𝒜𝓂𝑜𝓊𝓇 𝒾𝓃𝒻𝒾𝓃𝒾...

Chapitre 15

Pdv Tini

Aujourd'hui, je sors de l'hôpital. Mechi vient me chercher pour me ramener à la maison.

~ Arrivée à la maison ~

J'arrive, j'entre et Léo saute dans mes bras.

- Maman !
- Coucou mon trésor !

Je vois Jorge sur le canapé. Je décide d'aller le voir pour lui parler afin d'annoncer la grossesse.

- Léo, mon cœur, va jouer dans ta chambre. Je dois parler avec papa.
- Oui maman.

Je pars m'assoir sur le canapé.

- Bonjour Jorge.
- Bonjour Tini.
- Tu n'es pas avec ta nouvelle petite copine ?
- Et c'est pas vrai, tu vas recommencer avec ça ?!
- Oh, excuse moi Jorge ! * ironique * Mais ce n'est pas moi qui ai trompé la personne à qui tu étais censé être fidèle ! Tu disais que tu m'aimais Jorge... et j'y ai cru... mais quand il y a eu cette fille au gala, je me suis rendue compte que tu t'es vraiment moqué de moi...
- Mais Tini...
- Tini quoi Jorge ? Tu vas me dire encore que tu m'aimes mais après...
- Tini tais-toi ! La fille qui était au gala c'était en fait ma cousine ! C'était ma cousine, Teresa ! Elle était partie à Londres pour ses études et maintenant elle est de retour !
- Ta cousine...
- Oui ma cousine !
- Ah... je... je suis désolée Jorge, je... je...
- C'est pas grave ! J'aurai réagi comme toi !
- J'ai quelque chose à te dire...
- C'est quoi ?
- Voilà, après le malaise, le docteur m'a dit que...
- Que quoi ?
- Que...
- Que quoi Tini ? Tu me fais peur là !
- On va avoir un bébé Jorge...

Quand je lui annonce la grossesse, il est choqué.

- Un... un bébé ?
- Oui un bébé !

Il me prend dans ses bras.

- Tu me rends heureux Tini... mais dommage que... que ce bébé naîtra dans une famille dont les parents seront séparés...
- Non, elle sera dans une famille unie...
- Quoi ?
- Jorge... malgré ce que tu m'as fait, je t'aime... je ne peux pas le nier... l'arrivée de notre bébé peut arranger notre situation de couple ! Qui sait ?
- Moi je pense qu'il est arrivé pour qu'on se réconcilie...
- Et moi, je te pardonne Jorge, je t'aime...
- Moi aussi je t'aime Tini. * l'embrasse *

Jorge m'embrasse, ces lèvres m'avaient tant manqué ! Et nous nous prenons dans les bras...