Ô douce étendue déchaînée,
Violente mer immobile !
Calme, agitée, subtile.
Tes vagues, à jamais, acharnées.
Je suis troublé par ta beauté,
Plongé dans tes yeux si bleus,
Noyé dans ton corps houleux,
Inondé de ta pureté.
Une sirène face à moi,
M'a totalement charmée
Et même m'a désarmé,
Mais ne veut pas de moi... Pourquoi ?
Écrasé sur cette falaise,
Comme l'eau je suis figé,
Face à cette mer Égée,
Lieu symbole de mon malaise.
Je n'ai plus qu'a sauter,
Rejoindre Poséidon,
N'ayant plus que mon pardon,
Et ne pouvant que regretter.
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Abri poétique
PuisiUn premier recueil, initiatique et assez naïf, dans lequel les mots murissent petit à petit avec leur auteur, tels une fresque de vie. Je vous propose de découvrir en ces pages un peu de moi, un peu de mes mots. Vous trouverez un peu de tout. Beauco...