Plus Démoniaque qu'Humain , Plus Humain que Démoniaque

4.

Jordan resta immobile un instant. Attendant de voir si l'arche réapparaissait. Rien. Aucun bruit venant du haut des remparts. Soudain il entendit un énorme bruit de porte qui est fracassée. Il compris que l'autre groupe venait d'entrer dans la ville. Il n'y avait plus de temps à perdre. La mort du Pape lui appartenait et pour ça il devait être plus rapide.

Voulant croire en sa bonne étoile, il conçu sur la gigantesque porte. Jamais un simple humain ne pourrait ouvrir ces porte en marbre de plusieurs tonnes. Portant il s'élance et tombe. La porte explosa avant même que Jordan ne touche la porte.

De l'autre coté, un petit groupe de villageois attendais armés comme ils le pouvaient. Ils n'attendirent pas que Jordan se relève. L'un d'eux l'égorgea, un autre lui brisa la nuque. Ce sont les deux plus grave blessure qu'il reçut. Jordan se releva et dégaina son épée. Les villageois sous le choc ne bougèrent plus et moururent. Jordan se débarrassa d' une poignet de villageois qui tentait de s'enfuir ou de l'arrêter.

Rapidement, il se trouva devant le bureau papale, gardé par des gardes suisse. Jordan les prit ca par surprise. Ils ne firent pas long feu car ils furent. trop long à brandir leur arme. Jordan cacha les corps dans la chapelle Sixtine avant de regagner le bureau du Pape.

Il ouvrit lentement les portes, savourant un maximum le moment. On dit souvent que la vengeance ne sert à rien, que cela n'apaise pas n- les portes. os douleurs, c'est ce à quoi pensait Jordan en poussant les portes. Il était en train de penser que tout le monde disaient des conneries car avoir tué l'archer, les villageois et les gardes suisse lui avait déjà fait beaucoup de bien. Alors là, pouvoir tuer celui qui à donner l'ordre qui à provoqué la mort de Lola. Non la vengeance est quelque chose d'utile et de très satisfaisant.

Jordan referma rapidement les portes, et vit le Pape. Il était assis à son bureau. Jordan pensa qu'il était en train de prier avant de mourir. Jordan ria puis fit des longueurs de la pièce.

« Vous n'avez aucune chance. Dieu vous a abandonné et a donné aux anges la force de faire de moi leur élu. Le feu qui a tué tous mes camarades, vous avez devant vous le seul survivant. Ensuite, l'archer qui a allumé le feu a essayé de me tuer avec ses flèches. J'ai pu ouvrir la porte sud a moi seul. J'ai été attaqué par un groupe de villageois. Je suis toujours là ! Je suis là parce que Dieu et les anges veulent que je la venge ! Ils ont condamné ton crime et ont décidé que c'est moi qui devait rendre justice ! Et je vais le faire, je vais la venger ! »
Le Pape ne releva pas la tête, Jordan alla dans sa direction. Le pied Jordan heurta quelque chose. Il regarda. C'était une fiole, vide. Jordan leva la tête vers le Pape, sauta par dessus le bureau. Ils tombèrent. Jordan prit le pouls du Pape. Le secoua énergiquement. Il n'était peut-être pas trop tard... Si, c'était trop tard.

Le Pape était mort. Il avait dû s'empoisonné quand l'armée du Comte avait pénétré dans la ville. Jordan hurla l'injustice. On venait de lui voler sa vengeance. Il lâcha son épée et frappa le cadavre. Puis se relever. Il vit une enveloppe sur le bureau qu'il prit et cacha dans sa poche. Il reprit son épée et tapa violement le corps du Pape.

Une fois calmé, Jordan s'assit sur le fauteuil où était assis le Pape. Il regarda tout autour de lui. Le corps du Pape n'existait plus. Ce n'était plus que de la bouilli dispersé un peu partout dans la pièce et du sang omniprésent.

Il reprit son souffle et leva les yeux. Il regarda par la fenêtre. Il se leva, lentement, s'approcha pour mieux voir son reflet. Il recula et tendit les bras. Puis il tourna sa tête pour regarder derrière lui.

Il fut tiré de sa rêverie par un bruit de pas. Quelqu'un arrivait. Il se jeta sur son épée qu'il brandit. En effet, si ce sont des gardes suisse qui arrivent il aurait besoin de son arme; et si ce sont les soldats de l'Ordre, il aurait là aussi besoin de se défendre...