Chapitre 24:

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« -Maya, je crois que toutes les erreurs que nous avons fait, Baleful voulait que nous les fassions. Il a tout réussi, tout gagné.

-Non pas encore.

-Maya... C'est de ma faute... Si tu as tout oublié, tes souvenirs, c'est lui qui te les as volés.

-C'était donc ça... La seconde fois... »

AVRIL 2017 10:00

RAPPORT DE MISSION

QUITO, Equateur









« -C'est là ? Je demande des vieux souvenirs pleins la tête. Nous nous sommes arrêtés devant un sompteux palace blanc.

-Le palais présidentiel. C'est là Maya. Me répond Bobbi

-Ne me dites pas que...

-Si. Nous entrons en visiteur puis nous ressortons à fond. » Après un bref contrôle, nous entrons à l'intérrieur. Il y a deux militaires à l'entrée, puis, après, la sécurité de la résidence est s-assurée pas des gardes, comme à l'ancienne avec lesquels les visiteurs prennent des photographies. Nous progressons sans nous attarder. Nous pénétrons au centre du palais. Tous les murs sont blancs, le sol est recouvert de pavés gris, usés, mais impecablements propres. C'est un immence pation dominé par une fontaine gigantesqueautour de laquelle poussent de sompteux palmiers qui semblent se perdre dans un ciel bleu sans aucun nuage. Autour du patio, ce sont de grands couloirs ouverts avec de grands arcs de cercles, d'immenses colones de marbres se dressent ici et là, entourés par des statues de pierre et des œuvres d'art au grand plaisir des touristes. Derrière la fontaine, un incroyable escalier jaillit du sol et se noue dans tous les sens pour atteindre le second étage. On aurait dit qu'il avait été contruit pour génats.

« -Maya ! Allô la terre ! La cible, elle est a l'étage. Montons.

-Oui, bien sûr, tout de suite agent Morse. Je la suis, tête baissée, en évitant de me perdre à nouveau des les incroyables richesses du palais. Je ne m'accorde que quelques coups d'œil furtifs de temps à autres lorsques Bobbi à le dos tourné. Elle s'arrête face à un balcon, je l'imite.

-Écoute Maya, tu vois la porte la bas, elle est à double entrée. Notre cible est à l'intérieur. Tu la récupère et je te fais signe quand on file. Des questions ?

-Comment elle s'appelle ? Bobbi lève les yeux aux ciel.

-Donata. » Bobbi s'éloigne déjà de moi en marchant vers les deux gardes fesant mine de chercher son chemins. Sans attendre, je me faufillle dans la pièce interdite. La salle est immense. Ellle paraît vide tant le mobilier ne parvient pas à ccombler l'espace. La pièce est longue, une immense table la traverse dans toute sa longueur, le couvert y est mis, il y a aussi de grans vases et autres bouquets de fleurs. Les murs quant à eux sont couverts de fresque et de portraits de grands hommes.

«-Êtes vous l'agent Coulson demande une voix de vieille femme.

-Vous êtes Donata ? Je suis une amie de Coulson.

-En effet je suis Donata.

-Bien...

-Nous devrions partir avant qu'ils viennent.

-Ne vous en faites pas madame, j'ai une amie qui s'occupe des gardes.

-Pas les gardes mon enfant... Ne savez vous donc pas ? M'interroge-t-elle doucement

-Que devrais-je savoir madame ?

-Coulson n'est pas le seul à rechecher sur toute la planète les gens comme nous.

MAYA, Nouvelle avengersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant