Chapitre 8 - Entre nous

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Les bruits commencèrent à augmenter dans les couloirs quand je regardai vers la fenêtre. Je fermai la porte, décidé de rester dans ma chambre pour le reste de la soirée. Non pas que je n'avais jamais été à un party, mais je n'ai jamais été à l'aise avec l'idée de fêtes à la maison, parce qu'il y a habituellement de l'alcool et... dieu sait quoi d'autre. Le soleil a lentement descendu. Le point de vue de l'horizon à partir de ma chambre était peut-être la seule chose dont j'avais développé une réelle admiration. Je souris à la façon dont la lune était déjà furtive. Elle a contribué à la formation progressive d'un ciel scintillant de la nuit. Les nuages, qui se vantaient d'avoir des couleurs mystiques, ont tenu la promesse d'une nuit calme et paisible. Mais ma sérénité retrouvée a été rapidement interrompus quand de la musique forte a commencé à sauté dans bas. Je n'étais pas sûre si c'était juste moi ou si le sol tremblait légèrement, mais ça m'a fait me sentir mal à l'aise. Je reconnue l'une des chansons où les enfants populaires de mon école dansait après les cours. Elle n'avait pas du tout les paroles appropriées. Outre les beats électroniques qui composent presque toute la chanson, il n'y avait que quelques mots répétitifs. Personnellement, je détestais ça. Je poussai un soupir quand je marchais vers mon lit.

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«Ouvre!» Une voix féminine me réveilla. Les coups forts sur la porte étaient persistants, chacun me faisait plus attentive et éveillée.

«Aller! Je vais-» Sa phrase se termina par un rot flandrin. Elle était sur le point de vomir. «Les salles de bain sont pleine.»

Je chancelai vers la porte et l'ouvris pour voir une blonde mince avec un visage brûlant. Elle me poussa et se précipita dans la salle de bain.

J'étais sur le point de refermer la porte quand un homme chauve grand vacilla vers moi, j'ai immédiatement reculé. Le grand mêle s'avança vers moi dans l'excitation, quand je vis que la porte était toujours grande ouverte. « Tu es la Baby Doll bébé, n'est-ce pas?» Il marmonna, je pouvais sentir l'alcool dans son haleine. «Harry a dit que nous pouvions partager.» Il sourit.

Mes paumes commencèrent à transpirer quand mon dos a touché le mur. Ce n'était pas la première fois que quelque chose comme ça se passait. Je suis retourné au moment où l'homme de main de Richard se trouvait dans ma chambre quand je m'étais réveillé l'autre jour. Heureusement que Bee était là. Mais maintenant, je n'étais pas sûre si mon sort serait aussi chanceux. Mes entrailles se tournèrent. Ma bouche se sépara en état de choc quand le gars était si proche que je pouvais clairement entendre sa respiration profonde. Ses mains étaient posées à plat sur le mur de derrière, donc il m'entourait complètement. Mes mains se levèrent pour le pousser, ma force faible l'amusait vu qu'il riait. Je me suis senti pathétique. Mes poings commencèrent à marteler sa poitrine, mais j'ai été arrêté quand il attrapa mes mains. Je remarqua quelques personnes émergent dans la pièce.

«Aider moi!» J'appelai. J'ai été surprise qu'au lieu de réellement m'aider, ils ont commencé à encourager le gars. Ils ont tenu leurs boissons hautes pour l'appuyer. Quel genre de personnes étaient-ils?

J'ai été choqué par elle et je me suis démotivé à me battre. Il me poussa sur le lit. «Hey, tout le monde! Zach va enfin se casé!» J'ai entendu quelqu'un crier. «Je voudrais un peu d'intimité!» Le gars a répondu avant de se mettre à califourchon sur moi. L'odeur de son haleine était révoltante. J'ai commencé à pleurer et la seule chose qui m'a traversé l'esprit à ce moment-là c'est que je voulais mourir. «S'il vous plaît...» Ma voix se brisa quand je l'ai supplié. Je savais que c'était sans espoir.

«Zach! Qu'es que tu fais putain?»  La vois d'Harry retentit, le soulagement se précipita rapidement en moi.

Le gars se souleva de moi quand il se tourna vers Harry qui lui avait été poussé à travers la petite foule à l'entrée. «Je pensais que nous allions avoir un peu de plaisir ce soir, man.» Il se mit à rire alors que je me précipitai hors du lit aussi vite que je le pouvais.

«Pas comme ça. Sortez vos putain cul de cette pièce.» Harry ordonna fermement.

«Pourquoi tu es un tel rabat-joie?» Le gars murmura quand il passa à côté d'Harry.

«Je veux personne à l'étage.» Harry éleva la voix et les gens commencèrent à se disperser.

La musique n'a jamais arrêté une seule fois, les battements des murs étaient en plein essor constante tout au long de la situation, mais ils étaient un peu moins présents quand Harry ferma la porte de ma chambre. Il n'y avait que nous deux dans la chambre maintenant.

«Zach est un peu euh... défavorisé.» Harry expliqua quand il glissa ses mains dans les poches de son jean.

«Je pense que c'est un euphémisme.» Je réussi à dire avant de pincer mes lèvres. J'essuyai mes larmes rapidement.

«Hey.» Harry s'arrêta pour se gratter la tête. «Il ne le refera plus jamais.»

Ce qu'il a dit n'a pas aidé autant que je le pensais, j'ai continué de pleurer malgré mes tentatives de contenir mes larmes. Je ne pouvais plus le supporter. Je ne pouvais pas le supporter. Je n'appartenais pas à cet environnement et j'avais besoin de m'échapper.

«Je ne veux plus vivre.»

«Ne fait pas quelque chose de stupide.» Il m'a dit. «Écoute, je comprends où tu veux en venir, mais je ne vais pas te laisser t'en aller. Mon père va me le reprocher le reste de ma vie si je le fais. Mais...»

«Tu n'as pas à dormir avec moi si tu n'es pas d'accord avec ça.  Alors ne te tue pas toi-même ou quelque chose comme ça. Garde ça entre nous. Mon père ne doit pas savoir.»

Baby Doll (version française)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant