Irréversible [carl grimes]

Chapitre 12

Bonjour à tous et à toute, me voilà revenu de vacances, je vais à nouveau publier régulièrement mon histoire. bonne lecture à vous.

Point de vue de Carl.

Cela fait déjà deux heure que je suis là à observé se satané plafond. La douleur toujours présente affecte mes capacités à penser de façon cohérente car si je m'écoutais, je sortirais de ce lit et irais à la recherche d'Evie. Le seul fait de penser à elle me met dans tous mes états. Dans ma tête tout est encore très clair, la douceur de ses lèvres, le tremblement maladroit de ses mains qui empoignent mes cheveux. Mais ce que je n'oublierais jamais, qui restera encré est le regard qu'elle m'a lancer quand je lui ai hurler de partir. J'étais anéantis d'avoir agis ainsi mais c'était la meilleure chose à faire, mon père était trop en colère pour écouter quoi que ce soit.

Et dire quand cet instant elle était avec cet abruti qui était responsables de mon état. Cet enfoiré qui la regardait avec envie. Mes poings se serraient de colère à cette pensée, la savoir avec lui me mettait dans un état de rage. J'avais peur qu'il tente quelque chose, qu'elle le préfère à moi mais j'avais surtout peur qu'il la ramène auprès de son frère, dieu sait ce qu'il pourrait lui faire subir. Elle n'était pas en sécurité avec lui.

Tout ces derniers événements défilaient en boucle dans mon cerveau, qu'aurais-je pu faire pour éviter tout ceci? C'était ma faute, si je n'avais pas insisté pour qu'elle vienne à Alenxandria, rien de tout cela ne serait arrivé. Il ne nous aurez pas retrouvé, là bas nous étions à l'abris mais je l'ai mener tout droit dans la gueule du loup.

-Carl.

Mes pensées m'avaient tellement engloutis que je n'avais même pas entendu mon père entrer. Mon regarda s'accrocha au sien et je pouvais y lire de l'inquiétude mais également de la colère ou de la déception peut-être.

-comment tu vas fiston?

-sa va papa fis-je en m'asseyant.

Il était hésitant, je le voyais, il cherchait les bons mots. Mon attitude était inexcusable, j'avais mis en danger ma communauté, cela aurais pu être cent fois pire mais pour elle j'étais prêt à tout.

-explique moi comment tout cela est arrivé et qui sont ses deux jeunes gens fit mon père en se contenant.

-papa je... avant tout sache que je suis désolé,j'ai agit sur un coup de tête.

-qui sont-ils et d'où ils viennent?

-je ne sais pas, je surveillais les environs quand j'ai aperçut cette fille courir vers moi, elle était paniqué papa, je lui ai proposé de venir avec moi, on aurait pu l'aider mais l'autre est arrivé. Il était armé et tous c'est passer si vite murmurais-je plus pour moi-même. Ensuite il a tiré, j'ai tiré et vous êtes arrivés, tu connais la suite.

Son regard me sondait, me transperçait pour me démasquer et je savais pertinemment qu'il ne me croyait pas. C'est mon père et je suis piètre menteur.

-j'ai vu, j'ai vu la façon donc cette fille de regarder, j'ai entendu la détresse dans sa voix quand elle t'appeler, tout laisse à penser que tu ne viens pas de faire sa connaissance.

-papa....

-je ne sais pas ce qui se passe mais je te demanderais une chose Carl, ne met pas les gens, notre famille et Alenxandria en danger. Mets fin à tout ça finit-il par dire.

C'était impossible, jamais je ne pourrais faire ça. En très peu de temps, elle m'était devenue essentielle, ce qui me surprenait encore. S'attacher en un laps de temps réduit, prouver une fois de plus que notre monde n'étais plus celui que nous avions connu, nous savions tous que notre vie ne tenait plus qu'à un fil. Alors autant tous que nous sommes, avons cesser de réfléchir et agissons avec notre coeur.
Je l'aurais rencontré dans un monde normal, oui elle m'aurait tout autant plut mais j'aurais hésiter longtemps avant de l'aborder. À présent, nous ne perdons plus de temps car le temps nous était compter.