Chapitre10- Je suis là

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Je me retournas et je le vis. Mon coeur ne fit qu'un tour et j'eus l'impression qu'il s'arrêta. Mes larmes on commençait à montait et je devait être blaime, les deux hommes de la nuit dernière était à l'entrée et nous fixait l'air menaçant. Lucas se leva et se mit devant moi en disant:

- Qu'est-ce que tu veux!

- Je viens voir si Athéna va bien, alors ma princesse, dit-il en me regardant, tu va bien, pas trop déçu?

- Je suis déçue de ne pas avoir mit moi même un poing dans ta gueule!

- Vien je t'en prit, ria-t-il.

- Ne me defie pas!

- Si je le fais ma belle.

Je me leva et partir dans sa direction tel une furie, trop c'est trop, je ne sais pas se qui m'as prit, je sais me défendre, je ne suis pas le genre de fille fragile, je me c'est qui je suis, c'est finie, je ne me laisse plus faire!

Lucas me prit par les bras et me tira vers lui.

- Hé! Mon poing dans ta face n'as pas suffit?!

Marc se retourna et se trouva nez à nez avec Antoine. Sa me faisait plaisir de le voir, un sourire commençait à de dessiner sur mes lèvres.

- Morray, alors on t'a relâché? Ria -t-il.

- Oui comme tu le vois et j'y retournerai volontiers si il le fallait!

Marc le fixa et puis partit. En même temps Lucas me lâcha et je courus vers Antoine, il me prit dans ses bras et murmura:

- Viens avec moi.

Il me prit par la main et on sortit.

- Vous allez où vous deux? Demanda une gardienne.

On ne lui repondit pas et sortit. Il m'emmena à l'extérieur de la clinique, on arriva devant une grille et il s'arrêta.

- Antoine, je crois qu'on ne peut pas aller plus loin.

- Faux, répondit-il.

- Tu vas sauter la barrière c'est ça, rigolais-je.

-Il n'y a pas de caméra ici.

- Et?

Il s'agenouilla et tira sur la grille, un bout tomba et il passa par le trou.

- Tu viens? Ria-t-il.

Je fis alors de même et on pénétar dans la forêt pour arriver ensuite à un lac. Il s'arrêta et s'assis près du bord.

-Si tu savais comment t'échapper d'ici, pourquoi tu ne pars pas pour de bon, demandai-je en me posant près de lui.

- Parce-que je suis ici de mon plein grès.

- Hein????

- Oui, on ne m'as pas forcée.

Il fixait l'horizon en souriant, je voulais qu'il me raconte tout sur lui. Je ne comprenais pas pourquoi il est venu ici de son plein grès, il a décidé de se faire interné ici seul, mais qui ferait cela.

- Athéna pourquoi...

- J'était à une soirée mon père est venue me chercher, j'était un peu saoul, il me la demandé mais je lui est dit que nan, je ne l'était pas, alors il me proposa de prendre le volant, ce que que je fit. Je voyais la route en double, alors que je croyais qu'il n'avait personne sur la route, un camion nous fonça dessus, on déboula sur plusieurs mètres, mon père était conscients et moi un peu dans les vapes, alors il me fit sortir de la voiture, il me dit de marcher loin de là, ce que je fit, lui il est resté près de la voiture à me regardait, je ne comprenais pas pourquoi, alors c'est là qu'il essaya de s'asseoir à la place du conducteur pour qu'on ne doute pas que c'est moi qui avait provoqué l'accident, il me regarda et me souria et me fit un signe d'aurevoir, quand je vis cela je courra vers la voiture mais elle explosa.

- Athéna...

- Ma mère était en déplacement pour son travail alors je suis partit chez ma tante, toute la famille de mon père me prenait pour responsable de sa mort, mais tout le monde faisait comme si ce n'était pas le cas. Un soir alors qu'on était en réunion de famille tout le monde me souriait et me disais que ce n'était pas de ma faute, alors je me suis levait et leurs cria que je savais qu'il me prenait pour responsable, mais évidemment il ne savais pas que c'était vrai, que c'était moi qui conduisais, après ma crise je monta dans ma chambre suivit de ma tante. Elle s'assit près de moi et pleura, je lui répétais que j'était désolé, ensuite elle se leva et me frappa, une grande claque et elle me frappa encore et encore, et elle sortit. Le lendemain ma mère est venu me chercher. Elle, elle ne me tenait pas pour responsable, elle m'aimait réellement, mais pour moi, tout était de ma faute, alors j'ai commençais à me droguais puis à boire puis à me mutiler et j'ai essayé de me mutiler. Cette histoire m'a détruite. Je me sentais incomprise, mal aimé... Voilà tout sait tout de moi a présent.

Il ne parlait pas, il fixait l'horizon, je me prit la tête entre les mains et pleura, puis je le sentis contre moi, il me prenait dans ses bras, ma tête était contre son torse, je sentis mon coeur s'accélérait.

- Personne ne te fera plus jamais de mal, tu peux compter sur moi, jamais plus tu ne sera seule, je suis là et je resterai ici pour toi.

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Fini, désolé pour le retard. Vous aimez??? En tout cas je l'espère ;)

Autonomy & foreign (french)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant