Chapitre 8

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- Je veux que tu parte de ma vie, tu comprends je ne connais rien de toi .

-D'accord écoute j'ai eu 18 ans le 18 janvier, je vis avec mon père car ma mère est décédé il y a 1 an d'un cancer du sang, j'ai une sœur Octavia elle a 16 ans, elle est rester sur New York pour sa scolarité. Comme tu as pu le voir j'attire les filles, c'est comme ça j'ai pas choisit. Mais ce que je sais c'est que je suis attiré par toi, écoute c'est une première pour moi, d'habitude les filles me tombe dans les bras et toi tu me résistes et j'aime ça, noora tu m'intéresse je me sens attirer par toi j'ai besoin de savoir tout le temps se que tu fais avec qui et ou c'est comme ça je ne contrôle rien et croit moi, quand j'ai compris ton secret je n'est eu qu'un envie c'est de casser la gueule de ta famille de tes amies comment peuvent t'il ne rien voir ? Tu es si belle mais si vulnérable...

Les larmes coulaient tout le longs de mes joues qui avaient pris un ton rosé, comment a t'il pu savoir tout ça sur moi, il était le seul à me comprendre je ne le connaissais que depuis 3 jours et c'était comme si cela faisait 10 ans. Il était le seul a avoir compris, et si c'était le seul a pouvoir m'aider

-N'importe quoi tu ne sais rien de moi, c'est simple de venir comme ça, tu pense tout savoir de moi et bien non tu te trompes. Tu sais que mes parents on divorcé quand j'avais 14 ans cela à été une torture pour moi, toute ma vie a changer, ma mère à fait une dépression et mon petit frère ne parlais plus, il a fait un dénis de parole il avait 7 ans. Ma vie à été un enfer et toi tu croit me connaître et bien désolé de te décevoir mais non tu ne me connais pas et je ne veux pas que tu me connaisses

-Noora attend..

-Non, il n'y a pas de attend je veux que tu parte de ma vie je veux plus te voir, car si un jour tu me laisse je n'en guérirais pas alors je préfère t'évier

J'étais si proche de lui sont odeur masculin venais chatouiller mes narines c'est yeux était d'un noir profond je pouvais voir de l'amour dans c'est yeux il me désirais, mais comment pouvais t'il me désiré j'étais malade et il le savait j'allais mourir. Il s'approcha de moi et embrassa mes lèvres, elle était si chaud et douce je n'arrêta pas le bisous, je le prolongeais je ne voulais plus jamais qu'il ne me quitte.

C'est lèvres se sont enlever des miennes et un grand vide s'empara de moi

-Tu te débrouille pas mal, je ne pue m'empêcher de lui taper l'épaule

- Tu n'est qu'un gros lourdingue

-Et toi une déesse du bisous

- Tu n'est même pas drôle  

-Noora je veux être avec toi, je veux te protéger t'aider, te soutenir je serais toujours la pour toi d'accord ?

-Je ne sais pas ...je, j'ai

-Oui ?

- J'ai peur de mourir...

Ne me laisse pas tomberOù les histoires vivent. Découvrez maintenant