.

Je rentrais dans le réfectoire, prit mes cachets et partit chercher une place pour m'asseoir, au loin je vis Lucas et deux filles avec un garçons.

Je m'approcha d'eux, et tous me dévisageait.

- Je les proposais de venir, dis Lucas, allez assis toi Athéna.

- Bien sûr, pourquoi ne pas invité la fille qui as fait enfermés Antoine! Ria sadiquement une fille blonde.

- Marine, dis Lucas, ce n'est pas de sa faute si elle à faillit se faire...

- Bien sûr, le coupa-t-elle, mais Antoine n'aurait jamais dû faire ça!

- Et quoi tu préféré qu'elle se fasses...

- Hé! Stop c'est bon là, Marine tu l'as ferme ok! Athéna tu peux t'asseoir, je m'appelle Vincent.

- Salut, répondis-je timidement.

- La blonde qui fait des rêves zarb' c'est Marine, continua-t-il, elle, la meuf qui est dingue de couteau se nomme Caroline, et tu connais déjà Lucas un drogué et un accro de l'alcool qui ne devrais pas être parmi nous bref tu nous connais maintenant et tu ne devrai pas avoir peur de nous, souria-t-il en levant les yeux au ciel.

- Bien sûr qu'elle ne devrait pas avoir peur de nous mais de toi ça il faut voir, dis une voix qui venait de derrière nous.

Je le retournas et vis...

Autonomy & foreign (french)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant