Chapitre 16-

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J'étais dans ses bras, il respirait lentement et son coeur battait faiblement. Hier il m'avait fait une de ses peurs, mais j'était surtout choqué de la réaction d'Antoine surtout déçus.

Sa peau était chaude, il me serrait dans ses bras mais je craignais de lui faire mal, ses paupières commença à s'ouvrir.

- Bonjour, lui dit-je.

- Bonjour.

- Je vais y allé j'ai peur que quelqu'un vienne.

Je me leva, il fit de même, me prit la main, me serra contre lui, et m'embrassa.

C'est le baiser la plus parfait que je n'ai jamais fait. J'avais des papillons dans le ventre, j'avais envie d'hurler haut et fort, de frapper sur la première chose venue, on se décolla au bout de quelques minutes à bout de souffle.

Il me souria comme jamais il ne la fait je pense je fit de même et je sortit sans regardé en arrière.

Je devais rejoindre ma chambre au plus vite, avant que les gardiennes n'entre.

Les caméras ne clignotait pas, ils pensent peut-être que le matin, nous, les pas bien mentalement restons enfermé dans notre chambre et bien faux!

J'arrivais enfin devant ma chambre mais assis à la porte se trouvait Antoine. Le voir me fit comme un poing en pleine figure. Je repensais à comment il m'avait abandonné avec Vincent, moi qui était en pleure, et lui, bref...

- Athéna, commença-t-il.

-Nan vas-t-en je ne veux pas te parler ni te voir d'ailleurs.

Il me tira par le bras vers lui je pouvais sentir son souffle sur ma peau et son regard pesé sur moi.

- Lâche-moi!!

- Tu étais où?

- Ça ne te regarde pas.

Il me serrait de plus en plus fort ce qui me faisait extrêmement mal.

- Arrête tu me fais mal Antoine!

- Antoine! Lâche là!

- Caroline pourquoi tu es ici?!

- Antoine ne m'oblige pas à le répété une deuxième fois!

Il me lâcha et me dit en chuchotant que j'allais le regretter et que ce n'était pas terminé. C'est officielle il me faisait peur. Je ne comprend pas son changement soudain de comportement, pourquoi il est comme ça avec moi? Qu'est-ce que j'ai fait? Il était adorable avec moi. Je ne comprends plus rien...

- Tu vas bien Athéna?

- Oui ça peut aller.

- Viens avec moi on doit aller au petit déjeuner.

- Pourquoi es-tu gentille avec moi?

- Viens, répéta-t-elle en souriant.

On entra dans le réfectoire, en arrivant au guichet où on nous donnais nos cachet je remarqua que la dose avait doublé.

- Vous vous êtes trompé moi j'en ai deux fois moins.

- AVANCE, cria la dame, JE N'AI PAS TOUT MON TEMPS!

Je partis m'asseoir près de Marine, Caroline et Lucas.

- Pourquoi j'ai le double de cachet?!

- Tout les deux mois il augmente la dose princesse, répondis Lucas, tu t'y feras ne t'inquiète pas.

——-

La fin de journée arrivait, une voie dans l'interphone disez qu'on pouvait appeller un de nos proches avec dans la salle de visite. J'étais heureuse, ma mère me manquait, mon oncle, ma famille, mes amis, je sais que c'est dernier temps je ne l'ai pas parlé mais ce n'est rien c'est ma famille et je les aimes plus que tout.

J'arrive dans la salle, tout les patients était à la table où les téléphones était posé, une était libre, je m'assit et composa le numéro, j'appréhendais d'appelé ma mère, elle me manque énormément.

Le téléphone commença à se sonner, sonner, et sonner.

- Vous êtes bien sur la boîte messagerie des Smith, je suis sois occupé, sois je ne suis pas là, rappelez, si c'est toi Athéna, je t'aime ma princesse désolé de ne pas répondre.

BIP BIP BIP

Ok, d'accord, j'en ai marre, je m'effondra en larmes.

Autonomy & foreign (french)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant