Chapitre 8

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Mercredi le 17 Mai

•PV Vidia•

La travailleuse social me rappela pour m'annoncer une "belle" nouvelle. J'ai le goût de crever Oui...

Dame: Alors..comme je t'ai dit, j'ai une bonne nouvelle pour toi
Vidia: hmm..?
Dame: Une famille veux bien t'accueillir, ils vivent à 1 journée d'ici. Ils sont très gentil
Vidia: 1 journée ?!?
Dame: Oui, la semaine prochain tu va pouvoir y aller...et vendredi ils vont venir te rendre visite
Vidia:...Super !
Dame: je sais

Elle me sourit...elle est conne ou quoi? Elle ne comprend pas le sarcasme

Je me levai.

Dame: Tu fait quoi?
Vidia: je m'en vais, vous avez fini Non?
Dame: Tu ne veux pas rester un peu?

Je laissai un rire sarcastique s'échapper

Vidia: Bien sûre, je vais rester vous voulez savez quoi? Ma vie sexuel ?
Dame: bah...euh...

Je ne pris même pas le peine d'écouter le reste. Je mis mon sac sur mon épaule et sorti. J'avais aucunement le goût de lui parler plus longtemps.

Comme si c'était une bonne nouvelle. Je vais devoir quitter tout mes amis pour allez je ne sais où ne chez je ne sais qui. Je préfère plutôt étais sans abris ou devoir changer de maison à chaque semaine.

Ma vie est ici et je n'ai pas l'intention de partir.

Je sortis mon cellulaire pour envoyer un message.

Je quittai l'école sans prendre la peine d'aller en classe. De tout manière, les profs sont habituer avant le temps.

Je me rendis dans une ruelle pour rentrer dans un vieux bâtiment. Après d'avoir 3 étages, je m'assis sur le bord du toit pour regarder dehors.

Une personne vena s'assoir à côté de moi. Sans même la regarder, je savais qui c'était. On allait à la même école. Là-bas, on ne se parlait pas vraiment, mais ici ca changeait. Elle connaît tout de moi et je connaît tout d'elle.

J'ai jamais vraiment su pourquoi je lui comptait ca, peut-être parce qu'elle avait aucun rapport dans ma vie. Elle m'a même déjà accueilli chez elle quand je me battais à l'école et que je ne voulais pas que mon père me voit. J'inventais une histoire à mon père a propos de l'école en même temps de lui donner une bouteille d'alcool. Il ne disait rien et me laissait tranquille pour la journée.

Elle sortir une cigarette et me la tendit.

...: Mauvaise journée ?
Vidia: Tu ne peux pas imaginer...
...: Sûrement...

Irène n'a pas vraiment les même problème que moi. Sauf qu'elle a vécu aussi pire.

Elle a été agresser quand elle était plus jeune vers l'âge de 15 ans. Depuis, elle est renfermer sur elle même et ne parle à personne.

Je sait que la danse l'aide à tout oublier et à être heureuse.

Je lui ai conseillé d'aller voir un psychologue et elle m'a rit dans la face. Personne ne le savait et elle fessait comme si cette journée ne c'était jamais passé.

J'avoue que se faire agresser par des élèves de sa classe doit de couper l'envie de parler à ton psychologue de l'école.

Irène: Vivi...
Vidia: hm?
Irène: Elle veux que je danse au show
Vidia: C'est cool
Irène: Ils vont être là...j'en suis sûre
Vidia: Ils ont arrêter l'école
Irène: J'aurai dû les tuer..

Elle alluma sa cigarette avant de prendre une bouffée.

Vidia: Tu n'es vraiment pas la même à l'école
Irène: J'essaye d'être ouverte...je n'y arrive pas...j'ai l'impression que tout le monde me juge à se que je fais...je préfère ne rien faire et que personne ne me parle

Je pris le briquet de Irène et allumai ma cigarette.

Vidia: Jolie briquet
Irène: Je sais
Vidia: Je ne savais pas que tu aimais les femmes à moitié nu

Elle bouffa de rire.

Irène: C'est le mec du dépanneur qui m'a vendu ça quand on a été acheter des paquets la dernière fois
Vidia: la dernière fois....oh quand tu avais oubliée tout tes cigarettes dans ton sac chez vous
Irène: ouais
Vidia: Je ne savais pas qu'on passait pour un couple
Irène: il a du voir notre tattoo et penser que c'était un tattoo de couple
Vidia: Qui est assez con pour ca ?
Irène: lui

On se mit à rire. J'adorais être avec elle. Je pouvais dire se que je voulais, elle ne me jugeait jamais.

Sauf une fois, quand je lui est dit que je trouvais le prof de science mignon. Là, elle m'avait juger ouvertement.

Elle leva son chandail et regarda son tattoo sur son épaule droite. Moi, mon tattoo se trouvait sur mon épaule gauche.

Elle avait une plume blanche avant le centre noir, j'avais le contraire d'elle. Comme le Yin and Yang.

On a été faire de tattoo après de c'était compte la pire chose qui vous était arriver. Je lui ai compter se que je vivait avec mon père et elle m'a compte son agression.

À ce moment, les deux, on a vidées 5 boîtes de mouchoirs à nous seule.

Elle le regarda encore quelque seconde avant de redescendre son chandail

Vidia: Je pense que j'ai au mauvaise influence sur toi
Irène: De quoi tu parle ?
Vidia: Tu ne fumais pas avant
Irène: Si, mais je me cachais

On rit encore un peu.

Vidia: T'es parents le savent ?
Irène: Oui...
Vidia: Et ?

Elle toussa un peu.

Irène: "C'est mauvais pour toi!" "Tu va arrêter dès maintenant!"
Vidia: Et ?
Irène: Je n'ai pas arrêter et ils me laissent faire
Vidia: I...

Je sais son surnom est juste une lettre le l'alphabet, mais j'aime l'appeler comme ça. Ca lui va bien.

Irène: Quoi?
Vidia: Je vais déménager...
Irène: où?
Vidia: À 1 journée d'ici...

Don't cry, I'll help you Où les histoires vivent. Découvrez maintenant